Étude de la rémunération des dirigeants dans un modèle partenarial, le cas français

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Étude de la rémunération des dirigeants dans un modèle partenarial, le cas français"

Transcription

1 Éude de la rémunéraion des dirigeans dans un modèle parenarial, le cas français Anne Cazavan-Jeny, Julien Margaine, Franck Missonier-Piera To cie his version: Anne Cazavan-Jeny, Julien Margaine, Franck Missonier-Piera. Éude de la rémunéraion des dirigeans dans un modèle parenarial, le cas français. La place de la dimension européenne dans la Compabilié Conrôle Aud May 2009, Srasbourg, France. pp.cd ROM. <halshs > HAL Id: halshs hps://halshs.archives-ouveres.fr/halshs Submied on 4 Mar 2010 HAL is a muli-disciplinary open access archive for he deposi and disseminaion of scienific research documens, wheher hey are published or no. The documens may come from eaching and research insiuions in France or abroad, or from public or privae research ceners. L archive ouvere pluridisciplinaire HAL, es desinée au dépô e à la diffusion de documens scienifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanan des éablissemens d enseignemen e de recherche français ou érangers, des laboraoires publics ou privés.

2 Éude de la rémunéraion des dirigeans dans un modèle parenarial, le cas français CEO compensaions in a Sakeholders regime: An empirical invesigaion wih French lised companies Anne CAZAVAN-JENY Julien MARGAINE Franck MISSONIER-PIERA ESSEC Business School Avenue Bernard Hirsch Cergy-Ponoise France IÉSEG School of Managemen 3 rue de la Digue Lille France EMLYON Business School 23 Avenue Guy de Collongue Ecully France cazavan@essec.fr j.margaine@ieseg.fr missonier@em-lyon.com Résumé Ces dernières années, la publicaion du niveau de rémunéraion des dirigeans a soulevé d inenses conroverses. Un cerain nombre d éudes on mis en évidence une relaion posiive enre le salaire des dirigeans e la performance de la sociéé, aux Eas-Unis e en Grande- Breagne. La rémunéraion des dirigeans es égalemen proche de la srucure du gouvernemen d enreprise. Or la srucure française de gouvernemen d enreprise es différene de celle observée aux Éas-Unis ou en Grande-Breagne. En France, la radiion voulai que l on ne divulgue pas ou peu d informaion sur le niveau de rémunéraion des dirigeans. Cependan depuis 2002, les sociéés coées doiven indiquer dans leurs rappors annuels le monan des rémunéraions des dirigeans e des membres du conseil d adminisraion (loi NRE, 15 mai 2001). A parir d un échanillon de 110 sociéés coées françaises sur la période (indice SBF 120), l obje de cee recherche es d apporer des éclairages sur la rémunéraion des dirigeans dans un pays connu pour êre pluô conservaeur sur le suje. Pour éudier les déerminans de la rémunéraion des dirigeans, nous avons uilisé rois mesures de cee rémunéraion : la parie fixe du salaire, le bonus annuel e la rémunéraion globale. Ces premiers résulas monren que les rois mesures de la rémunéraion des dirigeans peuven êre expliquées par la aille de la sociéé, e la parie variable (bonus) par la performance boursière. Les résulas sur le risque son plus miigés e indiquen que le risque spécifique de la firme es négaivemen associé à la rémunéraion des dirigeans, ce qui confirme les résulas de Gray e Cannela (1997). Enfin, les variables de gouvernance on un impac significaif sur le niveau de rémunéraion des dirigeans. Mos clés Rémunéraion des dirigeans, gouvernemen d enreprise, performance JEL Classificaion: G35, M41 1

3 Absrac Inense conroversy has surrounded he publicaion of he level of Chief Execuives Officers (CEO) compensaion over he las years. Some sudies have shown a posiive relaionship beween CEO pay and firm performance, in he US and in he UK. Execuive compensaion is also closely relaed o he corporae governance srucure which differs significanly in France from ha in he US and he UK. Tradiionally, very lile informaion has been made publicly available on execuive compensaion in France. In 2002, publicly lised companies were asked o repor CEO and board of direcors compensaion (NRE law, 15 May 2001). Using a sample of 110 firms lised in France on he periods (SBF 120 index), he purpose of he sudy is o shed some ligh on compensaion of CEOs in a counry ha is known o be raher conservaive on ha poin. We es he deerminans of CEO compensaions defined by hree measures: individual salary, annual bonus, and oal CEO compensaion. Preliminary resuls show ha execuive compensaions are explained by size and marke-based performance for he annual bonus. The findings on risk are more miigae and indicae ha he firm specific risk is negaively associaed wih CEO compensaion, as Gray and Cannela (1997) have shown. Finally, he corporae governance variables have a significan impac on he level of execuive compensaions. Key words CEO compensaion, corporae governance, performance 2

4 1. INTRODUCTION Ces dernières années, la publicaion du niveau de rémunéraion des dirigeans a soulevé d inenses conroverses. La liéraure sur la rémunéraion des dirigeans d enreprises anglaises ou américaines es abondane. En effe, la publicaion des différenes rémunéraions y es d usage. Dans ce environnemen anglo-saxon, un cerain nombre d éudes on mis en évidence un lien posiif enre le salaire des dirigeans e les performances de leur enreprise. Cee rémunéraion s avère aussi foremen associée à la srucure de gouvernance de l enreprise qui diffère profondémen de celle de la France. Tradiionnellemen, rès peu d informaion éai divulguée volonairemen sur les diverses rémunéraions des cadres dirigeans en France. Cee praique éai ouefois devenue de moins en moins souenable devan la pression croissane des invesisseurs érangers de plus en plus présens dans le capial des sociéés françaises (Alcouffe e Alcouffe, 2000; Djelic e Zarlowsk 2005). En 2002, les sociéés coées françaises on éé dans l obligaion de publier la rémunéraion de leurs dirigeans ainsi que celle des membres de leur conseil d adminisraion (Loi NRE, 15 mai 2001). L obje de ce aricle es d examiner les faceurs explicaifs e noammen la performance financière de la rémunéraion des dirigeans dans un pays, la France qui éai connu pour êre rès conservaeur sur la divulgaion de ce ype d informaion (Djelic e Zarlowsk 2005). A parir d un échanillon de 110 enreprises coées françaises sur la période , représenan l indice SBF 120, les déerminans poeniels de la rémunéraion des dirigeans son esés sur rois mesures : le salaire individuel de l année, le bonus payé l année sur la performance réalisée l année -1, e la rémunéraion oale du dirigean. Les résulas empiriques, sur ces données de panel, monren que les rois mesures de rémunéraion son associées à la aille de l enreprise e aux performances boursières pour la parie variable du salaire e la rémunéraion oale. Les résulas sur les variables de risque son plus miigés e indiquen que le risque spécifique de l enreprise es associé négaivemen à la rémunéraion des dirigeans, comme l avaien observé Gray e Cannela (1997). Enfin, les variables de gouvernance d enreprise on un impac significaif sur le niveau des rémunéraions des dirigeans. 3

5 La suie de ce aricle es organisée de la façon suivane. La secion 2 présene le conexe français du gouvernemen d enreprise, ainsi que les hypohèses de recherche. La secion 3 décri la méhodologie, la secion 4 présene les résulas empiriques e la secion 5 ermine par la conclusion. 2. DEVELOPPEMENT DES HYPOTHESES Ce aricle examine la rémunéraion des dirigeans des dirigeans d enreprise en France à ravers quare dimensions : la performance de l enreprise, son risque, sa aille e ses principaux aribus de gouvernance. Avan de développer les hypohèses de recherche, il convien de présener les principales spécificiés du conexe de la gouvernance d enreprise en France. Les sociéés de l échanillon on le sau légal de Sociéés Anonymes (SA). Pour les SA, deux principaux modes de gouvernance exisen: les sociéés par acions avec un conseil d adminisraion (CA), ou une srucure duale comprenan un direcoire e un conseil de surveillance. Dans le premier cas, le présiden du CA peu combiner sa foncion avec celle de direceur général. L enreprise es alors de fai dirigée par une seule e même personne : le Présiden Direceur Général (PDG). La loi NRE a ouefois proposé de dissocier la foncion de présiden e de direceur général. Il exise ainsi un aure mode de gouvernance de la SA, où le Présiden du CA n es pas le Direceur Général. Dans le mode de gouvernance dual, le pouvoir es paragé enre le direcoire (composé d adminisraeurs exécuifs) e un conseil de surveillance (composé d adminisraeurs non-exécuifs). Ces différences dans les modes de gouvernance son d imporance e son inclues dans les faceurs suscepibles d affecer le niveau de rémunéraion des dirigeans. 4

6 2.1 Taille e rémunéraion En faisan l hypohèse que la aille de la firme peu êre une variable de subsiuion refléan les préférences managériales pour des poliiques de croissance de l enreprise, de nombreuses éudes considèren qu elle peu donc êre associée au niveau de rémunéraion des dirigeans (ex. Cosh, 1975; Conyon e al., 1995). Baumol (1967) noai déjà que le salaire des dirigeans apparaissai êre «...bien plus foremen corrélé à l échelle des aciviés de l enreprise qu avec sa renabilié» i (ibid, p. 46). Plusieurs élémens peuven expliquer l associaion aillerémunéraion. La complexié des grandes enreprises c es-à-dire leurs aciviés nécessie une équipe dirigeane efficiene. Ces enreprises on donc un inérê à rémunérer en conséquence les meilleurs cadres (ressource rare) suscepibles d êre inéressés. L approche hiérarchique de l enreprise suggère aussi que plus l enreprise es grande, plus le nombre de niveaux hiérarchiques es imporan, e donc plus la rémunéraion des haus dirigeans es imporane (Mueller e Yun, 1997; Williamson, 1967). Ains il en résule l hypohèse suivane : H1: La rémunéraion des dirigeans es associée posiivemen à la aille de la firme. 2.2 Performance e rémunéraion Un grand nombre d aricles se son inéressés à l associaion rémunéraion-performance des dirigeans. Cee liéraure s es ouefois généralemen concenrée sur les dirigeans d enreprises américaines ou anglaises. Elle fai ressorir par ailleurs une faible associaion enre la performance boursière e les salaires des dirigeans (Benio e Conyon, 1999). Quelques éudes on examinées d aures environnemens comme la Norvège (Firh e al., 1996) ou l Allemagne (Elson e Goldberg, 2003) offran un éclairage inernaional, e mean en avan une associaion posiive enre performance e rémunéraion. En effe, comme d aures agens économiques, les dirigeans cherchen à maximiser leur propre foncion d uilié, e peuven donc en conséquence ne pas agir dans le meilleur inérê des acionnaires. Ce poeniel problème d agence survien dans les sociéés caracérisées par une séparaion des aribus de propriéé e de conrôle (Fama e Jensen, 1983). La mise en place de conra pariculier peu aider à aligner les foncions d uilié des acionnaires e des dirigeans, comme par exemple ceux lian les salaires des haus dirigeans à des indicaeurs de performance des 5

7 aciviés de l enreprise (Baker, Jensen e Murphy, 1988). On peu alors émere l hypohèse suivane : H2: La rémunéraion des dirigeans es associée posiivemen à la performance de la firme. 2.3 Risque e rémunéraion D un poin de vue héorique, la renabilié d un invesissemen devrai êre associée posiivemen aux risques qu il génère. Comme le suggère Andjelkovic e al. (2002, p. 104) «Les dirigeans des firmes don les résulas e la renabilié son pluô volailes son plus suscepibles de devoir renoncer à des bonus ou à faire face à des cessaion d aciviés, si bien qu ils devraien demander un salaire de base (fixe) plus imporan éan donné le plus grand risque pris sur leur rémunéraion.» ii Touefois, comme le souligne Aggarwal e Samwick (1999), les dirigeans des firmes, don la volailié des résulas e des rendemens boursiers es plus grande, son moins enclins à allouer une par imporane de leur rémunéraion «à risque». En effe, le même effor n a pas la même probabilié de générer une récompense (i.e. un bonus) selon la volailié des performances de la firme. Du fai de ces deux conre argumens, il es difficile de conclure sur le signe de l associaion risque-rémunéraion, d où l hypohèse suivane : H3: La rémunéraion des dirigeans es associée au risque de l enreprise. 2.4 Aribus de gouvernance e rémunéraion Les décisions de recruemen, de rémunéraion ou de licenciemen des haus dirigeans reviennen au conseil d adminisraion (Fama e Jensen, 1983). Le CA peu sollicier différens avis afin de déerminer le niveau de rémunéraion approprié de ses dirigeans, comme par exemple des consulans (Core e al., 1999). Si ces derniers on éé engagés par le dirigean de l enreprise, le conra de rémunéraion peu êre opimisé pour le dirigean au dérimen de l enreprise. La présence d un comié de rémunéraion peu aider à limier ce risque poeniel de collusion. De els mécanismes de gouvernance peuven donc représener un imporan moyen de conrôle, voire de médiaion, dans l éablissemen de la rémunéraion des haus dirigeans. On peu supposer que les enreprises ne disposan pas de el comié ne 6

8 possède donc pas les procédures appropriées pour déerminer si les dirigeans on enrepris les acions désirées e reçu une rémunéraion en conséquence, d où l hypohèse suivane : H4: La rémunéraion des dirigeans es associée négaivemen à la présence d un comié de rémunéraion. Les caracérisiques des adminisraeurs, membres du comié de rémunéraion, son déerminées en parie par la façon don ils son choisis, i.e. par le ravail du comié de nominaion. Lors de la sélecion e la soumission des nouveaux candidas, le comié peu servir de prévenion conre la sélecion de membres du conseil parrainés par le Direceur Général ou le PDG (Benio and Conyon, 1999, p. 122). Il convien de noer que dans de nombreux cas les comiés de nominaion e de rémunéraion son les mêmes. Il es ouefois possible de proposer l hypohèse suivane : H5: La rémunéraion des dirigeans es associée négaivemen à la présence d un comié de nominaion. Suivan l exemple du Caburry Repor de 1992, plusieurs rappors sur la gouvernance d enreprise se son succédés en France (rappors Viéno en 1995 e 1999, rappor Bouon en 2002 e rappor AFEP-MEDEF en 2003). Financés par l AFEP (Associaion Française des Enreprises privées) e le MEDEF (Mouvemen des Enreprises en France), les divers rappors on insisé sur la nécessié de créer rois comiés au sein des enreprises : le comié d aud le comié de rémunéraion e le comié de nominaion. Un quarième comié, di de gouvernance, es apparu au sein d enreprises françaises. La présence de ces comiés peu êre perçu comme une voloné de l enreprise de se plier aux principes d une «bonne» gouvernance. On peu donc émere l hypohèse que la présence d un comié d audi e/ou de gouvernance, même si elle n es pas direcemen associée à la rémunéraion des dirigeans, peu avoir un impac négaif sur le niveau des rémunéraions, dans la mesure où elle me en avan l engagemen de l enreprise dans une praique saine de gouvernance e une voloné d indépendance du conseil d adminisraion. H6: La rémunéraion des dirigeans es associée négaivemen à la présence d un comié d audi. 7

9 H7: La rémunéraion des dirigeans es associée négaivemen à la présence d un comié de gouvernance. Les différens rappors on mis en évidence le besoin d un minimum d adminisraeurs indépendans au sein du Conseil d Adminisraion, c es-à-dire des adminisraeurs sans aucune relaion avec l enreprise (don ils son membres du CA) ou avec ses dirigeans suscepible d affecer leur jugemen (rappor AFEP-MEDEF 2003). On peu en effe supposer que les adminisraeurs inernes son plus loyaux envers le DG ou PDG qui les a nommés que ne pourraien l êre les adminisraeurs indépendans (Pfeffer, 1981). Il es alors possible d avancer l hypohèse suivane : H8: La rémunéraion des dirigeans es associée négaivemen au pourcenage d adminisraeurs indépendans au sein du Conseil d Adminisraion. Enfin, un cerain nombre de résulas empiriques on monré que le cumul des foncions de dirigean de l enreprise e de présiden du Conseil d Adminisraion éai source d un accroissemen des problèmes d agence (Yermack, 1996). En ce qui concerne la srucure du conseil d adminisraion, dans le sysème français, les sociéés son auorisées à conserver un Conseil d Adminisraion classique, ou d oper pour un Conseil de Surveillance (composé d adminisraeurs non-dirigeans) e d un Direcoire (composé d adminisraeurs dirigeans). Dans le premier cas, le présiden du Conseil d Adminisraion peu êre le Présiden Direceur Général ou uniquemen le Présiden du Conseil d Adminisraion, e déléguer le pouvoir exécuif à un Direceur Général. On peu alors faire l hypohèse que le présiden combinan les deux foncions aura plus de pouvoir au sein du Conseil d Adminisraion, e donc aura plus d influence sur l éablissemen des rémunéraions. H9: La rémunéraion des dirigeans es associée négaivemen à la dissociaion enre les foncions de Présiden du CA e Direceur Général. 3. LA DEMARCHE DE RECHERCHE 3.1. Echanillon 8

10 La populaion de dépar de l échanillon éudié es consiuée des sociéés coées françaises représenaives de l indice boursier SBF 120, sur une période de rois ans ( ) iii. Les données sur la rémunéraion des dirigeans e les modes de gouvernance (différens comiés, forme juridique de la sociéé, ec.) on éé collecé à parir des rappors annuels des sociéés du SBF 120. Ces données éaien disponibles pour 110 sociéés e les données compables e financières (aille, performance) son exraies de la base de données Thomson Financial. En raison de limies inhérenes aux données (absences d informaion, données aberranes, ec.) l échanillon final es consiué de 268 observaions sur une période de rois ans ( ), qui représenen 99 sociéés coées françaises disinces. Le ableau 1 présene les saisiques descripives sur les caracérisiques économiques e de rémunéraion de l échanillon de sociéés. Il es principalemen composé de grandes sociéés (chiffre d affaires moyen de millions d euros), avec des niveaux de performance financière compable (ROA, Reurn on Asses) relaivemen bas (moyenne de 2,761) e un rendemen boursier moyen négaif (- 7). Le niveau moyen des salaires fixes des dirigeans des sociéés du SBF 120 es de 732 K euros, e de 420 K euros pour leur parie variable. Insérer le Tableau 1 ici Le ableau 2 décri les caracérisiques de l échanillon en ermes de gouvernance. Environ 85% des sociéés de l échanillon on un comié d audi (87,31%) e un comié des rémunéraions (84,70%), en revanche deux iers d enre elles on un comié de nominaion e seulemen 5,22% on un comié de gouvernance. La répariion enre les deux principaux modes de gouvernance es la suivane: un iers des sociéés on une srucure de gouvernance duale (conseil de surveillance e direcoire) e deux iers présenen une srucure de gouvernance classique des sociéés anonymes avec conseil d adminisraion. D aure par, dans la moiié des cas (51,87%) de ce dernier mode de gouvernance, le Direceur Général es égalemen Présiden du conseil d adminisraion. Insérer le Tableau 2 ici Enfin, l échanillon éudié se compose de sociéés de différens seceurs d acivié. La classificaion indusrielle reenue, le Dow Jones Marke Secor, se divise en dix seceurs différens. 26,7 % des sociéés son dans le seceur des biens de consommaion cycliques, 15,6% son dans le seceur financier, 20% son dans le seceur echnologique e 14,5 % dans l indusrie. Insérer le Tableau 3 ici 9

11 3.2. Les modèles de rémunéraion Afin d expliquer le niveau de rémunéraion des dirigeans en France, nous esons rois modèles empiriques. Nous éudions dans un premier emps la par fixe de la rémunéraion des dirigeans, c'es-à-dire le salaire individuel pour l année (CEO_SAL ). Dans une deuxième éape, nous évaluons les déerminans de la par variable de la rémunéraion des dirigeans, c es-à-dire le bonus annuel payé en année sur les résulas obenus en -1 (CEO_bonus ). Enfin, nous esons un modèle où la variable dépendane es la rémunéraion oale du dirigean, c es-à-dire la somme du salaire annuel e du bonus annuel (CEO_TOT ). Pour chacune des spécificaions du modèle, nous inroduisons comme déerminans des niveaux de rémunéraion des mesures de la aille, de la performance, du risque e de la gouvernance, afin de eser les hypohèses posées dans la secion précédene. Les modèles empiriques son les suivans : [1] CEO _ SAL = α + α lagsales 0 + α COMP _ COM 5 + α GOV _ COM α lagroa 2 + α CA + α lagret + α AUD _ COM α PDG α IND + α Bea + α NOM _ COM YR + Indus + ε [2] CEO _ bonus = β + β lagsales 0 + β COMP _ COM 5 + β GOV _ COM β lagroa 2 + β CA + β AUD _ COM β lagret + β PDG β IND + β Bea + β NOM _ COM YRi, + Indus + ε [3] CEO _ TOT = γ + γ lagsales 0 + γ COMP _ COM 5 + γ GOV _ COM γ lagroa 2 + γ CA + γ lagret + γ AUD _ COM γ PDG γ IND + γ Bea + γ NOM _ COM YRi, + Indus + Avec, - CEO_SAL : salaire individuel de l année i pour le dirigean de la sociéé i. - CEO_bonus : bonus annuel payé en année du dirigean de la sociéé calculé sur les résulas de l année CEO_TOT : somme du salaire fixe e du bonus annuel payé en année pour le dirigean de la sociéé i. - lagsales : logarihme du chiffre d affaires (en million d euros) à la fin de l année -1 de la sociéé i. - LagROA : renabilié des acifs (reurn of asse) de l année -1 pour la sociéé i. - LagRET : renabilié boursière de l année -1 pour la sociéé i. ε 10

12 - Bea : risqué spécifique du MEDAF de la sociéé i pour l année. - COMP_COM : variable dichoomique prenan la valeur 1 si la sociéé i a un comié de rémunéraion pour l année, 0 sinon. - AUD_COM : variable dichoomique prenan la valeur 1 si la sociéé i a un comié d audi pour l année, 0 sinon. - NOM_COM : variable dichoomique prenan la valeur 1 si la sociéé i a un comié de nominaion pour l année, 0 sinon. - GOV_COM : variable dichoomique prenan la valeur 1 si la sociéé i a un comié de gouvernance pour l année, 0 sinon. - CA : variable dichoomique prenan la valeur 1 si la forme de gouvernance de la sociéé i es la forme classique, 0 sinon. - PDG : variable dichoomique prenan la valeur 1 si le dirigean es à la fois le présiden du conseil d adminisraion e le direceur général de la sociéé 0 sinon. - IND : pourcenage d adminisraeurs indépendans dans le conseil d adminisraion ou le conseil de surveillance de la sociéé i pour l année. - YR : variables indicarices emporelles prenan la valeur 1 si une observaion es de l année, 0 sinon. - Indus : variables dichoomiques (CYC, ENE, FIN, SANT, IDU, NCY, TEC, TLS, SERV) codées 1 si la sociéé apparien respecivemen au seceurs indusriels : biens de consommaion cycliques, énergie, finance, sané, indusrie, biens de consommaion non cycliques, echnologie, élécommunicaions ou services, e 0 sinon. 4. RESULTATS DE L ETUDE Les résulas des modèles (1) (2) e (3) pour les régressions réalisées sur l échanillon oal (données de panel) son présenés ci-dessous dans le ableau 4. Le calcul des VIFs (Variaion Inflaion Facors) nous perme de vérifier de nos résulas ne son pas affecés par des problèmes de muli colinéarié enre les variables explicaives. En effe, aucune variable des modèles esés (voire le ableau 6, Annexe 1) ne présene de VIF supérieur à 4, ce qui es relaivemen éloigné de la valeur criique de 10 (Neer e al., 1989). Insérer le Tableau 4 ici 11

13 Ce ableau présene les résulas des régressions réalisées sur les données de panel ( ) pour les rois mesures de rémunéraion des dirigeans : le salaire individuel fixe, le bonus annuel versé e la rémunéraion oale. Comme l hypohèse 1 le supposa la aille (mesurée par le chiffre d affaires de la sociéé i pour l année -1) es foremen e posiivemen associée avec les rois dimensions de la rémunéraion des dirigeans. Ce résula es conforme avec ceux présenés dans les éudes empiriques anérieures (cf. Benio e Conyon (1999) pour la Grande-Breagne, Firh e al. (1996) pour la Norvège, Elson e Goldberg (2003) pour l Allemagne). Les résulas sur la performance son plus miigés. Deux variables différenes on éé esées comme mesure de la performance : le ROA (renabilié de l acif), qui es une mesure compable de la performance, e le rendemen boursier (RET) qui es une mesure de marché de la performance. Comme ces deux variables ne son pas significaivemen corrélées enre elles iv, il nous a semblé inéressan de les inroduire simulanémen dans le modèle esé. Alors que les rendemens boursiers présenen une associaion posiive e significaive avec les bonus versés aux dirigeans (conformémen à l hypohèse 2), e une associaion plus faible avec la rémunéraion oale des dirigeans ; le ROA ne présene qu une associaion négaive e significaive avec la par fixe de la rémunéraion des dirigeans e pas de relaion avec la par variable de la rémunéraion ou la rémunéraion oale des dirigeans. Ce résula suggère que la performance mesurée à parir de données compables n es pas perinene pour les sociéés ou pour les comiés de rémunéraion afin de déerminer le niveau de rémunéraion des dirigeans. De même, conrairemen à l hypohèse 3, le risque, mesuré par le Bêa, es significaivemen e négaivemen associé à la par variable de la rémunéraion des dirigeans e faiblemen associé, mais oujours négaivemen, avec la rémunéraion oale des dirigeans. Les variables de gouvernance monren en moyenne des résulas plus consans : la variable comié d audi présene une relaion significaive e posiive avec la par fixe e la rémunéraion oale, e elle n a pas de lien avec le bonus versé aux dirigeans. En revanche, la variable comié des rémunéraions es significaivemen e négaivemen associée à la rémunéraion fixe e oale des dirigeans, e n a pas de lien avec le bonus versé aux dirigeans. Les comiés de nominaion e de gouvernance ne présenen aucun lien saisiquemen significaif avec les rois mesures de la rémunéraion des dirigeans. 12

14 Concernan la srucure du conseil d adminisraion (ou du conseil de surveillance), nos résulas monren que quand le dirigean es à la fois présiden du conseil d adminisraion e direceur général, la par fixe de sa rémunéraion diminue (coefficien négaif e significaif sur CEO_SAL), mais la par variable de sa rémunéraion e donc sa rémunéraion globale ne présenen pas de lien avec son sau. Enfin, le pourcenage d adminisraeurs indépendans présene une relaion significaive e posiive avec la par fixe de la rémunéraion des dirigeans e leur rémunéraion globale. 5. CONCLUSION La rémunéraion des dirigeans es récemmen devenue un suje de déba imporan dans les pays non Anglo-Saxons. A ce jour, nous ne disposons que de peu d éude sur le conexe français. Cee recherche inervien peu de emps après les changemens dans la réglemenaion boursière qui on donné accès à la rémunéraion des dirigeans (loi NRE en 2001, données publiées à parir de 2002). Ces informaions son d auan plus perinenes que le conexe français éai connu pour son manque de ransparence à ce suje. Ce aricle monre que la aille de la sociéé semble avoir un impac majeur sur le niveau de rémunéraion des dirigeans en France. Le lien enre la rémunéraion des dirigeans e la performance de la sociéé es moins direc, en ce sens qu il dépend de la mesure de performance reenue. Le risque associé à la sociéé (el que mesuré par le Bêa) a un impac négaif sur la rémunéraion globale des dirigeans. Enfin, la présence d un comié de rémunéraion au sein de la sociéé a endance à diminuer le niveau de rémunéraion des dirigeans, alors que les aures variables de gouvernance présenen des résulas plus miigés e mixes. Dans l ensemble, nous pouvons conclure que la complexié opéraionnelle de la sociéé, mesurée par la aille de l enreprise, a un impac posiif sur la rémunéraion des dirigeans, aénué par la présence d un comié de rémunéraion. De plus, la par fixe de la rémunéraion, ainsi que la rémunéraion globale son neemen plus sensibles aux variables de gouvernance que ne l es la par variable de la rémunéraion, qui ne semble pas réellemen affecé par la présence de différens comiés ou d adminisraeurs indépendans. 13

15 Références bibliographiques Aggarwal, R., Samwick, A.A. (1999). The Oher Side of he Tradeoff: The Impac of Risk on Execuive Compensaion. Journal of Poliical Economy 107: Andjelkovic, A., Boyle, G., McNoe, W. (2002). Public Disclosure of Execuive Compensaion: Do Shareholders Need o Know? Pacific-Basin Finance Journal 10: Alcouffe, A., Alcouffe, C. (2000). Execuive Compensaion-seing Pracices in France Long Range Planning 33: Baker G., P., Jensen, M. C., Murphy, K.J. (1988). Compensaion and Incenives: Pracice vs. Theory The Journal of Finance 43(3): Baumol, W.J. (1967). Business Behavior, Value, and Growh, Revised ediion, New York. Benio, A., Conyon, M. (1999). The Governance of Direcors Pay: Evidence from UK Companies Journal of Managemen & Governance, 3(2). Conyon, M., Gregg, P., Machin, S. (1995). Taking care of business: Execuive compensaion in he Unied Kingdom The Economic Journal 105: Core, J.E., Holhausen, R.W., Larcker, D.F. (1999). Corporae Governance, Chief Execuive Officer Compensaion, and Firm Performance Journal of Financial Economics 51: Cosh A. (1975). The Remuneraion of Chief Execuives in he Unied Kingdom Economic Journal 85: Djelic, M.L., Zarlowsk P. (2005). Firms and governance in France: Hisorical perspecive and recen rends Sociologie du Travail 47: Elson, J. A., Goldberg, L. G. (2003). Execuive compensaion and agency coss in Germany Journal of Banking and Finance 27: Faccio, M., Lang, L. (2002). The ulimae ownership of wesern European corporaions Journal of Financial Economics 65: Fama, E.F., Jensen, M.C. (1983). Separaion of Ownership and Conrol Journal of Law and Economics 26(2): Firh, M., Lohne, J. C., Ropsad, R., Sjo, J. (1996). The remuneraion of CEOs and Corporae Financial Performance in Norway Managerial and Decision Economics 17(3): Gray, S.R., Cannella, A. Jr. (1997). The Role of Risk in Execuive Compensaion Journal of Managemen 23(4):

16 Lee, S.H., Yoo, T. (2008). Compeing raionales for corporae governance in France: Insiuional complemenariies beween financial markes and innovaion sysems Corporae Governance 16(2): Leuz, C., Nanda, D., Wysock P. (2003). Earnings Managemen and Invesor Proecion: an Inernaional Comparison Journal of Financial Economics 69: Mueller D.C., Yun, S.L. (1997). Managerial Discreion and Managerial Compensaion Inernaional Journal of Indusrial Organizaion 15: Neer, J., Wasserman, W., Kuner, M.H. (1989). Applied regression models Homewood, IL: Richard D. Irwin. Pfeffer, J. (1981). Power in Organizaions. Piman, Boson, MA. Trumbull, G. (2004). Silicon and he Sae: French Innovaion Policy in he Inerne Age, Brookings Insiuion, Washingon, DC. Vander Bauwhede, H., Willekens, M. (2008). Disclosure on Corporae Governance in he European Union Corporae governance 16(2): Williamson O. (1967). Hierarchical Conrol and Opimum Firm Size Journal of Poliical Economy 75: Yermack, D. (1996). Higher marke valuaion for firms wih a small board of direcors Journal of Financial Economics, 40:

17 Tableau 1 Caracérisiques économiques e de rémunéraion < Quaniles > Variable N Moyenne Écar-ype Min 0.25 Mdn 0.75 Max lagsales lagroa lagret Bea CEO_SAL CEO_bonus CEO_o IND LagSales es le chiffre d affaires à la fin de l année -1 pour la sociéé i (en million euros); lagroa es le rendemen des acifs pour l année -1 de la sociéé i; lagret es le rendemen boursier pour l année -1 de la sociéé i; Bea es le risque spécifique du MEDAF de la sociéé i pour l année ; CEO_SAL es la par fixe de la rémunéraion individuelle pour l année du dirigean de la sociéé i; CEO_bonus es le bonus annuel payé en année du dirigean de la sociéé i calculé sur la performance en année -1; CEO_TOT es la somme du salaire e du bonus annuel payé en année pour le dirigean de la sociéé i (les variables de rémunéraion son exprimées en K euros); IND es le pourcenage d adminisraeurs indépendans au sein du conseil d adminisraion (ou conseil de surveillance) de la sociéé i de l année. Tableau 2 Caracérisiques de gouvernance Variable N Pourcenage Cumulé Nombre oal d observaions AUD_COM COMP_COM NOM_COM GOV_COM CA PDG AUD_COM es une variable dichoomique égale à 1 si la sociéé i a un comié d audi en année, e 0 sinon; COMP_COM es une variable dichoomique égale à 1 si la sociéé i a un comié de rémunéraion en année, e 0 sinon; NOM_COM es une variable dichoomique égale à 1 si la sociéé i a un comié de nominaion en année, e 0 sinon; GOV_COM es une variable dichoomique égale à 1 si la sociéé i a un comié degouvernance en année, e 0 sinon; CA es une variable dichoomique égale à 1 si la forme de gouvernance de la sociéé i es la forme classique, e 0 sinon; PDG es une variable dichoomique égale à 1 si le dirigean es à la fois présiden du CA e direceur général de la sociéé, e 0 sinon. 16

18 Tableau 3 Classemen secoriel Dow Jones Marke Secors Label N Percen Cum. BSC Maériaux de base CYC Biens de consommaions cycliques ENE Energie FIN Finance SANT Sané IDU Indusrie NCY Biens de consommaion, non cycliques TEC Technologie TLS Télécommunicaions SERV Services Toal Toal CYC, ENE, FIN, SANT, IDU, NCY, TEC, TLS e SERV son des variables indicarices codées 1 si la sociéé apparien Respecivemen au seceur : biens de consommaion cycliques, énergie, finance, sané, indusrie, biens de consommaion Non cycliques, echnologie, élécommunicaions ou services. 17

19 Tableau 4 Régressions sur données de panel (1) (2) (3) CEO_SAL CEO_bonus CEO_TOT lagsales (0.000) (0.000) (0.000) lagroa (0.022) (0.416) (0.199) lagret (0.381) (0.019) (0.061) Bea (1.000) (0.059) (0.092) AUD_COM (0.000) (0.529) (0.000) COMP_COM (0.000) (0.126) (0.006) NOM_COM (0.684) (0.849) (0.975) GOV_COM (0.874) (0.571) (0.718) CA (0.133) (0.547) (0.297) PDG (0.023) (0.428) (0.752) IND (0.001) (0.419) (0.010) Effes fixes emporels Inclus Inclus Inclus Effes fixes indusriels Inclus Inclus Inclus Consane (0.001) (0.680) (0.021) Nombre d observaions R² P-values enre parenhèses, les erreurs son corrigées par le es de Whie LagSales es le chiffre d affaires à la fin de l année -1 pour la sociéé i (en million euros); lagroa es le rendemen des acifs pour l année -1 de la sociéé i; lagret es le rendemen boursier pour l année -1 de la sociéé i; Bea es le risque spécifique du MEDAF de la sociéé i pour l année ; CEO_SAL es la par fixe de la rémunéraion individuelle pour l année du dirigean de la sociéé i; CEO_bonus es le bonus annuel payé en année du dirigean de la sociéé i calculé sur la performance en année -1; CEO_TOT es la somme du salaire e du bonus annuel payé en année pour le dirigean de la sociéé i; IND es le pourcenage d adminisraeurs indépendans au sein du conseil d adminisraion (ou conseil de surveillance) de la sociéé i de l année. AUD_COM es une variable dichoomique égale à 1 si la sociéé i a un comié d audi en année, e 0 sinon; COMP_COM es une variable dichoomique égale à 1 si la sociéé i a un comié de rémunéraion en année, e 0 sinon; NOM_COM es une variable dichoomique égale à 1 si la sociéé i a un comié de nominaion en année, e 0 sinon; GOV_COM es une variable dichoomique égale à 1 si la sociéé i a un comié de gouvernance en année, e 0 sinon; CA es une variable dichoomique égale à 1 si la forme de gouvernance de la sociéé i es la forme classique, e 0 sinon; PDG es une variable dichoomique égale à 1 si le dirigean es à la fois présiden du CA e direceur général de la sociéé, e 0 sinon. 18

20 Annexe 1 Tableau 5 Marice de corrélaion CEO_TOT CEO_TOT CEO_SAL CEO_BONUS lagsales lagroa lagret Bea CEO_SAL * (0.000) CEO_BONUS * * (0.000) (0.042) lagsales * * * (0.000) (0.000) (0.000) lagroa * * * (0.006) (0.000) (0.4929) (0.0205) lagret * (0.7495) (0.5679) (0.0275) (0.4969) (0.1018) Bea * * * * (0.0816) (0.6980) (0.0001) (0.4165) (0.001) (0.0147). Pearson correlaion (.) Sig. (2-ailed) *la correlaion es significaive à 10% (2-ailed) CEO_SAL es la par fixe de la rémunéraion individuelle pour l année du dirigean de la sociéé i; CEO_bonus es le bonus annuel payé en année du dirigean de la sociéé i calculé sur la performance en année -1; CEO_TOT es la somme du salaire e du bonus annuel payé en année pour le dirigean de la sociéé i; LagSales es le chiffre d affaires à la fin de l année -1 pour la sociéé i (en million euros); lagroa es le rendemen des acifs pour l année -1 de la sociéé i; lagret es le rendemen boursier pour l année -1 de la sociéé i; Bea es le risque spécifique du MEDAF de la sociéé i pour l année Tableau 6 Niveaux des VIFs (Variance Inflaion Facors) (1) (2) (3) CEO_SAL CEO_bonus CEO_TOT Variable VIF 1/VIF VIF 1/VIF VIF 1/VIF COMP_COM CA AUD_COM PDG Bea NOM_COM lagret lagsales lagroa IND GOV_COM Mean VIF

21 i Traducion des aueurs. ii Traducion des aueurs. iii Depuis 2002, les sociéés coées françaises doiven publier les rémunéraions des dirigeans, c es-à-dire du Présiden e des membres du conseil d adminisraion (loi NRE, 15 mai 2001). iv Voire l annexe 1 pour la marice des corrélaions. 20

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales

Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales Natacha Gondran To cite this version: Natacha Gondran. Système de diffusion d information

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris

Plus en détail

La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale

La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale Stéphanie Perriere To cite this version: Stéphanie Perriere. La voix en images : comment l

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail

Institut Supérieur de Gestion

Institut Supérieur de Gestion UNIVERSITE DE TUNIS Insiu Supérieur de Gesion 4 EME ANNEE SCIENCES COMPTABLES COURS MARCHES FINANCIER ET EVALUATION DES ACTIFS NOTES DE COURS : MOUNIR BEN SASSI YOUSSEF ZEKRI CHAPITRE 1 : LE MARCHE FINANCIER

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1)

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1) Parenaria Sociéé Générale Execuive relocaions Vous vous insallez en france? Sociéé Générale vous accompagne (1) offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.

Plus en détail

Une analyse historique du comportement d épargne des ménages américains

Une analyse historique du comportement d épargne des ménages américains 1 ocobre 1 N. 51 Une analyse hisorique du comporemen d épargne des ménages américains Le aux d épargne des ménages américains a riplé depuis le déclenchemen de la crise, inerrompan un mouvemen de baisse

Plus en détail

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres Une union pour les employeurs de l' conomie sociale - grande Conférence sociale - les posiionnemens e proposiions de l usgeres Juille 212 1 «développer l emploi e en priorié l emploi des jeunes» le posiionnemen

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes Groupe Inernaional Fiduciaire pour l Experise compable e le Commissaria aux compes L imporan es de ne jamais arrêer de se poser des quesions Alber EINSTEIN QUI SOMMES-NOUS? DES HOMMES > Une ÉQUIPE solidaire

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE

Plus en détail

Le passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette

Le passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette No 2000 02 Janvier Le passage des reraies de la répariion à la capialisaion obligaoire : des simulaions à l'aide d'une maquee Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 2000-02 TABLE DES MATIÈRES Résumé...

Plus en détail

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain Global Journal of Managemen and Business Research : c Finance Volume 14 Issue 1 Version 1.0 Year 2014 Type: Double Blind Peer Reviewed Inernaional Research Journal Publisher: Global Journals Inc. (USA)

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

Séminaire d Économie Publique

Séminaire d Économie Publique Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février

Plus en détail

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié

Plus en détail

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA République Algérienne Démocraique e Populaire Minisère de l enseignemen Supérieur e de la Recherche Scienifique Universié Abou-Bakr BELKAID Tlemcen- Faculé des Sciences Economique, de Gesion e des Sciences

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n

Plus en détail

Cahier technique n 141

Cahier technique n 141 Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens

Plus en détail

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit Modèles de Taux, Surface de Volailié e Inroducion au Risque de Crédi Alexis Fauh Universié Lille I Maser 2 Mahémaiques e Finance Spécialiés Mahémaiques du Risque & Finance Compuaionelle 214/215 spread

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par :

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par : UNIVERSITÉ D ORLÉANS ÉCOLE DOCTORALE SCIENCES DE L HOMME ET DE LA SOCIETÉ LABORATOIRE D ECONOMIE D ORLEANS THÈSE présenée par : Issiaka SOMBIÉ souenue le : 5 décembre 2013 à 14h00 pour obenir le grade

Plus en détail

Investment Flows and Capital Stocks

Investment Flows and Capital Stocks Saisics Canada Invesmen and Capial Sock Division Naional Wealh and Capial Sock Secion Invesmen Flows and Capial Socks Saisique Canada Division de l invesissemen e du sock de capial Secion de la richesse

Plus en détail

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales

AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.

Plus en détail

Francoise Lee. www.photoniquequebec.ca

Francoise Lee. www.photoniquequebec.ca Francoise Lee De: Francoise Lee [francoiselee@photoniquequebec.ca] Envoyé: 2008 年 11 月 17 日 星 期 一 14:39 À: 'Liste_RPQ' Objet: Bulletin #46 du RPQ /QPN Newsletter #46 No. 46 novembre 2008 No. 46 November

Plus en détail

Peut-on perdre sa dignité?

Peut-on perdre sa dignité? Peut-on perdre sa dignité? Eric Delassus To cite this version: Eric Delassus. Peut-on perdre sa dignité?. 2013. HAL Id: hal-00796705 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00796705 Submitted

Plus en détail

BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE

BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE CETMO-ASE Version 08.01 Année de référence 2008 Février 2013 BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE

Plus en détail