Fondements théoriques et base méthodologique de l analyse empirique de la notion de convergence économique

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1 Fondemens héorques e base méhodologque de l analyse emprque de la noon de convergence économque Isabelle SAE Maser 1 «Ingénere économque» Depus la révoluon margnalse des années 1870 la macroéconome concenre son champ d analyse sur les flucuaons conjoncurelles. Or les effes à erme de la crossance économque sur le nveau e la qualé de ve se son révélés els qu explquer la crossance e rendre compe de sa dversé deven alors une proré. analyse quanave de la crossance es de plus faclée par la dsponblé sasque consdérablemen accrue depus deux décennes (cf en parculer la rès complèe banque de données de Summers e Heson). Deux quesons fondamenales son alors posées face à la fore héérogénéé des processus de crossance observés dans le monde : quels son les déermnans de la crossance? es pays les plus pauvres peuven-ls espérer raraper les pays les plus rches en ermes de nveau de ve? e nveau de développemen à long erme dépend du nveau de développemen nal mesuré par le Produ Inéreur Bru (PIB) e du aux de crossance moyen sur la pérode consdérée. Ces deux quesons son donc lées pusque les condons nales ne son en fa qu un des faceurs denfables de la crossance. Il apparaî donc nécessare de comprendre dans quelle mesure ces condons nales peuven jouer un rôle dans ces écars de crossance e de ener d denfer des polques économques souhaables qu pourraen favorser ce rarapage e des polques qu au conrare créen des phénomènes de rappes à pauvreé. es héores de la crossance en s appuyan sur des fas sylsés observés dans le monde depus deux sècles don elles essaen de rendre compe enen de répondre à ces nerrogaons. Pour ce fare les économses on recours à un modèle héorque qu ls confronen aux observaons emprques va une analyse économérque. Dans cee secon l s ag de présener le cadre général à parr duquel dérven les ouls d analyse des problèmes de convergence enre économes pour abour à une modélsaon du problème éudé. Cee modélsaon ser de base à l éude économérque des quesons de convergence au sen de l Unon Européenne présenée dans la deuxème secon. I) le cadre de référence : le modèle néoclassque de Solow e modèle de Solow-Swan (1956) marque le renouveau de l analyse néoclassque de la crossance en offran un cadre smple pour comprendre la crossance par un processus d accumulaon du capal. En effe le posula smplfcaeur d un modèle perme d soler cerans mécansmes e de meux les comprendre. es bases de ce modèle demeuren soldes e serven à de nombreuses éudes sur la crossance y comprs à des ravaux en faveur de héores alernaves (ype héores de la crossance endogène évoquées plus lon) c es pourquo nous le présenerons c.

2 1) caracérsaon à l échelle d une économe 1 Il s ag du prolongemen de l équlbre général saque à un cadre dynamque. accumulaon des faceurs de producon prvés à savor le raval (symbolsé au nveau agrégé dans oue la sue par ) e le capal (K) e le progrès echnque en an qu npu socal pusque supposé exogène son les deux sources prncpales de la crossance. objecf es de démonrer l apude des mécansmes de marché à engager l économe sur un sener de crossance équlbrée c es-à-dre sable (SCE dans oue la sue) e cela en réponse à un progrès echnque exogène l adapaon s effecuan par la subsuon du capal e du raval. e modèle décr une économe fermée concurrenelle avec un ben unque noé produ par une echnologe néoclassque F (donc à rendemens d échelle consans) supposée c de ype Cobb-Douglas dans un souc de smplfcaon. e progrès echnque noé A es neure au sens de Harrod c es à dre qu l amélore l effcacé du raval. So la foncon de producon consdérée : F(KA) K α (A) avec 0 < α < 1 (1.1.1) So n le aux de crossance de la force de raval 0 < s <1 le aux d épargne g le aux de crossance du progrès echnque A. Ces aux son exogènes e consans. e capal s accumule par renoncaon à la consommaon son évoluon s écr : K I δk sf(k A ) - δk (1.1.) avec I l nvesssemen δ le aux de déprécaon du capal physque l ndce désgnan le nveau de la varable consdérée à la pérode (l année) e les varables surmonées d un pon désgnan la dérvée logarhmque par rappor au emps. Dans la sue on rasonne en ermes de varables par uné de raval effcace K symbolsées par des leres mnuscules : A On réécr donc la foncon de producon comme su : f ( ) y (1.1.3) α On a ans l équaon dynamque fondamenale du modèle : d d d( K / A ) K A K δ ( ) ( ) d A A A A K sf n g (1.1.4) ou encore : sf ( ) ( n g δ ) (1.1.5) 1 Ce paragraphe es déallé par exemple n JONES C.I. héore de la crossance endogène chap. De Boec (Ed) 1999

3 Sous les condons d Inada (la producvé margnale du raval e du capal es décrossane) l économe converge vers son éa de long erme.e. son sener de crossance équlbrée (SCE dans oue la sue) le long duquel les varables par êe crossen au aux g réguler e exogène (d où l appellaon héore de la crossance exogène). es valeurs d éa réguler son symbolsées par * dans oue la sue. Il es mporan de soulgner que ce éa de long erme es ndépendan des condons nales : f ( *) n g δ 0 (1.1.6) * s On a ans les valeurs du soc de capal e du produ par uné de raval effcace : 1 s * (1.1.7) e n g δ α s y * (1.1.8) n g δ On consae qu une économe es d auan plus rche que son aux d épargne es élevé e que le aux de crossance démographque es fable. éa de long erme dépend égalemen de polques économques qu déplacen la fronère de producon ou modfe les paramères srucurels (n e s) de façon défnve. ) dynamque e vesse de ranson On s néresse à la dynamque de cour erme e de ranson vers l éa de long erme. On cherche une dée de la vesse à laquelle va s effecuer ce ajusemen. A parr de (1.1.3) e (1.1.5) on effecue une approxmaon log-éare de au vosnage de * : s.e -(1-α) (ngδ) s.e -(1-α)* (ngδ) ( *). ( α 1) ( ). s *.( α 1) * (1 α).( n g δ ).( *) ( ) * (1.1.9) On pose alors : β (1-α).(ngδ) e coeffcen β ndque la vesse avec laquelle une économe approche son éa réguler. Cee vesse es nversemen proporonnelle au coeffcen α. Par exemple s β 5% alors 5% de l écar enre y e y* es comblé chaque année. (vor annexe 4). Il n es pas affecé par le aux d épargne s ou le nveau de la echnologe A pusqu on peu monrer que leurs effes se compensen exacemen dans le cas d une foncon Cobb-Douglas. Ce résula es donné par exemple n BARRO R.J. SAA--MARIN S. Economc growh chap 1 pp Mc Graw Hll (Ed) New or 1995

4 Une économe croî à un aux d auan plus for qu elle es élognée de son éa réguler. En effe on peu obenr de (1.1.5) : < 0 C es la dynamque ransonnelle qu explque les dfférences observées de aux de crossance. hypohèse selon laquelle les économes les plus pauvres crossen plus ve que les économes rches es appelée convergence absolue. Mas cec es vra dans un groupe d économes homogènes (les régons d un même pays où les pays de l OCDE par exemple) pusque le nveau d éa de long erme es condonné par les données srucurelles (n e s) de chaque économe. C es donc une convergence condonnelle qu es à l œuvre dans le modèle de Solow dans le sens où chaque économe converge vers son propre éa de long erme. Un pays pauvre peu croîre mons ve qu un pays rche s ce derner es proporonnellemen plus élogné de son éa de long erme. On exprme manenan le aux de crossance du produ par uné de raval effcace en foncon du aux de crossance du capal par uné de raval effcace : 3 y y f '( ). y f '( ). y. α. y f ( ) (1.1.10) f '( ) N.B. : on a l élascé du produ par rappor au capal α f ( ) On a donc : β y * β (1.1.11) y y Il s ag d une équaon dfférenelle d ordre 1 qu donne le résula suvan : y β β (1 e ) y * e y (1.1.1) 0 On peu vor de (1.1.1) que : lm( y ) y * dès que β > 0 Dans cee descrpon de la dynamque de crossance l effe des condons nales (.e. y 0 ) dsparassen à long erme (.e. sur le SCE). A parr de (1.1.8) on a donc en prenan la dfférence des logarhmes comme approxmaon du aux de crossance : β β α α y y0 (1 e ) y0 (1 e ). s ( n g δ ) (1.1.13) 3 Cf DURAUF S.N. JOHNSON P.A. EMPE J.R.W. «Growh economercs» n AGHION P. DURAUF S.N. (Ed) Handboo of economc growh vol 1A chap. 8 pp

5 Or on esme l équaon de convergence du produ par êe e non du produ par uné de raval effcace (emprquemen dffclemen observable). On a donc : e A g e α 0 β β _ β (1 ) 0 (1 ) ( ( δ )) (1 ) 0 s n g e 0 0 (1.1.14) On re donc de (1.1.14) le aux de crossance moyen du PIB/êe sur la pérode allan de 0 à pour le pays : 0 g λ( * A 0) (1.1.15) β (1 e ) avec λ e g g 0 On remarque que ce aux de crossance es dû au progrès echnque (g) e au fossé enre le nveau nal de revenu e le nveau d éa réguler le second erme endan vers 0 à long erme. On rerouve donc que le aux de crossance des varables par êe à long erme es donné par celu du progrès echnque g. g N.B. : on a par une équaon dfférenelle d ordre 1 : A A0. e avec A. y Applqué à une coupe ransversale l s ag d un es de convergence enre économes au sens où les économes les plus pauvres (relavemen) on endance oues choses égales par alleurs à crore plus ve que les plus rches (relavemen). équaon (1.1.15) es la base de la léraure emprque de la crossance économque. II) Analyse emprque de la crossance économque : les dfférens ypes de convergence 4 A parr du cadre héorque exposé c-dessus découlen les ouls radonnellemen ulsés dans l analyse emprque de la crossance économque ans que les dfférens conceps développés pour explcer les phénomènes de convergence ms en évdence. 1) du modèle de Solow aux régressons économérques ) le modèle de Solow augmené 5 es ravaux de Manw Romer e Wel (199) (MRW dans oue la sue) on cherché à esmer grâce à des ouls économérques l équaon (1.1.14) en prenan la par de l nvesssemen prvé e publc dans le PIB pour s e gδ005 s e n le aux de crossance démographque éan des moyennes pour chaque pays sur la pérode consdérée. es résulas 4 a majeure pare de la démarche explcée c es déallée n BARRO R.J. GRII V. European Macroeconomcs Basngsoe (Ed) Mlan 1994 e de façon plus poussée n BARRO R.J. SAA--MARIN S. Economc growh Mc Graw Hll (Ed) New or Une présenaon sommare fgure par exemple n DURAUF S.N. JOHNSON P.A. EMPE J.R.W. «Growh economercs» n AGHION P. DURAUF S.N. (Ed) Handboo of economc growh vol 1A chap. 8 pp

6 on conclu à une suresmaon rès nee de la par du capal α qu es emprquemen de l ordre d un ers. Ils on donc élarg la noon de capal en dsnguan capal echnque e human ce derner éan mesuré par le pourcenage moyen de la populaon en âge de ravaller e nscre dans le secondare. Dans ce cas α es proche de 075 e le coeffcen de convergence β es de l ordre de 15 à 3% ce qu es plus conforme à la réalé (cf (1.1.9)). MRW reprennen les fondemens du modèle de Solow en l augmenan du capal human H. So la foncon de producon de ype Cobb-Douglas suvane : α φ K H ( A ) avec 0 <αφ < 1 (1..1) e capal human s accumule de manère analogue au capal physque. So sa dynamque : H s δh (1..) h e produ par uné de raval effcace à l éa réguler s écr : 1 ) α φ α φ sk sh y* ( (1..3) ( n g δ ) E on oben la vesse de convergence suvane après une approxmaon de (1..3) du même ype que l équaon (9) : β ( )( n g δ ) MRW a vesse de convergence héorque de MRW es alors plus fable que celle prévue par le modèle de Solow. On oben de manère analogue au modèle de Solow (vor (1.1.14)) la régresson éare augmenée du capal human du aux de crossance du PIB/êe pour le pays : α φ α φ g λ λ ( δ ) λ e 0 n g sk λ sh λ A 0 0 (1..4) ndce représene un pays parculer e le erme e a les propréés économérques habuelles. e erme A 0 qu reflèe non seulemen la echnologe mas des faceurs spécfques aux pays els que les nsuons le clma les doaons en ressources naurelles es supposé nconnu mas esmé de la façon suvane : A 0 A v (1..5) avec v ndépendammen dsrbué de n s K s H e spécfque à chaque pays.

7 D où l équaon à esmer fnalemen : α φ ( 0 g λ A λ λ n g δ λ sk λ sh 0 ) α φ ε (1..6) N.B. : e modèle de MRW rese un modèle de crossance exogène dans la mesure où le aux de crossance sur le SCE rese dcé par celu du progrès echnque g e que ce modèle n explce pas les fondemens de la echnologe en lu même. ) l ajou de varables explcaves Beaucoup d éudes poséreures 6 ssues de la nouvelle léraure emprque de la crossance ajouen des varables de conrôle Z pour explquer l héérogénéé dans les aux de crossance à l éa réguler g e dans la echnologe nale A 0. Cec reven à chercher à éablr la consane de l équaon (1..6) comme foncon de varables économques supplémenares. En effe s elle es supposée denque pour ous les pays on ne peu explquer les dfférences de revenu qu lu son dues e s elle es défn arbraremen dfférene à chaque pays le modèle perd de son pouvor explcaf. Dans cee opque d aures faceurs de crossance son prs en compe conraremen aux ravaux de MRW. Ans les ravaux d Aghon e How (199) len la crossance de A à des déermnans els que les dépenses en R&D ou le nombre de chercheurs ou les ravaux de ucas (1993) se focalsen sur l neracon enre les pays. D une manère générale on oben ce ype de régressons des régressons à la Barro : α φ ( 0 g λ A λ λ n g δ λ sk λ sh πz 0 Sous sa forme générque ce ype d équaon s écr : 0 λ ψx πz 0 ) α φ (1..7) ε (1..8) I où X conen une consane le aux d nvesssemen (défn par ) (n 005) e le PIB aux de capal human. es varables de conrôle dépenden de l échanllon ans que du modélsaeur e des fondemens héorques. On dsngue le nveau de revenu nal à cause de son rôle clé dans l analyse de la convergence don dfférens conceps son manenan présenés. ε 6 Une revue rès complèe es présenée n DURAUF S.N. QUAH D.. he new emprcs of economc growh n J. AOR e M. WOODFORD (Ed) handboo of macroeconomcs vol 1A chap.4 pp

8 ) la β-convergence 7 Une léraure abondane sur l analyse emprque de la convergence a émergé à la sue noammen des ravaux d Abramovz e Baumol (1986) en paran du posula que s convergence l y a les effes des condons nales doven fnalemen dsparaîre. Il es alors nécessare de formalser le rôle de ces condons nales. e pon clé qu oppose héores de la crossance exogène e endogène en jusemen au fa que dans les secondes les condons de dépar on une nfluence à long erme (vor (1.1.1)). ) premère approche D un pon de vue emprque on éude radonnellemen le len enre le aux de crossance annuel moyen du PIB/êe sur une pérode consdérée e le nveau nal du PIB/êe pour un échanllon de pays. On esme donc la relaon suvane : ( ) ( ) α β ( ) u (1..9) e membre de gauche de cee équaon désgne le aux de crossance moyen pour le pays sur la pérode allan de à ce aux dépend d une consane d ajusemen α du nveau de revenu à la pérode nale auxquels on ajoue un erme d erreur u avec les hypohèses radonnelles des Mondres Carrés Ordnares (MCO). S le erme β es sgnfcavemen négaf on observe une β-convergence au sen de l échanllon de pays e sur la pérode consdérée dans le sens où les pays les plus pauvres relavemen on endance à croîre relavemen plus ve que les pays les plus rches à la pérode nale de sore qu ls fnssen par les raraper en erme de nveau de ve. ) modélsaon des dfférens ypes de β-convergence évaluaon emprque de la β-convergence (Barro e Sala--Marn 1995) a amené à affner ce concep. Deux quesons cenrales son alors posées desquelles découlen des noons dfférenes de convergence. D une par les écars observés en ermes de revenu par êe son-ls ransores ou permanens? S ls son ransores on parlera de convergence absolue vers un même éa réguler. Cec s observe dans le cas d économes srucurellemen smlares c es-à dre au nveau des paramères du modèle de Solow (pays de l OCDE régons d un pays par exemple). Mas la fore héérogénéé des éudes sur la convergence e leur sensblé par rappor aux pérodes e pays consdérés a amené les chercheurs à défnr un sens plus fable de la convergence. D aure par s ces écars de revenu on vocaon à demeurer permanens une aure queson ven se poser : es-ce le fa des condons nales ou es-ce le fa d héérogénéé srucurelle? En praque l fau alors dfférencer les condons nales à savor le soc 7 Un exposé smplfé de cee noon es donné n FEVE P. OREGA J. Macroéconome approche praque conemporane pare 1 Dunod 004

9 nal de capal human e de capal physque des caracérsques srucurelles qu son les varables clé du modèle de Solow ans que les varables de conrôle. Dans le premer cas s les condons nales nervennen au mons en pare on fa appel à la noon de clubs de convergence e deux pays qu auron des condons nales semblables convergeron vers le même éa réguler donc apparendron au même club. Dans le second cas on parlera de convergence condonnelle à ces srucures e on observe une β-convergence au sen d une coupe de pays une fos prs en compe les écars de aux de crossance dus à des dfférences dans les srucures des économes. Chaque économe end à converger vers son propre éa de long erme qu dépend de ses caracérsques propres donc qu dffère selon les pays. a dynamque ransonnelle explque les dfférences de aux de crossance. Il s ag donc d soler emprquemen ce qu dépend des dfférences enre les éas régulers vers lesquels les pays convergen (donc qu dépenden de caracérsques srucurelles) pour fare ressorr le len négaf enre le aux de crossance moyen e le nveau de revenu nal. Pour ce fare les chercheurs on recours à des régressons augmenées dans un premer emps de l équaon (1..9) : ( ) ( ) ' '( ) α β 1CS1 CS η (1..9 ) es varables CS désgnen des caracérsques srucurelles qu peuven êre le nveau d éducaon les dépenses en R&D l espérance de ve la sablé polque l ouverure commercale les IDE les mgraons Ce son des varables de conrôle semblables à celles de l équaon (1..8). En prncpe on a ˆ β ˆ β ' pusque ˆβ ' n ncorpore plus les effes des varables srucurelles sur le aux de crossance. On remarque que s on a β-convergence absolue on a nécessaremen β- convergence condonnelle e dans ce cas on a ˆ β ˆ β ' e 1e sgnfcavemen nuls. Une défnon sasque plus fne 8 consse à prendre comme pon de dépar l équaon (1..8). S on n ncorpore pas de varables de conrôle Z e s le coeffcen λ es sgnfcavemen négaf on parle de β-convergence absolue. S ce paramère sasfa cee même propréé en présence de varables de conrôle on parlera de β-convergence condonnelle. On a l nuon de ce résula dans le modèle de Solow : s deux pays convergen vers le même éa réguler donc on les mêmes paramères srucurels (s e n) le pays avec un nveau de revenu relavemen plus fable a un rao capal/raval plus fable donc une producvé margnale du capal plus fore e aura une crossance relavemen plus fore pendan la ranson vers le SCE. Cee démarche es une caracérsaon plus déallée de (1..9 ) pusque les varables explcaves de MRW peuven êre consdérées comme des varables de caracérsques srucurelles parculères de (1..9 ). On abou donc à une défnon sasque de la convergence économque défnon a pror smple pusqu elle en aux propréés d un paramère de régresson éare qu l s agsse du paramère de convergence de l équaon (1..9) (1..9 ) ou (1..8). Cependan ce 8 Cee approche es déallée n DURAUF S.N. JOHNSON P.A. EMPE J.R.W. «Growh economercs» n AGHION P. DURAUF S.N. (Ed) Handboo of economc growh vol 1A chap. 8 pp

10 concep de convergence ne rensegne pas sur la dynamque de la dsrbuon des revenus au sen d un groupe de pays consdérés. On fa alors appel à un second ype de convergence. 3) la -convergence ) premère approche On éude manenan la dsperson des nveaux de ve en coupe nsananée souven au moyen de l analyse de l évoluon de l écar-ype du logarhme du revenu par êe d un groupe de pays. orsque ce ndcaeur basse au cours du emps on parle de -convergence. Il es possble de formalser cee dée. On consdère la varance de la dsrbuon des logarhmes des PIB par êe au sen de l échanllon de pays consdéré à un nsan (une année). On parle de -convergence lorsqu on a : 0 > (1..10) Une premère façon d éuder cee perspecve rese l analyse graphque de l évoluon de l écar-ype sur une pérode donnée. Pour rendre compe au meux de la dynamque de dsrbuon des revenus au sen de la coupe de pays consdérés l es nécessare de consdérer l écar-ype non seulemen aux daes nale e fnale mas égalemen à oues les daes nermédares. Ce pon es davanage précsé dans les ravaux de Quah (1993). ) une enave de défnon économérque 9 Des ravaux noammen ceux de Cannon e Duc (000) on ené d éablr une régresson qu perme de fonder d un pon de vue sasque la -convergence à l nsar de la noon de β-convergence. Ce son des régressons de la forme : ε π α (1..11) Il s ag en fa de régresser le aux de crossance annuel moyen du logarhme du revenu par êe sur la pérode consdérée pour un pays donné sur le nveau de revenu fnal. En effe le coeffcen π s écr alors : cov 1 cov ) cov( π 9 Ce pon es donné n DURAUF S.N. JOHNSON P.A. EMPE J.R.W. «Growh economercs» n AGHION P. DURAUF S.N. (Ed) Handboo of economc growh vol 1A chap. 8 pp

11 cov 1 1 Il fau alors vor que la -convergence elle qu elle es défne par l équaon (1..10) mplque :. < e que l négalé de Cauchy-Schwarz donne :. cov Il ven donc que la -convergence mplque : cov < Dès que le coeffcen π es sgnfcavemen négaf on accepe l hypohèse de - convergence. En effe sous cee hypohèse on a : < <. cov la premère négalé éan donnée par la condon 0 < π e la seconde par l négalé de Cauchy-Schwarz (qu radu le fa que la marce de varance-covarance de y e y es défne posve). De cee double négalé découle donc l négalé < ce qu reven à la noon de -convergence elle qu elle es défne par l équaon (1..10). On remarque que l ulsaon du logarhme du revenu par êe pluô que de la varable en nveau soulgne l mporance accordée aux écars relafs enre pays pluô qu absolus. Par alleurs l s ag d une noon plus smple à démonrer que la β-convergence pusqu l n y a pas de noon de -convergence condonnelle ou absolue. Ce pon consue d alleurs une des fablesses de ce concep.

12 ) mplcaons vs à vs de la β-convergence On peu monrer 10 que la β-convergence end à générer la -convergence mas que ce n es pas sysémaque. En parculer la β-convergence es une condon nécessare mas non suffsane de la -convergence e ce processus dépend de l écar-ype des produs par êe à l éa réguler. S on suppose qu l y a effecvemen β-convergence ce écar-ype peu augmener (respecvemen basser) s sa valeur nale se rouve au dessous (respecvemen au dessus) de sa valeur d éa réguler. En oure on peu concevor des cas d nversemen des posons où l on observera alors une β-convergence (les plus pauvres ayan connu une crossance relavemen plus fore que les plus rches de sore qu ls les on rarapés pus dépassés) mas où l écar-ype de la dsrbuon resera consan en débu e en fn de pérode (en cas d nverson exace des posons) vore augmenera. es ros graphques c-dessous présenen pluseurs cas de convergences possbles. X X β sans convergence Absence de convergence Fgure emps Fgure 1.1. emps X β e convergence Fgure emps III) remarques e lmes de l économére de la crossance 1) le problème des erreurs de mesure des données 11 a compablé de la crossance se heure à un problème de mesure e de consrucon des agrégas macroéconomques. Par exemple l apparaî dffcle de consrure une mesure exace de la force de raval d une économe 1. e nombre d heures ravallées lasse de côé 10 Vor par exemple BARRO R.J. SAA--MARIN S. Economc growh chap 1 pp e chap 11 pp Mc Graw Hll (Ed) New or Vor pour une explcaon precse DURAUF S.N. JOHNSON P.A. EMPE J.R.W. «Growh economercs» n AGHION P. DURAUF S.N. (Ed) Handboo of economc growh vol 1A chap. 8 pp Vor par exemple BARRO R.J. SAA--MARIN S. Economc growh chap 10 pp Mc Graw Hll (Ed) New or 1995

13 l aspec qualaf du raval qu s exprme noammen en ermes de dfférences de producvé. Prendre en compe les dfférences de salares pour mesurer les écars de qualfcaon du raval pose problème dès lors que le aux auquel es rémunéré un faceur ne reflèe pas sa conrbuon à la producon. C es auss un obsacle récurren s l on songe aux phénomènes d exernalés echnologques qu renden le rendemen socal du capal pus supéreur à son rendemen prvé. Cee dernère opque es explorée par des modèles ds de crossance endogène qu vsen à meux prendre en compe les quesons de dffuson du progrès echnque au sen d une économe e au nveau nernaonal va les exernalés posves qu l engendre. A parr de ce consa de nombreuses éudes elles que celles de Romer (1990) ou emple (1998) on monré que les problèmes de mesure nhérens aux données sasques enden à baser le paramère de convergence dans le sens d une accepaon rop fréquene de l hypohèse de convergence. Ces problèmes de mesure se posen mons dans les pays développés mas peuven se poser sur les données qu seron éudées c à savor les données sur les ancens pays sovéques en parculer pour la pérode suvan mmédaemen la chue du mur. Cependan des éudes récenes elles que celle de Romer (001) ou Dowrc (004) prouven que ces ess de convergence décrs plus hau reposan sur une approxmaon logéare dans un monde néoclassque resen globalemen assez robuses. ) approche crque de la spécfcaon des régressons 13 Au sen d une large coupe d économes les dfférences de echnologes de préférences e d nsuons son elles qu une convergence absolue semble dffclemen observable. Cependan la noon de β-convergence même dans son sens le plus fable rese conroversée en rason des nombreuses crques qu lu on éé adressées. Oure les varables pernenes de la héore néoclassque (aux d nvesssemen crossance démographque noon de capal élarge au capal human) on a vu qu l es possble d nclure d aures varables (cf équaons 1..9 e 1..8). Il exse des dzanes d éudes à ce suje. Cependan ce ype d exercce souffre de pluseurs nconvénens. D une par l es dffcle d denfer ces déermnans éan donné le nombre de faceurs poenels ramenés aux nombres d nformaons dsponbles e de pays e ce d auan plus que ces varables doven avor un fondemen économque. Il a éé monré 14 qu l es possble d éablr une dépendance du SCE aux varables de conrôle Z dans le sens où parm la mulude de varables possbles ceranes permeen de conclure à une β-convergence alors que d aures mènen au reje de cee hypohèse. e rsque élevé de corrélaon enre les varables explcaves poenelles consue un aure obsacle à une spécfcaon sgnfcave du modèle. On peu cer c les ravaux de Sala--Marn (1997) qu denfe pluseurs caégores de varables «robuses» sasquemen : des varables muees pour les régons les plus pauvres des varables polques (ndcaeurs de sablé e de degré de lberé) des varables radusan la relgon domnane d aures représenan les dsorsons de marché (mporance relave de l économe souerrane) les nvesssemen en nfrasrucures la producon de ressources naurelles l ouverure commercale ou encore le degré de capalsme. 13 Vor DURAUF S.N. JOHNSON P.A. EMPE J.R.W. «Growh economercs» n AGHION P. DURAUF S.N. (Ed) Handboo of economc growh vol 1A chap. 8 pp. 587 e pp Vor DURAUF S.N. QUAH D.. he new emprcs of economc growh n J. AOR e M. WOODFORD (Ed) handboo of macroeconomcs vol 1A chap.4 pp

14 Par la sue l a éé développé d aures modèles par exemple des modèles non éares ou des modèles à éas régulers mulples. Ces spécfcaons alernaves fournssen une explcaon aux dfférences observées en ermes de nveau de ve pour des pays ayan a pror des paramères srucurels semblables. (vor par exemple les ravaux de Bernard e Durlauf 1996 ou u e Sengos 1999). D aure par le beson crucal de reler léraures emprque e héorque bue sur le manque de modèles srucurels sur lesquels reposer l nerpréaon des résulas d auan plus que des nerrogaons sur les relaons de causalé ou le caracère endogène de ceranes varables vennen fréquemmen complquer cee nerpréaon. En effe la léraure emprque de la convergence ne rae pas de l endogénéé de ceranes varables explcaves. Il es ans possble que le aux d épargne s (vor les ravaux de Cass e Koopmans) ou le aux de crossance démographque n soen foncon du revenu ou qu l exse des effes de feedbac dans l accumulaon du capal en parculer human. e modèle néoclassque néglge ans par hypohèse l nfluence des exernalés echnologques le nveau de formaon de la populaon (le raval es d homogène) ou encore le rôle de l nerdépendance enre les économes (mouvemen de mgraons ). Mas l effe de cee endogénéé sur l évaluaon de la vesse de convergence rese dscué (vor par exemple les ravaux de Cohen 1996). Par alleurs le modèle de Solow qu ser de base à la majoré des éudes emprques sur la convergence posule une dynamque éare de crossance ce qu n es pas le cas dans des modèles de ypes crossance endogène. Il semble alors dffcle d éablr un es unforme de convergence dans la mesure où la comparason de modèles à la spécfcaon s dfférene apparaî lmée. De plus le problème des varables de conrôle se pose égalemen pusque dans oues les régressons augmenées présenées c (équaons (1..8) e (1..9 )) l a éé posulé ex ane que ces varables nervenaen de manère éare ce qu consue une resrcon a pror (pour plus de précsons sur ce pon vor Durlauf e Quah). a caracérsaon de modèles pernens sur des données auss héérogènes que des pays rese donc une des dffculés majeures. A l échelle mondale les résulas sur la convergence demeuren donc pluô fragles. Depus les années 1980 l analyse néoclassque de la crossance prend donc deux drecons. D une par des ravaux comme ceux de Barro e Sala--Marn éuden la valdé emprque du modèle de Solow à parr de régressons augmenées explcées plus hau. D aure par de nouveaux ravaux on complexfé ce modèle pour ener de répondre à son ncapacé à explquer l essence même du progrès echnque comme source endogène de crossance. On peu cer par exemple le modèle AK dans lequel le nveau de revenu dépend des condons nales ce qu ba en brèche le concep de β-convergence. En effe le modèle de Solow arbue peu d mporance au nveau de revenu nal e offre une vson éare du processus de crossance. Dans cee opque on peu cer les ravaux de Barro e Sala-- Marn (1995) ou Durlauf e Johnson (1995) dans lesquels l hsore deven un élémen cenral ce qu mplque l exsence de clubs de convergence don l apparenance dépend des condons nales. Or emprquemen on consae que les pays de l OCDE enden à former un club mas que les pays en développemen semblen fnalemen rès héérogènes. Pour conclure l fau donc rappeler que la défnon sasque de la convergence n a de sens que lorsqu elle es raachée à une nerpréaon économque e ce d auan plus que comme nous venons de le dscuer l économére de la crossance monre les lmes de l ulsaon mécanque d ouls sasques pour des analyses emprques lan fas socaux e économques. Dans cee opque l fau soulgner l mporance d approches hsorques e

15 lérares rendan compe de phénomènes culurels e socaux dans l éude des phénomènes de crossance économque e de leur dversé (vor par exemple andes (1998) e Moyr (199)). analyse du processus de crossance e par là des mécansmes de rarapage e de convergence au sen d une coupe de naons apparaî rès lée au degré d homogénéé des pays consdérés 15. Au sen de l Unon Européenne l fau donc s nerroger sur ce pon. On peu penser qu l es rasonnable d avancer que les pays de l Unon oure leurs spécfcés naonales présenen au mons davanage que vs à vs des aures régons du monde des ras semblables : accès à des echnologes smlares culures proches cadres nsuonnels e légaux homogènes ou du mons en voe d unfcaon moblé des faceurs de producon davanage favorsée De plus des ravaux comme ceux de Barro e Sala--Marn (1991) Braun (1993) ou encore Haon e Wllamson (199) on monré que le processus de convergence éa suscepble égalemen d êre accéléré par la moblé du capal e par les flux mgraores qu l es rasonnable de penser plus développés dans le cadre nracommunauare. 15 vor BARRO R.J. SAA--MARIN S. Economc growh chap 11 pp.41-4 e pp Mc Graw Hll (Ed) New or 1995

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