CI-5 MODÉLISER, PRÉVOIR ET VÉRI-

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CI-5 MODÉLISER, PRÉVOIR ET VÉRI-"

Transcription

1 CI-5 MODÉLISER, PRÉVOIR ET VÉRI- FIER LES PERFORMANCES DES SYS- TÈMES COMBINATOIRES ET SÉQUENTIELS. CI-5-2 MÉMORISER L INFORMA- TION. PRÉVOIR, SIMULER ET VA- LIDER UN SYSTÈME SÉQUENTIEL Objecifs MODELISER-SIMULER-VALIDER-OPTIMISER A l issue de la séquence, l élève doi êre capable de: B2 : Proposer un modèle de connaissance e de comporemen Représener ou ou parie de l évoluion emporelle Décrire e compléer un algorihme représené sous forme graphique F2 : Mere en oeuvre une communicaion Choisir l ouil de descripion adapé à l objecif de la communicaion Décrire le foncionnemen du sysème en uilisan un vocabulaire adéqua Table des maières 1 Sysème séqueniel Définiion Srucure d un sysème séqueniel Chronogrammes ou diagrammes de Gan Diagramme de séquence (sd) Mémoires Principe de réalisaion d une foncion mémoire Bascule RS Bascules RS synchronisés Diagrammes d éas e d aciviés Inroducion Le diagramme d éas Le diagramme d aciviés Synhèse sur le posiionnemen relaif de ces deux diagrammes Les srucures algorihmiques de base L affecaion Le groupe ou bloc d insrucions Foncions e procédures La srucure alernaive (condiionnelle) Les srucures répéiives (iéraives) GERMAIN GONDOR

2 1. SYSTÈME SÉQUENTIEL 2/18 1 Sysème séqueniel 1.1 Définiion DÉFINITION: Sysème séqueniel Sysème où l éa des sories S i dépend de l éa des enrées à l insan présen, mais aussi de l hisoire de l évoluion des enrées-sories. EXEMPLE : Commande d un moeur élecrique par un sysème séqueniel. On remarque sur le chronogramme de droie que la sorie S peu présener une valeur différene (0 ou 1) pour une configuraion idenique des enrées m e a. m marche: m arrê: a Commande Moeur S a Amplificaeur Moeur S Commande d un moeur élecrique Le sysème es capable de mémoriser de l informaion. Cee informaion mémorisée es l éa du sysème, qui peu êre représené par un veceur d éa #» X= (x 1, x 2,..., x n ). E Sysème de commande #» x 1 X=... x n S E #» X Sysème de commande S Représenaion d un sysème séqueniel par un sysème combinaoire muni d un veceur d éa Connaissan #» X e #» E, la sorie #» S peu êre déerminée comme une foncion booléenne de #» X e de #» E : #» S = f ( #» X, #» E). L éa inerne #» X à l insan dépend de #» E() e de l éa inerne immédiaemen précéden : #» X=f ( #» E(). #» X( ) ). 1.2 Srucure d un sysème séqueniel La srucure d un sysème séqueniel fai apparaîre deux blocs foncionnels combinaoires. Un sysème séqueniel évolue à parir d enrées logiques e à parir de son éa caracérisé par un cerain nombre de variables inernes. Les variables inernes évoluen à parir des enrées e de leurs propres valeurs mémorisées. La mémorisaion des variables inernes Y i (Y n+1 ) es réalisée au moyen d élémens spécifiques ou dans la consrucion même du sysème. Les emps de propagaion des signaux dans le bloc C1 permeen de définir les valeurs acuelles des variables inernes y i (Y n ) e les fuures valeurs Y i (Y n+1 ).

3 1. SYSTÈME SÉQUENTIEL 3/18 Enrée y i Bloc combinaoire C1 Y i Bloc combinaoire C2 Sorie Mémorisaion 1.3 Chronogrammes ou diagrammes de Gan Afin de caracériser ces sysèmes, on uilise alors les chronogrammes (aussi appelés diagrammes de Gan). On représene l évoluion chronologique des enrées e sories en considéran des changemens d éas insananés e simulanés. Exemple de chronogramme: e 1 e 2 e 3 S 1 S Diagramme de séquence (sd) Définiions Le diagramme de séquence es un diagramme comporemenal appelé Sequence Diagram (sd) dans le langage SysML. DÉFINITION: Diagramme de séquence diagramme permean de décrire les ineracions exisan enre plusieurs eniés, celles-ci pouvan êre des aceurs, le sysème ou ses sous-sysèmes. Le diagramme ne monre donc que l enchaînemen séqueniel des différenes ineracions. Un diagramme de séquence es raaché à un cas d uilisaion e décri ce dernier en enier ou en parie, ce qui correspond à un scénario de foncionnemen possible, défini dans un cadre précis : il peu donc abouir ou aussi bien à des évoluions posiives (foncionnemen normal) ou négaives (gesion des problèmes), en pariculier dans la phase de démarrage avan le foncionnemen normal. Le diagramme de séquence monre la séquence vericale des messages passés enre élémens (lignes de vie) au sein d une ineracion. DÉFINITION: Ligne de vie Représenaion de l exisence d un élémen paricipan dans un diagramme de séquence. Une ligne de vie possède un nom e un ype. Elle es représenée graphiquemen par une ligne vericale en poinillés.

4 1. SYSTÈME SÉQUENTIEL 4/ Aspecs graphiques Pour les messages propres à un cas d uilisaion, les diagrammes de séquence "sysème" monren non seulemen les aceurs exernes qui ineragissen direcemen avec le sysème, mais égalemen ce sysème (en an que boîe noire) e les événemens sysème déclenchés par les aceurs. L ordre chronologique se déroule vers le bas e l ordre des messages doi suivre la séquence décrie dans le cas d uilisaion. On représene un diagramme de séquence "sysème en plaçan de façon privilégiée l aceur principal à gauche, puis une ligne de vie unique représenan le sysème en boîe noire, e, enfin, les évenuels aceurs secondaires solliciés duran le scénario à droie du sysème. DÉFINITION: Message Appel d un comporemen chez le desinaaire. Cela peu êre des signaux ou des opéraions. On disingue rois caégories de messages: synchrones : l expédieur aend une réponse pour poursuivre asynchrones : l expédieur n aend rien en reour réponses : REMARQUE: il exie aussi des messages réflexifs Fragmens combinés SysML propose une noaion rès uile : le fragmen combiné. Chaque fragmen possède un opéraeur e peu êre divisé en

5 2. MÉMOIRES 5/18 opérandes. Les principaux opéraeurs son : loop : boucle. Le fragmen peu s exécuer plusieurs fois, e la condiion de garde explicie l iéraion ; op : opionnel. Le fragmen ne s exécue que si la condiion fournie es vraie ; al : fragmens alernaifs. Seul le fragmen possédan la condiion vraie s exécuera Conraines emporelles SysML perme d ajouer des conraines emporelles sur le diagramme de séquence. Il exise deux ypes de conraines : la conraine de durée perme d indiquer une conraine sur la durée exace, la durée minimale ou la durée maximale enre deux événemens ; la conraine de emps perme de posiionner des labels associés à des insans dans le scénario au niveau de cerains messages e de les relier ainsi enre eux. Pour simuler l aube, la lampe commence à émere doucemen rene minues avan l heure du réveil. Le message 3 : lumière douce modélise ce débu d éclairage. La conraine de durée es représenée par une double flèche en prolongemen de ce message e du déclenchemen de l alarme (message 5), avec la durée enre accolades :{30 mn}. La conraine de emps, pour sa par, es représenée en associan une conraine{ = Halarme} en prolongemen du message 5, e une aure conraine{ = Halarme - 30 mn} en prolongemen du message 3.

6 2. MÉMOIRES 6/18 2 Mémoires DÉFINITION: Foncion mémoire Foncion ayan pour bu de conserver une informaion de l éa des variables, de se souvenir d un événemen du passé On uilise noammen les foncions mémoires pour réaliser des compeurs. 2.1 Principe de réalisaion d une foncion mémoire Le principe de réalisaion d une foncion mémoire repose sur le fai d uiliser la sorie comme enrée pour mainenir l informaion. S e s Exemple de réalisaion d une mémoire élémenaire? 1 s représene l éa de la sorie S à l insan immédiaemen 1 1 précéden. Si iniialemen e e s son à 0, un passage de e à 1 à un insan 0 condui à s=1 pour > 0, quelle que soi la valeur de e après 0. S mémorise si e es passé à 1 au cours du emps. L inconvénien de cee mémoire élémenaire es qu il es impossible de la remere à zéro! 2.2 Bascule RS Une bascule RS es un composan de mémorisaion à deux enrées : R e S Représenaion S (se) enrée de mise à un de la mémoire R (rese) enrée d effacemen de la mémoire Q sorie R S Q Q Foncionnemen Tableaux de Karnaugh R S Q n Q n ? Mémorisaion (Q variable d éa) Combinaison à déerminer r.s Q n ? 0 1 1? 0

7 2. MÉMOIRES 7/ Réalisaion de la bascule En foncion de la valeur de la sorie Q choisie pour la combinaison RS= 1, on aboui à différenes réalisaions Bascule RS à déclenchemen prioriaire RS = 1 Q = 0 r s Q 1 Q 2 Archiecure d une mémoire à déclenchemen prioriaire Q1= s+ Q2= s+r+q1= s.(r+q1) e Q2=r+Q1=r.(s+ Q2) REMARQUE: Q2 Q1 Bascule RS à enclenchemen prioriaire RS = 1 Q = 1 r s Q 1 Q 2 Archiecure d une mémoire à enclenchemen prioriaire Q1= s.q2= s.r.q1= s+(r.q1) e Q2=r.Q1=r+(s.Q2) REMARQUE: Q2 Q1 Bascule RS à enrée simulanée passive RS= 1 Q n = Q n 1 (mémorisaion) Bascule RS à enrée simulanée acive RS= 1 Q n = Q n 1 (commuaion) Archiecure d une mémoire à à enrée simulanée acive Archiecure d une mémoire à à enrée simulanée passive 2.3 Bascules RS synchronisés Ces mémoires son uilisées en informaique. Les enrées R e S ne son lues qu à chaque emps d horloge. Le emps de propagaion dans les pores logiques e les fils limie la fréquence de l horloge.

8 3. DIAGRAMMES D ÉTATS ET D ACTIVITÉS 8/18 On disingue les bascules à déecion sur les frons monan de l horloge e les bascules à déecion sur les frons descendan de l horloge. Déecion sur les frons monan de l horloge: R Q h: Clock h h S Q EXEMPLE : : Bascule RS synchronisée sur les frons monans h Déecion sur les frons descendan de l horloge: S h h h: Clock R S Q Q R Q REMARQUE: Ce ype de mémoire nécessie de l énergie. Les informaions son perdues en cas de coupure de l alimenaion (mémoire RAM). 3 Diagrammes d éas e d aciviés 3.1 Inroducion La machine à nombre fini d éas (FSM : Finie Sae Machine), es aussi appelée auomae fini. Elle peu êre une enié maérielle (un microprocesseur par exemple), mais aussi une enié concepuelle comme un algorihme. Elle compore un nombre fini d éas. DÉFINITION: Ea Représenaion d une siuaion d une durée finie duran laquelle un sysème exécue une acivié, saisfai à une ceraine condiion ou bien es en aene d un événemen. La machine à éas es un sysème à évènemen discres, capable de mémoriser des données, de les raier e de les resiuer selon des scénarios définis au préalable. Elle peu êre définie par : un éa iniial un ensemble d événemens un ensemble d éas un ensemble d aciviés un ensemble de règles permean de déerminer le comporemen du sysème. Dans un éa, un sysème peu avoir une acivié ou êre en aene. Les éas d un sysème se succèden en foncion d événemens. Un événemen es une descripion d occurrence qui condui à une évoluion du comporemen du sysème. On l appelle aussi un déclencheur (rigger).

9 3. DIAGRAMMES D ÉTATS ET D ACTIVITÉS 9/ Le diagramme d éas Définiion Le diagramme d éas es un diagramme comporemenal appelé SaeMachine Diagram (sm) dans le langage SysML. DÉFINITION: Diagramme d éas (sm) Diagramme don la descripion du comporemen ser à monrer les différens éas pris par le bloc en foncion des évènemens qui lui arriven. Le diagramme d éas es raaché à un bloc (ou pluô à son insance) qui peu êre le sysème, un sous-sysème ou un composan Ea Les élémens graphiques uilisés dans ce diagramme son principalemen des recangles aux coins arrondis pour représener les éas. éa 1 L éa iniial correspond à la créaion de l insance du bloc pour lequel le diagramme d éa es spécifié. L éa final correspond à la desrucion de cee insance de bloc. Il peu y en avoir plusieurs dans un diagramme d éas. En effe, plusieurs scénarios peuven êre possibles pour mere fin à un comporemen Transiion Une ransiion peu êre associée à un événemen, à une condiion de garde e / ou à un effe (une acion). éa 1 événemen [condiion de garde] / effe ransiion réflexive éa 2 éa 3 Le passage d un éa à un aure se fai en franchissan une ransiion : éa 1 even [es] éa 2 éa 1 even éa 2 éa 1 [es] éa 2 éa 1 éa 2 A l occurrence de even, es es évalué e la ransiion es franchie uniquemen si es es vrai. L évenuelle acivié es inerrompue. Si es n es pas vrai, even es perdu e il fau aendre une seconde occurrence de even pour évenuellemen franchir la ransiion si cee fois es es vrai. A l occurrence de even, la ransiion es franchie sans condiion. L évenuelle acivié es inerrompue. Si es es vrai, la ransiion es franchie uniquemen dès la fin de l évenuelle acivié (qui doi donc êre une acivié finie). S il n y a pas d acivié associée à l éa 1, la ransiion es franchie immédiaemen si es es vrai. Transiion de compléion : es immédiaemen franchie dès la fin de l évenuelle acivié. Equivau à [1].

10 3. DIAGRAMMES D ÉTATS ET D ACTIVITÉS 10/18 Une ransiion réflexive enraîne une sorie d éa puis un reour dans ce même éa. Cela n es donc pas sans conséquences selon les cas. Il exise quare ypes d événemens associés à une ransiion : le message (signal even) : un message asynchrone es arrivé, l événemen emporel (ime even) : un inervalle de emps s es écoulé depuis l enrée dans un éa (mo clé afer) ou un emps absolu a éé aein (mo clé a), l événemen de changemen (change even) : une valeur a changé de elle sore que la ransiion es franchie (mo clé when), l événemen d appel (call even) : une requêe de foncion (operaion) du bloc a éé effecuée. Un reour es aendu. Des argumens (paramères) de foncion peuven êre nécessaires. éa 1 message éa 1 afer (10 s) éa 2 éa 2 éa 1 when (valeur = 5) éa 1 foncion (paramères) éa 2 éa 2 La condiion de garde es une expression booléenne faisan inervenir des enrées e/ou des variables inernes. Elle auorise le passage d un éa à un aure Acivié e acion A un éa, on peu ainsi principalemen raacher une acivié, une acion d enrée e une acion de sorie. Une acivié peu êre considérée comme une unié de comporemen. Elle prend du emps e peu êre inerrompue. On la rouve à l inérieur des nœuds du diagramme (mo clé do). éa enry / acion d enrée do / acivié exi / acion de sorie A conrario, une acion ne prend pas de emps e ne peu pas êre inerrompue. Son exécuion peu par exemple provoquer un changemen d éa, l émission d un ordre pour un préacionneur ou un reour de valeur. On peu les rouver dans les ransiions (effe) ou dans les éas (mos clé enry ou exi). Les acions son les élémens de base permean de spécifier les

11 3. DIAGRAMMES D ÉTATS ET D ACTIVITÉS 11/18 aciviés dans des diagrammes d acivié Ea composie (super-éa) Un éa composie es consiué de sous-éas liés par des ransiions. Cela perme d inroduire la noion d éa de niveau hiérarchique inférieur e supérieur. éa 5 : éa composie éa 5 : éa composie éa composie renvoyan à un aure diagramme éa 51 éa Régions orhogonales Un éa composie peu égalemen conenir des régions concurrenes (ou orhogonales), il suffi graphiquemen de le séparer par des rais poinillés. Chaque région peu alors êre nommée (opionnel). Elle conien ses propres éas e ses propres ransiions. Les régions son dies concurrenes car elles peuven évoluer en parallèle e indépendammen. L éa couran de l élémen concerné devien alors un veceur à plusieurs lignes (auan que de régions). Dans l exemple précéden, à parir de l éa E1, quand l événemen ev1 arrive, l élémen passe dans l éa composie E2.

12 3. DIAGRAMMES D ÉTATS ET D ACTIVITÉS 12/18 Cela signifie qu il es à la fois dans les éas disjoins E31 e E41. Ensuie, suivan l ordre d arrivée des événemens ev2, ev3 ou ev4, chaque région va évoluer indépendammen. Pour passer à l éa E5, il faudra que l élémen soi à la fois dans E32 e E43 quand ev5 arrivera Les pseudo-éas DÉFINITION: Pseudo-éa Elémen de commande qui influence le comporemen d une machine d éa. Ils peuven êre uilisés dans un diagramme d éas ou dans un diagramme d acivié. Le formalisme SysML adme neuf pseudo-éas : shallow hisory H : perme à un éa de niveau hiérarchique supérieur (éa composie) de se souvenir du dernier sous-éa, avan qu il n évolue vers un aure éa, deep hisory H : idem que précédemmen mais avec la propagaion de l hisorique à ous les sous-éas composies de niveaux hiérarchiques inférieurs, fork e join : divergence e convergence de séquences parallèles, choice e merge : sélecion (choice) e convergence (merge) de séquences exclusives. Il es nécessaire qu une condiion siuée en aval soi vraie pour que l évoluion du sysème se poursuive. Les condiions de gardes doiven êre exclusives. Le mo clé else peu-êre uilisé pour englober ou ce qui n es pas décri dans les aures expressions booléennes. Les condiions de garde siuées en aval son oues évaluées une fois le pseudo-éa aein, juncion : idem au pseudo-éa choice, à la différence que pour qu un chemin soi empruné, oues les condiions de garde siuées en aval e en amon, doiven êre vraies. L évaluaion des condiions avales es réalisée avan que le pseudo-éa soi aein,

13 3. DIAGRAMMES D ÉTATS ET D ACTIVITÉS 13/18 enry poin e exi poin : perme de créer un poin d enrée du diagramme e un poin de sorie vers un aure diagramme, erminae : perme de erminer une séquence sans desrucion de l insance de bloc. 3.3 Le diagramme d aciviés Présenaion Le diagramme d aciviés es un diagramme comporemenal appelé Aciviy Diagram (ac) dans le langage SysML. DÉFINITION: Diagramme d aciviés (ac) Diagramme permean de représener le déroulemen d un processus sous la forme d une acivié correspondan à une décomposiion séquenielle d acions, aussi appelées âches. Il perme de décrire la ransformaion des flux d enrées en flux de sories (maières, énergies, informaions) par le biais de séquences d acions ou acivié déclenchées par des flux de conrôle. Lorsqu une âche es erminée, la suivane commence. Dans sa forme la plus resreine, ce diagramme représene un algorigramme, c es-à-dire un flux de conrôle.

14 3. DIAGRAMMES D ÉTATS ET D ACTIVITÉS 14/18 REMARQUE: ce flux n a rien à voir avec ceux présens dans le diagramme de blocs inernes : il ne fau donc pas les confondre Exemples Signaux e événemens En plus de consommer e de produire des paramères, une acivié peu recevoir e émere des signaux. L idée fore es de permere à des aciviés de communiquer en incluan dans une acivié l émission d un signal e dans une aure la récepion d événemens. Il fau uiliser pour cela des ypes d acion pariculiers, possédan chacun une représenaion graphique spécifique : accep even acion : send signal acion : Recevoir Envoyer accep ime even : REMARQUE: Ce diagramme éan hors programme, un niveau de descripion supplémenaire ne sera pas envisagé avan la spé. 3.4 Synhèse sur le posiionnemen relaif de ces deux diagrammes Les deux ypes de diagrammes son différens car : Le diagramme d éas monre les événemens déclenchan le passage d un mode à un aure e il y aura quasimen oujours un événemen associé à une ransiion.

15 4. LES STRUCTURES ALGORITHMIQUES DE BASE 15/18 Le diagramme d aciviés ne possède aucun événemen associé aux ransiions enre acions : la fin d une acion implique auomaiquemen le passage à la suivane, donc dans un ordre déerminé d acions menan à un résula. Lorsque le processus es enclenché, il va à son erme selon un ordre précis. En conclusion : Le diagramme d éas ne se raache qu à un bloc, alors que le diagramme d aciviés peu êre supporé par plusieurs blocs. Un piloage par des événemens se radui par un diagramme d éas : il ne doi donc pas devenir un diagramme d aciviés. Dans un processus décri par un diagramme d aciviés, il es possible de mere en évidence l élémen associé à la âche. Avec le diagramme d éas, la quesion ne se pose pas car il es associé à un seul bloc. 4 Les srucures algorihmiques de base 4.1 L affecaion L affecaion d une valeur à une variable peu se faire à l aide d une acion. Cela ne prend pas de emps significaif. éa 1 événemen/affecaion éa 3 éa 2 exi/affecaion formalisme du diagramme d éas affecaion C C+1 incrémenaion formalisme du diagramme d acivié

16 4. LES STRUCTURES ALGORITHMIQUES DE BASE 16/ Le groupe ou bloc d insrucions Un groupe ou un bloc d insrucions peu êre une séquence d un diagramme d acivié. Cela correspond à une succession d acions e / ou d aciviés. acion 1 acion 2 acion Foncions e procédures La décomposiion d un algorihme en foncions e procédures, perme : d une par, de scinder une problémaique générale en plusieurs problémaiques élémenaires, d aure par, de pouvoir réuiliser des sous-programmes réalisan des âches élémenaires. Une procédure compore une succession d insrucions mais ne renvoie rien. ac [Acivié] acivié 2 [descripion] acion 1 acion 2 acion 3 procédure : acivié 2 la procédure es définie dans le diagramme de l acivié 2 On peu aussi uiliser les éas composies d un diagramme d éas : sm [Machine d éas] procédure [descripion] éa 1 éa 2 : procédure la procédure es définie dans le diagramme d éas procédure A la fin de l exécuion d une foncion, il y a le reour d une valeur, d une lise, d un obje, ec. ac [Acivié] acivié 3 [descripion] aene d un paramère acion valeur reournée foncion : acivié 3 la procédure es définie dans le diagramme de l acivié 3

17 4. LES STRUCTURES ALGORITHMIQUES DE BASE 17/ La srucure alernaive (condiionnelle) Si..., alors faire..., sinon faire Srucure alernaive complèe Srucure alernaive avec sau [condiion fausse] [condiion vraie] éa 1 éa 2 acion 1 [else] [condiion vraie] éa 3 formalisme du diagramme d éas acion 3 formalisme du diagramme d acivié 4.5 Les srucures répéiives (iéraives) Tan que condiion vraie, faire... Répéer... jusqu à condiion vraie [condiion fausse] éa 1 [condiion vraie] acion 1 [else] éa 2 formalisme du diagramme d éas acion 3 [condiion vraie] formalisme du diagramme d acivié

18 4. LES STRUCTURES ALGORITHMIQUES DE BASE 18/18 Pour variable = valeur iniiale, jusqu à valeur maximale, faire... [variable>valeur maximale] événemen/iniialisaion de la variable éa 1 [variable<=valeur maximale] exi/incrémenaion de la variable éa 2 formalisme du diagramme d éas iniialisaion de la variable [valeur>valeur maximale] [valeur<=valeur maximale] acion 1 incrémenaion de la variable acion 2 formalisme du diagramme d acivié

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

Formation Administrateur Server 2008 (Ref : IN4) Tout ce qu'il faut savoir sur Server 2008 OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Formation Administrateur Server 2008 (Ref : IN4) Tout ce qu'il faut savoir sur Server 2008 OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION COMUNDICOMPETENCES-TECHNIQUESDEL INGÉNIEUR Formaion Adminisraeur Server 2008 (Ref : IN4) SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Gérer des ressources e des compes avec Acive Direcory e Windows Server 2008

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

Réseau de coachs. Vous êtes formés dans les métiers du sport et/ou de la préparation physique (Brevet d état, Licence, Master STAPS)

Réseau de coachs. Vous êtes formés dans les métiers du sport et/ou de la préparation physique (Brevet d état, Licence, Master STAPS) Réseau de coachs Vous êes formés dans les méiers du spor e/ou de la préparaion physique (Breve d éa, Licence, Maser STAPS) Vous connaissez la course à pied Vous souhaiez créer e/ou animer des acions de

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION , Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres Une union pour les employeurs de l' conomie sociale - grande Conférence sociale - les posiionnemens e proposiions de l usgeres Juille 212 1 «développer l emploi e en priorié l emploi des jeunes» le posiionnemen

Plus en détail

Cahier technique n 141

Cahier technique n 141 Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

B34 - Modulation & Modems

B34 - Modulation & Modems G. Pinson - Physique Appliquée Modulaion - B34 / Caracérisiques d'un canal de communicaion B34 - Modulaion & Modems - Définiions * Half Duplex ou simplex : ransmission un sens à la fois ; exemple : alky-walky

Plus en détail

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1)

Vous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1) Parenaria Sociéé Générale Execuive relocaions Vous vous insallez en france? Sociéé Générale vous accompagne (1) offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au

Plus en détail

SYSTEME D ALARME SANS FIL BI-DIRECTIONNEL

SYSTEME D ALARME SANS FIL BI-DIRECTIONNEL NOICE D UILISAION SYSEME D ALARME SANS FIL BI-DIRECIONNEL Version 4/05 Renseignements, conseils n hésitez pas à nous contacter au 0892 35 01 85 (0,34 / minute) 1 Vous trouverez au sein de votre kit d alarme

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA République Algérienne Démocraique e Populaire Minisère de l enseignemen Supérieur e de la Recherche Scienifique Universié Abou-Bakr BELKAID Tlemcen- Faculé des Sciences Economique, de Gesion e des Sciences

Plus en détail

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION

DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION DOCUMENT TECHNIQUE N O 2 GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (TIC) EN ÉDUCATION GUIDE DE MESURE POUR L INTÉGRATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli

Plus en détail

Calcul Stochastique 2 Annie Millet

Calcul Stochastique 2 Annie Millet M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3

Plus en détail

Institut Supérieur de Gestion

Institut Supérieur de Gestion UNIVERSITE DE TUNIS Insiu Supérieur de Gesion 4 EME ANNEE SCIENCES COMPTABLES COURS MARCHES FINANCIER ET EVALUATION DES ACTIFS NOTES DE COURS : MOUNIR BEN SASSI YOUSSEF ZEKRI CHAPITRE 1 : LE MARCHE FINANCIER

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM

Plus en détail

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par :

UNIVERSITÉ D ORLÉANS. THÈSE présentée par : UNIVERSITÉ D ORLÉANS ÉCOLE DOCTORALE SCIENCES DE L HOMME ET DE LA SOCIETÉ LABORATOIRE D ECONOMIE D ORLEANS THÈSE présenée par : Issiaka SOMBIÉ souenue le : 5 décembre 2013 à 14h00 pour obenir le grade

Plus en détail

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,

Plus en détail

n 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois)

n 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois) LES GRANDS THÈMES DE L ITB Les iérês simples e les iérês composés RAPPELS THÉORIQUES Les iérês simples : l'iérê «I» es focio de la durée «D» (jour, quizaie, mois, rimesre, semesre, aée) de l'opéraio (placeme

Plus en détail

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes

Groupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes Groupe Inernaional Fiduciaire pour l Experise compable e le Commissaria aux compes L imporan es de ne jamais arrêer de se poser des quesions Alber EINSTEIN QUI SOMMES-NOUS? DES HOMMES > Une ÉQUIPE solidaire

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

BILAN EN ELECTRICITE : RC, RL ET RLC

BILAN EN ELECTRICITE : RC, RL ET RLC IN N TIIT :, T I. INTNSIT : = dq d en couran varable I = Q en couran connu Méhode générale d éablssemen des équaons dfférenelles : lo d addvé des ensons pus relaons dq caracérsques :, lo d Ohm u = aux

Plus en détail

L inflation française de 1922-1926, hasards et coïncidences d un policy-mix : les enseignements de la FTPL

L inflation française de 1922-1926, hasards et coïncidences d un policy-mix : les enseignements de la FTPL L inflaion française de 1922-1926, hasards e coïncidences d un policy-mix : les enseignemens de la FTPL Jean-Charles Asselain (Correspondan de l Insiu, Professeur à l Universié Monesquieu-Bordeaux IV,),

Plus en détail

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris

Plus en détail

Une assurance chômage pour la zone euro

Une assurance chômage pour la zone euro n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE

Plus en détail

Le passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette

Le passage des retraites de la répartition à la capitalisation obligatoire : des simulations à l'aide d'une maquette No 2000 02 Janvier Le passage des reraies de la répariion à la capialisaion obligaoire : des simulaions à l'aide d'une maquee Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 2000-02 TABLE DES MATIÈRES Résumé...

Plus en détail