Le coût de la distribution de l eau. Méthode et application à l irrigation

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1 Le coû de la disribuion de l eau. Méhode e applicaion à l irrigaion Guy Gleyses, Sébasien Loubier, Jean-Philippe erreaux o cie his version: Guy Gleyses, Sébasien Loubier, Jean-Philippe erreaux. Le coû de la disribuion de l eau. Méhode e applicaion à l irrigaion. Parice Garin, Pierre-Yves Le Gal, hierry Ruf. Aelier du PCSI (Programme Commun Sysèmes Irrigués) sur la gesion des périmères irrigués collecifs, 200, Monpellier, France. Cirad - Cemagref -IRD, p , <cirad > HAL Id: cirad hp://hal.cirad.fr/cirad Submied on 6 Nov 2007 HAL is a muli-disciplinary open access archive for he deposi and disseminaion of scienific research documens, wheher hey are published or no. he documens may come from eaching and research insiuions in France or abroad, or from public or privae research ceners. L archive ouvere pluridisciplinaire HAL, es desinée au dépô e à la diffusion de documens scienifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanan des éablissemens d enseignemen e de recherche français ou érangers, des laboraoires publics ou privés.

2 P. Garin, P.Y. Le Gal, h. Ruf (édieurs scienifiques), La gesion des périmères irrigués collecifs à l aube du XXI e siècle, enjeux, problèmes, démarches. Aces de l aelier, janvier 200, Monpellier, France. Pcsi, Cemagref, Cirad, Ird, Monpellier France, Colloques, 80 p. Le coû de la disribuion de l'eau Méhode e applicaion à l irrigaion Guy GLEYSES*, Sébasien LOUBIER*, Jean-Philippe ERREAUX* *Cemagref Irrigaion, 36 rue Jean-François Breon, BP 5095 Monpellier, Cedex, France Résumé Ce aricle présene une méhode de calcul du coû de mobilisaion de l'eau pour l'irrigaion, appelé coû financier. Ce ravail es moivé par la recherche d'une meilleure gesion des crédis privés e publics alloués à l'irrigaion, e par la nécessié de pouvoir comparer objecivemen les coûs de différens sysèmes ou méhodes d'irrigaion. Le coû financier se décompose en rois paries d'imporance variable selon les réseaux d irrigaion : coû du capial, coû d'exploiaion e coû de mainenance. On uilise pour cela les méhodes d'acualisaion, e l'on indique commen on peu comparer simplemen enre eux des invesissemens de durées de vie différenes. A ire d'illusraion, cee méhode es appliquée à plusieurs réseaux d irrigaion, pour lesquels on déaille la srucure de coû. Il es noé qu'aucune généralié ne peu êre déduie de la comparaison de ces quelques exemples chiffrés. Absrac he cos of waer resource disribuion mehod and applicaion o irrigaion. We presen in his paper a calculaion mehod of he cos of waer resource mobilizaion for he irrigaion secor. his cos is so-called he financial cos. his work is jusified in he research of a bes managemen of privae and public financing allocaed o irrigaion and he necessiy of comparing objecively he coss of various sysems or mehods of irrigaion. he financial cos splis up ino hree various pars according o he irrigaion neworks, i.e. he capial cos, he operaing cos and he mainenance cos. We use for ha discouning mehods and we show how we can simply compare invesmens of various lives. o illusrae his mehod, we apply i o several neworks for which we relae in deail he cos srucure. However no generaliies can be deduced from he comparison of hese numerical examples. Inroducion Suie aux grands programmes d irrigaion souenus par les gouvernemens e devan faire baisser les prix agricoles, la superficie mondiale irrigable a riplé en quarane ans (Dinar e Subramanian, 997). Aujourd hui, compe enu du coû d opporunié élevé des fonds publics, on assise à ravers le monde au souhai des gouvernemens e de cerains bailleurs de fonds d'un désengagemen progressif du financemen des ouvrages d hydraulique agricole qui, par le passé, on souven éé raiés comme des biens publics, donc financés par des fonds publics. L objecif annoncé de cerains bailleurs de fonds, els que la Banque mondiale, par exemple es clairemen de endre vers des sysèmes arifaires faisan supporer aux usagers le coû financier de mobilisaion de la ressource, évalué aux coûs d opporunié (World Bank, 993) ; (Casillo, 997). En France, l enjeu es auan d'ordre financier que le résula de la pression croissane des aures usagers de la ressource. En effe, bien que la superficie irriguée ne représene en 995 qu environ 20 % de la Sau Aces de l aelier, janvier 200, Monpellier, France 55

3 (soi,62 million d hecares ), elle a cru enre 988 e 995 de 4 % soi un ryhme annuel de 5 % (Janin, 996) ; (Janin, 997). Dans un conexe où le coû d opporunié des fonds publics es élevé, la croissance des surfaces irriguées s accompagne d une augmenaion des conflis d usages. Une des explicaions économique en es l inexisence ou la sous-évaluaion du prix, qui héoriquemen es le meilleur indicaeur de rareé d une ressource. Mais il n exise pas acuellemen de réels marchés de l eau suscepibles de révéler les prix, qui héoriquemen devraien êre au moins égaux aux coûs de mobilisaion de la ressource. On peu avancer deux explicaions à l absence de calcul du coû financier de mobilisaion de la ressource. L éude des plans de financemen monre que par le passé, les divers bailleurs de fonds finançaien la quasi-oalié des invesissemens, la par resane éan prise en charge par le gesionnaire ou l usager. Cela jusifiai en parie que le coû en capial (invesissemen iniial e renouvellemen des équipemens) soi raié indépendammen des coûs d exploiaion e de mainenance des réseaux (Perry, 996), alors qu ils peuven représener de 55 à 85 % du coû financier (Casillo, 997). Cee indépendance de raiemen e la muliplicié des aceurs prenan par au financemen, conribue à créer un écar enre le coû réel de mobilisaion e le prix payé par l usager. Une aure explicaion réside dans les diverses variabiliés des coûs (Loubier, 998). La ypologie des coûs admise en économie de l irrigaion consise à disinguer le coû en capial, le coû de la mainenance e le coû d exploiaion. Or, l évoluion emporelle de ces rois composanes es rès différene. Les invesissemens son rares mais coûeux, les dépenses de mainenance son régulièremen croissanes sur la durée de vie des équipemens e les coûs d exploiaion son relaivemen sables. La seconde variabilié es relaive au niveau de producion : cerains coûs son fixes, d aures variables. Cela se radui dans le cas des réseaux d irrigaion par des rendemens d échelle croissans. En effe, seule une parie du coû d exploiaion (dépenses en énergie) e de mainenance es proporionnelle aux quaniés produies. Enfin, la dernière variabilié es spaiale. Les réseaux les plus proches de la ressource bénéficien d une rene différenielle de mobilisaion e de disribuion. Seuls cerains aueurs on ené de concepualiser les praiques de gesion pour évaluer l effor financier réalisé par rappor à des objecifs de renouvellemen des équipemens e d auonomie financière (Verdier e Millo, 992) ; (Weider e Heriier, 995) ; (ardieu, 999). Ils disinguen rois degrés d équilibre budgéaire correspondan à la prise en compe successive des coûs différés ou apparemmen invisibles. Le pei équilibre correspond à la prise en compe des dépenses d exploiaion e de mainenance uniquemen. Le moyen équilibre correspond à la prise en compe des coûs d exploiaion, de mainenance e le remboursemen en capial du premier invesissemen ou bien l amorissemen echnique de ce invesissemen. Pour obenir le grand équilibre, il suffi alors d inégrer les charges financières dues au premier invesissemen 2. La méhode que nous avons développée perme d évaluer le «coû financier» de mobilisaion d une ressource (prélèvemen, ranspor, sockage e disribuion à la borne). Le coû financier éan la somme des coûs d exploiaion, de mainenance e d acquisiion des équipemens 3 (Gormand, 986). Précisons que «le coû d acquisiion, oure le monan de l acquisiion elle-même prend en compe les frais financiers e évenuellemen l immobilisaion du capial ou le non rendemen des capiaux uilisés (Bouche e al., 988)». Avan de présener la formulaion générale de la méhode, on définira ou d'abord la sphère d analyse pour laquelle ce coû sera calculé. Ensuie, l'analyse d'une parie des résulas, obenus lors de l applicaion de la méhode à cinq éudes de cas, porera plus pariculièremen sur la srucure des coûs, la par supporée par chaque agen e sur la sensibilié des résulas obenus aux principaux paramères du modèle : le aux d acualisaion e les durées de vie des équipemens. On conclura sur les avanages mais égalemen les limies de cee méhode. Don 40% es irrigué dans le cadre de réseaux collecifs. 2 Les aueurs n indiquen pas si le remboursemen en capial ou l amorissemen echnique es calculé sur la base de la oalié des équipemens ou bien seulemen sur la parie que les gesionnaires on financé. Si la base de calcul es la oalié des invesissemens, alors le coû obenu devrai êre proche de celui que nous calculons. 3 Si l on ne ien pas compe des coûs de fin de vie. 56 La gesion des périmères irrigués collecifs

4 La méhode de calcul du coû financier Les explicaions hisoriques e echniques de l absence de calcul du coû financier de mobilisaion de la ressource son surmonables. Dans la liéraure, il y a fréquemmen confusion enre dépenses, prix, valeur, coû financier ou comple. Le coû comple correspond au prix d'un équipemen que l'on observerai sur un hypohéique marché. Le coû financier n es qu un inermédiaire de calcul du coû comple dans les siuaions d imperfecion des marchés qui génèren des exernaliés (figure ). L objecif final es la déerminaion du coû comple. Mais la déerminaion du coû financier es un objecif inermédiaire qu imparfaiemen aein compe enu de ceraines difficulés de calcul : variabilié des coûs e des durées de vie, muliplicié des aceurs généran des coûs invisibles ou différés (subvenions e coûs d opporunié). La méhode proposée perme de résoudre le problème précéden e d agréger les composanes du coû exprimées dans une unié commune. Nous pouvons alors éudier sa srucure e les agens qui le supporen. Le coû ainsi déerminé pourra êre comparé avec prudence 4 aux dépenses effecivemen supporées à un momen donné par les usagers. Coû gesionnaire ou agriculeur (somme des dépenses) Coûs invisibles ou différés (subvenions, coû d opporunié) Coû financier Coû comple Figure. Définiion du coû financier. Exernaliés La sphère d analyse Dans les analyses de projes, les coûs e avanages reirés d un proje son éudiés par rappor aux agens direcemen concernés par le proje e, aussi, par rappor à la collecivié. Les aueurs parlen d analyses financières pour les premières e d analyses économiques pour les secondes. La méhode proposée perme de mener les deux ypes d analyses simulanémen. La collecivié regroupe l ensemble du pays (Giinger, 985). Dès lors que le proje es marginal dans l économie du pays, la collecivié peu désigner un groupe d aceurs direcemen concernés par le proje. Appliquée à la mobilisaion de la ressource en eau, la collecivié regroupe les gesionnaires e les bailleurs de fonds. En France, ces derniers son l Ea, les conseils régionaux, les conseils généraux, les communes e les agences de l'eau, ils seron regroupés sous le erme puissance publique. Schémaiquemen, la collecivié es donc composée de la puissance publique e du ou des gesionnaires. En règle générale, dans les analyses économiques, seuls les prélèvemens direcs sur les ressources par des agens faisan parie de la collecivié ainsi définie, son pris en compe (Squire e Van-der-ak, 975). Les dépenses ou recees privées qui n apporen pas de changemens au revenu global des agens de la sphère d analyse ne son pas inroduies dans le calcul. Il en es de même pour cerains ransfers financiers enre les membres de la sphère d'analyse, comme les impôs, axes ou subvenions. Les hypohèses e les données nécessaires Quare ypes de données son nécessaires à l applicaion de la méhode de calcul. Il es ou d abord indispensable d esimer la valeur des équipemens, leur durée de vie, l évoluion des dépenses de mainenance e le aux d acualisaion. 4. En effe, nous déerminerons un coû moyen héorique qui peu êre supérieur ou inférieur aux dépenses consaées. Ces différences venan esseniellemen de la variaion des annuiés d emprun e de l évoluion des coûs de mainenance. Aces de l aelier, janvier 200, Monpellier, France 57

5 Esimaion de la valeur des équipemens Il y a deux façons d esimer la valeur des équipemens. Le plus simple es d uiliser les plans d invesissemens passés. Comme les prix varien au cours du emps, il es indispensable de calculer le coû financier en référence aux prix d une année donnée. Que les ouvrages soien réalisés sur une coure période ou sur plusieurs années, les dépenses engagées son exprimées en prix nominaux, elles doiven donc êre converies pour éliminer les variaions inhérenes aux inflaions e déflaions, en uilisan l indice des prix des biens inermédiaires composan les équipemens. Lorsque les plans d invesissemen passés ne son pas disponibles, la dépense d invesissemen es esimée sur la base d un devis de reconsrucion du réseau à l idenique à parir des caracérisiques echniques de celui-ci. Si le coû financier doi êre calculé sur les prix d une année différene de celle du devis, il faudra converir le monan du devis pour le ramener au niveau des prix de l année de référence choisie. L acualisaion e le choix d un aux Les echniques compables d'amorissemen ne iennen pas compe ni de la préférence pour le présen des aceurs ni du coû d'opporunié du capial. Aussi, on uilise la echnique de l'amorissemen économique qui repose sur le principe de l'acualisaion 5 (erreaux e al., 200). Pour les éudes de cas, on reiendra 3 % comme valeur du aux d acualisaion (Arrow, 995) ; (erreaux, 997). Les durées de vie Le choix de la durée de vie des équipemens 6 condiionne l esimaion du coû annuel. Lorsque l on souhaie opérer des comparaisons enre réseaux, il es absolumen nécessaire de reenir des hypohèses de durées de vie ideniques non seulemen pour ous les équipemens semblables mais égalemen pour les réseaux eux-mêmes. L évoluion des dépenses de mainenance Le coû de la mainenance 7 prévenive e correcive comprend les dépenses engagées pour payer les consommaions inermédiaires e les ouils du gesionnaire consacrés à la mainenance, la rémunéraion du ravail e des enreprises presaaires de services. Les coûs de mainenance éan croissans sur la durée de vie, on suppose qu ils suiven une évoluion exponenielle, ils son donc calculés sur la base de la valeur acuelle des invesissemens iniiaux. La liéraure sur les réseaux d irrigaion fourni une fourchee du coû de la mainenance (ableau I). On considère que la borne inférieure «f» correspond au niveau héorique de dépense en débu de vie de l équipemen e «f» à la dépense en fin de vie. ableau I. Coûs de mainenance prévenive par ype d équipemen (iercelin, 998). ype d équipemen Pises, digues e errassemen à 2 Coû annuel d enreien (en % de l invesissemen acualisé : f à f ) Génie civil, canalisaions e gros appareillage 0,3 à Pei appareillage,5 à 5 5. De même, dans les analyses économiques de proje, le principe es de prendre en compe les dépenses e les recees au momen où elles inerviennen, de les acualiser e de les sommer afin de comparer la Valeur acualisée nee de plusieurs projes (Squire e Van-der-ak, 975). 6. rès variables en hydraulique agricole. 7. La mainenance es l ensemble des acions permean de mainenir ou de réablir un bien dans l éa spécifié ou en mesure d assurer un service déerminé. L objecif éan la pérennié du foncionnemen normal (norme Afnor Nf x 60-00). 58 La gesion des périmères irrigués collecifs

6 Pour connaîre l évoluion héorique exace des dépenses de mainenance pour chaque équipemen, on cherche le aux de croissance «b» el que les dépenses soien égales à «f» en débu de vie e à «f» la dernière année d uilisaion de l équipemen. On suppose la forme foncionnelle suivane avec «V» la valeur de l équipemen e sa durée de vie. La dépense héorique de mainenance en année es : e compe enu des conraines précédenes, on a : M + = Vf( b ) b = f f Formulaion générale La figure 2 présene le phasage de la méhode de calcul du coû financier. Connaissan l ensemble des aceurs de la sphère d analyse, on idenifie e on exprime en francs courans le monan des invesissemens qu ils consenen à financer puis, on calcule les coûs d exploiaion, de mainenance e du capial que l'on agrége pour obenir le coû financier. Gesionnaires ou agriculeur Dépenses en invesissemen Puissance Publique Dépenses en invesissemen Coû du capial Dépense oale en invesissemen Valeur des équipemens 2+3 Coû de mainenance 4 Coû financier Coû d'exploiaion Analyse de la srucure e de la répariion enre aceurs Analyse de sensibilié : Indices de variaion des prix, 2: Durée de vie des équipemens 3: aux d'acualisaion, 4: aux de croissance des coûs de mainenance Figure 2. Démarche de calcul du coû financier. Le coû du capial Cas d un seul bien Un capial V 0 es invesi à l insan 0 pour un bien durable don la durée de vie es de années. Le coû d usage de ce capial pendan une période es la somme : de la charge financière, elle représene le bénéfice qui aurai pu êre reiré d un emploi alernaif du capial invesi ; ce bénéfice ou coû d opporunié es calculé au aux d acualisaion ( ; de la dépréciaion du bien qui correspond à son usure physique au cours de la période. Aces de l aelier, janvier 200, Monpellier, France 59

7 Ce coû d usage du capial sur une période (K ), définie par deux daes (-) e, peu êre formulé de la façon suivane : K = av - + V - - V = V - (+ - V Avec : V - : valeur du bien en débu de période ; le produi av - représene les charges financières ; V - - V : représene la dépréciaion du bien au cours de la période. On démonre que V 0 es égal à la somme acualisée des coûs d usage du capial par périodes : V (+ V V (+ V (+ V (+ V = 0 + V 0 = = () + + a (+ (+ = (+ V V Le coû d usage du capial ainsi défini, es aussi appelé amorissemen économique ou valeur d usage du capial. Afin de calculer le coû moyen d usage du capial par période, au lieu de coûs K = V - (+ V quelconques, on inrodui une somme consane C qui représene les charges financières e la dépréciaion du bien pour des périodes de même durée. La relaion () s écri : V 0 = = C = (+ On en dédui le coû moyen d usage du capial C pour une année : C = av 0 (+ (+ Cas de plusieurs biens Dès lors que l on s inéresse à un ensemble d équipemens aux durées de vie différenes, on ne peu pas faire la somme des simples coûs moyens pour obenir le coû oal moyen car pour une parie des biens, le coû serai compé en oalié alors que ces biens ne son pas uilisés jusqu à usure physique complèe 8. Il y a donc là une difficulé praique de calcul qui es surmonée en considéran que les biens son renouvelés à l infini (Fausmann, 849) ; (erreaux e al., 200). Dans ce cas seulemen, le coû annuel moyen de l ensemble des équipemens (CC) peu êre obenu par la sommaion des coûs individuels : CC = e= C e e= La prise en compe de la dae de mise en service de l équipemen Afin de enir compe de la mise en service des équipemens à des daes différenes (Persoz e al., 984), il suffi d inégrer au calcul précéden le nombre d année séparan la dae de mise en service du réseau e celle de l équipemen don on recherche le coû. Le coû moyen annuel du capial pour la oalié des équipemens es alors : 8. A défau de pouvoir les revendre sur le marché de l occasion. 60 La gesion des périmères irrigués collecifs

8 CC = a E e= V 0.e (+ (+ e e e Coû de mainenance 9 Le coû de la mainenance dépend de la durée de vie de l équipemen. Là aussi, on se heure à la même difficulé praique de calcul renconrée pour le coû du capial. La même procédure de calcul es donc adopée. E CM = a CM e = a V e.f E ( + e e = e= e e (a b)( + e ( + b ) e ( + e Coûs d exploiaion Les coûs d exploiaion se composen des coûs de gesion courane, d énergie, de personnel e de quelques ransfers. Les coûs de gesion courane son assez facilemen idenifiables car ils donnen lieu à l'éablissemen de facures. Les coûs en énergie son exrêmemen variables d un sysème de mobilisaion à un aure, mais proporionnels aux volumes pompés 0. Les coûs en personnel son idenifiables grâce à la masse salariale. Il es cependan nécessaire d ôer à ce coû la par correspondan au personnel affecé à la mainenance. Si la masse salariale consacrée à la mainenance doi héoriquemen croîre dans le emps, il n y a aucune raison que la par consacrée au personnel adminisraif e au personnel d exploiaion n augmene. Les ransfers concernen esseniellemen les impôs e axes (agence de l eau e services fiscaux), les presaions de services enre divers gesionnaires (convenion de resiuion éablie enre le gesionnaire d une reenue e l usager gesionnaire du réseau d irrigaion) ; selon la sphère d'analyse considérée, ces ransfers son ou ne son pas pris en compe. De façon analogue au calcul des coûs précédens, le coû moyen d exploiaion (CE) sera égal au produi du aux d acualisaion par la somme acualisée des dépenses fuures d exploiaion : CE = a e si E es consan d une année à l aure alors CE = E E + = 0 ( + Applicaions Présenaion des cas éudiés La méhode de calcul du coû de mobilisaion de la ressource en eau es appliquée à cinq siuaions de mobilisaion de la ressource depuis son sie naurel jusqu à la parcelle à irriguer. Elles on éé choisies parmi les siuaions jugées fréquenes en France (Gleyses, 2000). Un cas de réseau d irrigaion a éé éudié pour chaque siuaion : réseau individuel avec prélèvemen dans la nappe (Beauce) ; réseau individuel avec prélèvemen dans une rivière avec un éiage sévère (Drôme) ; réseau collecif avec prélèvemen dans une rivière avec un éiage sévère (Drôme) ; réseau collecif avec prélèvemen dans une rivière réalimenée (Arros) ; réseau collecif avec reenue collinaire (Es de la Sologne). 9. Pour plus de déails sur le mode de calcul du coû de mainenance voir (Loubier e Gleyses, 2000). 0. Cependan, la consommaion élecrique ne dépend pas seulemen des caracérisiques précédenes mais égalemen du degré d usure des pompes e moeurs (c es-à-dire de leur rendemen) e de la surconsommaion ou sous-consommaion par rappor au conra éabli enre le gesionnaire e le fournisseur. Aces de l aelier, janvier 200, Monpellier, France 6

9 Pour chaque cas éudié, l année de référence reenue es 998, qui correspond à une année moyenne en ermes de demande en eau. Cela nous perme d'inroduire des coûs d exploiaion consans puisque la dépense en énergie qui es la seule composane variable du coû es sricemen proporionnelle aux quaniés pompées. Le coû financier collecif Les coûs en réseaux collecifs son rès neemen supérieurs à ceux des réseaux individuels e, au sein du même ype de prélèvemen, le coû financier varie du simple au double (figure 3). Les différences de coûs s expliquen par les choix echniques fais à la créaion du réseau, par la qualié du service offer (pression, débi, uilisaion des prises à la demande ou au our d eau), par la opographie des lieux e la opologie des parcelles à équiper. F/ha F/m Coû à l hecare équipé 3980 Coû au m 3 consommé ,40 2, , , , , , ,5 0 Prélèvemens individuels Réseaux collecifs 0 Beauce Drôme Drôme Arros Sologne Figure 3. Coû financier. Les deux réseaux pour lesquels il y a sockage d eau (Sologne e Arros) n on pas le coû par hecare irrigué le plus élevé. La par du coû financier correspondan aux reenues es de 449 F/ha pour l Arros e de 48 F/ha pour la reenue collinaire, soi respecivemen 22 % e 6 % du oal. La hiérarchie des coûs au mère cube es différene de celle des coûs par hecare irrigué. Les réseaux avec des consommaions moyennes annuelles de plus de m 3 /ha on les coûs par mère cube les plus faibles (individuel, Drôme ; collecifs de l Arros e de la Drôme). C es le réseau avec reenue de la Sologne qui a le coû au mère cube le plus élevé car, comme pour le prélèvemen individuel en Beauce, la consommaion es faible : 200 m 3 /ha. Srucure e répariion du coû financier Le coû du capial es décomposé en coû d opporunié du capial e en dépréciaion physique des biens. Le capial représene de 50 à 72 % du coû financier (50 e 58 % pour les prélèvemens individuels e de 64 à 72 % pour les prélèvemens collecifs). Il es inéressan de noer la par imporane que représene le coû d opporunié dans le coû du capial : 35 e 4 % en prélèvemen individuel e de 43 à 57 % en réseau collecif (figure 4). Ces différences son dues aux durées de vie des équipemens car, lorsque celles-ci augmenen, la par du coû d opporunié sui la même évoluion. 62 La gesion des périmères irrigués collecifs

10 Par rappor au coû du capial, les coûs d exploiaion son relaivemen peu variables d une siuaion à l aure, en pariculier, ils son voisins pour les rois réseaux collecifs. Les coûs d exploiaion son foremen déerminés par les dépenses d énergie qui représenen de 50 à 00 % des dépenses d exploiaion. Mainenance 34% 2% 33% 3% Exploiaion Dépréciaion physique Coû d'opporunié 8% 39% 3% 30% 37% 24% 7% Nappe de Beauce Rivière avec éiage sévère Prélèvemen individuel 3% 2% 3% 4% 6% 23% 30% Rivière avec éiage sévère 33% Rivière avec souien d'éiage Prélèvemen collecif 3% Reenue collinaire Figure 4. Srucure du coû financier. Les coûs de mainenance on praiquemen la même valeur quelle que soi la siuaion, excepé pour le réseau collecif «Drôme», qui se singularise par des coûs de mainenance les plus élevés : 698 F/ha soi 8 % du coû financier. Cee siuaion es due, d une par, à une dépense d invesissemen à l hecare qui es la plus élevée e, d aure par, à un invesissemen proporionnellemen plus imporan en saion de pompage : 3 % de l invesissemen oal. Les saions son les biens qui occasionnen les dépenses de mainenance les plus élevées par rappor à leur valeur d acha. Dans les cinq siuaions éudiées, elles représenen une par du coû de mainenance plus que proporionnelle à leur par dans le coû du capial. Dans les deux cas de prélèvemen individuel, l irrigan, suppore la oalié du coû financier. Seulemen 2 % du coû es pris en charge par l Agence de l eau pour le cas «Beauce». La par du coû pris en charge par les gesionnaires de réseaux collecifs représene de 57 à 64 % du coû financier (57 % pour le réseau de la Drôme, 63 % pour celui de Sologne e 64 % pour le réseau de l Arros). Elle comprend la oalié des coûs de mainenance e d exploiaion e une par plus ou moins grande du coû du capial, de 37 à 49 %. La par du coû financier supporée par la puissance publique représene pour les réseaux collecifs de 36 à 43 % avec une répariion enre insiuions rès variable d'un cas à l'aure selon la dae de créaion des réseaux e selon les choix de poliiques publiques locales e naionales. Aces de l aelier, janvier 200, Monpellier, France 63

11 Coû financier e prix payé par l usager Le coû financier es issu du calcul économique présené précédemmen alors que le prix payé par l usager correspond à une année donnée (998), e son mode de calcul es différen. Le ableau II illusre les risques d inerpréaions erronées qui peuven résuler d une comparaison hâive enre le prix payé une année donnée e le coû financier. L exemple des deux réseaux individuels es frappan de ce poin de vue-là. Alors qu ils n on bénéficié d aucune subvenion d invesissemen, ils supporen 00 % du coû financier e n'on payé en 998 que 42 e 44 % du coû financier. Cela es ou simplemen dû au fai que, d une par, le remboursemen des empruns iniiaux es erminé e que d aure par, le réseau es suffisammen jeune pour que les dépenses de mainenance soien inférieures à la par du coû financier héoriquemen consacrée à la mainenance. Lorsque les réseaux collecifs son en cours de remboursemen d emprun pour la créaion des aménagemens, le prix payé peu correspondre au coû financier. C es le cas du jeune réseau de Sologne. Les écars consaés peuven égalemen venir du fai que cee méhode de calcul du coû financier ne perme pas de prendre en compe les choix des gesionnaires en ermes de poliique de mainenance. Or, cerains gesionnaires, soucieux de réduire les dépenses oales acuelles, peuven négliger la mainenance des équipemens au risque de devoir les renouveler plus ô (iercelin, 998) ; (Planey, 999). La comparaison enre prix payé e coû financier me en lumière l influence déerminane de la posiion de l équipemen dans son cycle de vie. ableau II. Prix, âge du réseau e annuiés d emprun. ype de prélèvemen Individuel Collecif Lieu Beauce Drôme Drôme Arros Sologne Prix payé en 998 (en % du coû financier) Age du réseau en Annuiés en F de Sensibilié du coû financier aux durées de vie e au aux d acualisaion Quelles que soien les siuaions éudiées, les coûs du capial e de mainenance représenen une par imporane du coû financier, de 63 à 87 %, or, ils dépenden ous deux des hypohèses reenues pour la durée de vie des équipemens e le aux d acualisaion. On va donc successivemen calculer puis analyser les coefficiens d élasicié du coû financier aux durées de vie d une par e au aux d acualisaion d aure par. Elasicié du coû financier à la durée de vie des équipemens Pour les cinq siuaions éudiées : le coefficien d élasicié es négaif e inférieur à, il s ensui que lorsque la durée de vie augmene, le coû financier diminue moins que proporionnellemen aux variaions de durées de vie e inversemen ; en valeur absolue, le coefficien d élasicié diminue lorsque la durée de vie des équipemens augmene ; dans la plage de variaion de la durée de vie de 20 % à + 20 %, le coefficien d élasicié en valeur absolue es compris enre 0,20 e 0,44 selon la durée de vie e la siuaion considérée. Cependan le coefficien d élasicié du coû financier, en valeur absolue, es plus ou moins élevé selon les siuaions. Cee variabilié s explique par des différences sur la srucure de durée de vie des équipemens e sur l imporance relaive des coûs du capial, de mainenance e d exploiaion dans le coû financier.. Ou bien qu ils n on pas eu recours à l emprun pour financer leurs invesissemens iniiaux. 64 La gesion des périmères irrigués collecifs

12 Une réducion de la durée de vie de ous les biens d équipemen de 20 % se radui par une augmenaion du coû financier de 6 à 0 %. Une augmenaion de la durée de vie des mêmes biens de 20 % se radui par une réducion du coû de 4 à 6 %. Elasicié du coû financier au aux d acualisaion Dans les éudes de choix d'invesissemens, les planificaeurs reiennen des aux qui, en foncion de la conjoncure, peuven aeindre 0 %. De els aux on un effe rès sélecif. On a esé la sensibilié du modèle de calcul en faisan varier le aux d acualisaion de 2 à 7 % par an. Les résulas des simulaions monren que dans ous les cas, le coû financier augmene avec le aux d acualisaion e que les réseaux collecifs son plus sensibles au aux d acualisaion que les cas de prélèvemen individuel. Le coefficien d élasicié du coû financier au aux d acualisaion es : posiif e inférieur à, le coû financier varie comme le aux d acualisaion mais moins que proporionnellemen. Il varie de 0,9 à 0,63 selon les siuaions e la valeur du aux ; en valeur absolue, le coefficien d élasicié augmene avec le aux d acualisaion, la sensibilié du coû financier au aux d acualisaion es d auan plus fore que le aux d acualisaion es élevé. Le coefficien d élasicié es variable selon les siuaions, il es plus élevé pour les réseaux collecifs que pour les prélèvemens individuels. Ces différences de sensibilié au aux d acualisaion son dues à la durée de vie des équipemens, les réseaux collecifs on la plus faible proporion de biens d équipemen avec une durée de vie inférieure à 30 ans en pariculier c es le réseau de l Arros qui a l élasicié du coû au aux d acualisaion la plus fore e la plus faible proporion de biens d équipemen à durée de vie coure. Lorsque le aux d acualisaion double, de 3 à 6 %, le coû financier augmene de 9 à 40 % selon les siuaions. De façon générale, le coû financier es peu sensible à la durée de vie des biens, il es plus sensible au aux d acualisaion même si le coefficien d élasicié par rappor à ce aux rese inférieur à. Aussi, pour des biens de durée de vie rès longue, 75 ans e au-delà, il vaudra mieux êre aenif au choix du aux d acualisaion, qu à celui de la durée de vie don l effe sur le coû es moindre. Conclusion La méhode présenée perme de calculer le coû financier de mobilisaion de la ressource en eau pour l'irrigaion depuis son sie naurel jusqu'au lieu de livraison à l'usager. Les composanes du coû (coû d'opporunié du capial, dépréciaion physique, mainenance e exploiaion) e la répariion du coû enre les différens agens de la sphère d'analyse son égalemen évalués. L avanage de la méhode es la possibilié de comparer différens modes de mobilisaion d un poin de vue économique. Cee méhode a éé appliquée à différenes siuaions de prélèvemen renconrées en France : deux cas en prélèvemen individuel e rois cas en réseau collecif. Le coû financier es différen d un cas à l aure. La qualié du service (pression e débi à la borne), le dénivelé e la disance des parcelles à la ressource expliquen pour une bonne par ces différences. Le coû financier es neemen plus faible en prélèvemen individuel qu en réseau collecif, principalemen en raison d une plus faible disance enre les parcelles e la ressource. Pour l'inerpréaion des résulas, le choix de l'unié dans laquelle es exprimé le coû financier (volume ou surface) es esseniel car la hiérarchie enre réseaux es modifiée. Le coû en capial es la principale composane du coû financier : au moins 50 % en prélèvemen individuel e des deux iers au rois quars du coû financier en réseau collecif; e la par du coû d opporunié es d'auan plus fore que les réseaux son composés d'équipemens à durées de vie longues. La par du coû financier supporée par les organismes publics ayan financé une parie des aménagemens, n es imporane que pour les réseaux collecifs éudiés. Selon les cas, elle se siue enre 36 e 43 % ; le coû resan es supporé par le gesionnaire des aménagemens. Aces de l aelier, janvier 200, Monpellier, France 65

13 Si l inceriude sur la durée de vie des biens a des effes relaivemen faibles sur le coû financier, par conre, le choix du aux d acualisaion a des effes beaucoup plus sensibles. Cee dernière sensibilié dépend de la srucure du capial e de l'échelonnemen des invesissemens réalisés. Elle augmene avec la proporion de biens à durée de vie longue e diminue lorsque les invesissemens son réalisés progressivemen. Dans les cinq cas éudiés, pour les plages de variaion du aux d acualisaion e de durée de vie esées, la hiérarchie des coûs enre les différenes siuaions n es pas modifiée. La méhode es aisée à mere en œuvre, dès lors que oues les dépenses d invesissemen e leur calendrier son parfaiemen connus ainsi que les dépenses d exploiaion. Elle es relaivemen robuse car la hiérarchie des résulas (coûs e répariion des poses de coûs) en foncion des ypes de réseaux es peu sensible aux hypohèses sur la durée de vie des équipemens e sur le aux d acualisaion. Cependan, la méhode peu êre améliorée avec la prise en compe des choix de poliiques de mainenance des gesionnaires, des aux d'acualisaion propres à chaque agen e des modificaions des poliiques publiques au cours du emps. Cee méhode de calcul rese incomplèe car elle ne ien pas compe des effes exernes (coûs indirecs marchands e coûs direcs e indirecs non marchands), mais dès lors que l'on dispose des données nécessaires, elle peu êre généralisée à l'ensemble des coûs. Remerciemens Les aueurs remercien en pariculier le comié iner-agences de l eau qui a permis la réalisaion de ce ravail grâce à son aide financière. Bibliographie ARROW J., 995. Effe de serre e acualisaion. Revue de l'énergie, ocobre 995 : 6 p. BOUCHE M., PLAUCHU V., e al A la recherche du coû financier. Revue Achas e enreien, (403) : CASILLO A.M.D., 997. Waer pricing experiencies: an inernaional perspecive - Capial cos recovery: an inernaional experience in irrigaion projecs. World Bank echnical Paper, (386) : DINAR A., SUBRAMANIAN A., 997. Waer pricing experiences: a inernaional perspecive. World Bank echnical Paper, (386) : -2. FAUSMANN M., 849. Calculaion of he value which fores land and immarure sands prossess for foresry. Reprin in Journal of Foresry Economics, () : GIINGER J. P., 985. Analyse économique des projes agricoles. Washingon, Eas-Unis, Banque Mondiale: insiu de développemen économique, 547 p. GLEYSES G., Evaluaion des surfaces irriguées en France: Analyse selon l'origine de la ressource e le mode de disribuion. Monpellier, France, Cemagref - Ur Irrigaion WP , 6 p. GLEYSES G., LOUBIER S., Les coûs de mobilisaion de la ressource en eau pour l'irrigaion: Méhode de calcul e éude de cas. Monpellier, France, Cemagref UR irrigaion - Agence de l'eau RMC, 268 p. GORMAND C., 986. Le coû global. Paris, France, Afnor, 229 p. JANIN J.L., 996. L'irrigaion en France depuis 988. La Houille Blanche, (8) : JANIN J.L., 997. L'irrigaion oujours en hausse. Agrese - Les cahiers, (26) : 3-7. LOUBIER S., 998. Pour une gesion durable d'un périmère irrigué: le choix d'une poliique de mainenance e de renouvellemen des équipemens des réseaux d'irrigaion sous pression gérés par des 66 La gesion des périmères irrigués collecifs

14 associaions syndicales auorisées. Mémoire de DEA, Universié de Monpellier I - Ensam -Cemagref, France, 04 p. LOUBIER S., GLEYSES G., Méhode générale de calcul des coûs: spécificiés pour une applicaion à la mobilisaion de la ressource en eau pour l'irrigaion. Monpellier, France, Cemagref - Ur Irrigaion WP : 37 p. PERRY C. J., 996. Alernaive approaches o cos sharing for waer service o agriculure in Egyp. Colombo, Sri Lanka, Inernaional Irrigaion Managemen Insiue (IIMI),.5 p. PERSOZ H., SANUCCI G., LEMOINE J. C., SAPE P., 984. héorie économique de la planificaion des réseaux In La planificaion des réseaux élecriques. Collecion de la Direcion des Eudes e Recherche d'elecricié de France. Paris, France, Eyroles, p PLANEY J., 999. Susainable managemen principles of French hydro-agriculural schemes. Irrigaion and Drainage Sysem, 3 (2) : SQUIRE L., VAN-DER-AK H. G., 975. Analyse économique des projes. Paris, France, Economica, 59 p. ARDIEU H., 999. La valeur de l'eau en agriculure irriguée: une informaion économique nécessaire pour mieux réguler la gesion de l'eau e des producions agricoles dans un marché ouver. Granada, Spain, 7h Congress of Inenaional Commission on Irrigaion and Drainage, vol G : 9 p. ERREAUX J.P., 997. Choix d'invesissemen e déerminaion du aux d'acualisaion. Monpellier, France, Cemagref - Ur Irrigaion WP : 8 p. ERREAUX J.P., GLEYSES G., LOUBIER S., 200. Sur la déerminaion du coû de l'eau d'irrigaion. Monpellier, France, Cemagref - Ur Irrigaion WP 200, à paraîre. PLANEY J., BLANC J., (998). Managemen d'un organisme gesionnaire de périmère irrigué In raié d'irrigaion, IERCELIN J. R. (ed). Paris, France, ec&doc, p VERDIER J., MILLO J. L., 992. Mainenance des périmères irrigués. Paris, France, Minisère de la coopéraion e du développemen, Collecion echniques rurales en Afrique, 323 p. WEIDNER R., HERIIER M., 995. La mainenance des réseaux d'irrigaion. La Haye, pays-bas. 5ème congrès de ICID : 5 p. World Bank, 993. Waer ressource managemen: A policy paper. Washingon, Eas-Unis, D.C. Aces de l aelier, janvier 200, Monpellier, France 67

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