Modélisation de la contagion financière de la Grèce et d autres pays de la zone Euro

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Modélisation de la contagion financière de la Grèce et d autres pays de la zone Euro"

Transcription

1 Inernaional Journal of Innovaion and Applied Sudies ISSN Vol. 8 No. 1 Sep. 014, pp Innovaive Space of Scienific Research Journals hp:// Modélisaion de la conagion financière de la Grèce e d aures pays de la zone Euro [ Modeling of financial conagion beween Greece and oher counries of he Euro zone ] Moulay El Mehdi FALLOUL 1 and Ahmed HEFNAOUI 1 Docoran en économie e finance appliquée, Universié Hassan II Mohammedia, Mohammedia, Maroc Eseignan chercheur en sciences économiques, Universié Hassan II Mohammedia, Mohammedia, Maroc Copyrigh 014 ISSR Journals. This is an open access aricle disribued under he Creaive Commons Aribuion License, which permis unresriced use, disribuion, and reproducion in any medium, provided he original work is properly cied. ABSTRACT: The inernaional financial crisis of 007 is a good illusraion of he realizaion and he spread of sysemic risk. The banking crisis has peaked in Sepember 008 wih he collapse of Lehman Brohers and laer suppor for he financial sysem. In he spring of 010, i urned ino a sovereign deb crisis. Since he summer, 011, general insabiliy has coninued o reach new heighs. This aricle deals wih a phenomenon ha lies a he hear of he curren siuaion in he euro area: he phenomenon of conagion. The conagion is one of he mechanisms by which financial insabiliy spreads o he poin ha a crisis reached sysemic proporions. In his aricle, we use he CDS as an insrumen o es he conagion in he financial markes of 9 counries of he Euro area: Porugal, Ireland, Ialy, Germany, Greece, Spain, Ausria, France and Belgium using he DCC-GARCH model. KEYWORDS: CDS, Sovereign CDS, financial conagion, he Euro zone, DCC GARCH model. RESUME: La crise financière inernaionale de 007 consiue une bonne illusraion de la concréisaion e de la propagaion du risque sysémique. La crise bancaire a culminé en sepembre 008, avec la faillie de Lehman Brohers e le souien apporé par la suie au sysème financier. Au prinemps 010, elle s es ransformée en crise de la dee souveraine. Depuis l éé 011, l insabilié générale n a cessé d aeindre de nouveaux sommes. Ce aricle raie d un phénomène qui se rouve au cœur de la siuaion acuelle dans la zone euro : le phénomène de conagion. La conagion es l un des mécanismes par lesquels l insabilié financière se propage au poin qu une crise aein des proporions sysémiques. Dans ce aricle, on uilisera les CDS comme insrumen pour eser la conagion des marchés financiers de 9 pays de la zone Euro : le Porugal, l Irlande, l Ialie, l allemand, la Grèce, l Espagne, l Auriche, la France e la Belgique en uilisan le modèle DCC-GARCH. MOTS-CLEFS: CDS, CDS souverains, conagion financière, l Euro zone, modèle DCC GARCH. 1 INTRODUCTION La crise économique e financière qui a débué en aoû 007 es un cas éviden de la maérialisaion e la propagaion du risque sysémique. La crise bancaire a aein son apogée en sepembre 008 avec l'effondremen de Lehman Brohers e Corresponding Auhor: Ahmed HEFNAOUI 75

2 Modélisaion de la conagion financière de la Grèce e d aures pays de la zone Euro l'appui au sysème financier. Au prinemps 010, il es devenu une crise de la dee souveraine. Une insabilié généralisée aein de nouveaux sommes à plusieurs reprises depuis l éé 011. Dans ce aricle, on voudrai aborder un phénomène qui es au cœur même de ce que nous vivons dans la zone euro, le phénomène de la conagion. La conagion es un des mécanismes par lesquels l insabilié financière devien ellemen répandue qu'une crise aein des dimensions sysémiques. Les deux aures mécanismes qui consiuen des faceurs de risque sysémique son les déséquilibres financiers majeurs e la volailié inexpliquée [1]. Dans ce aricle, on uilisera les CDS comme insrumen pour eser la conagion des marchés financiers de 9 pays de la zone Euro : le Porugal, l Irlande, l Ialie, l allemand, la Grèce, l Espagne, l Auriche, la France e la Belgique en uilisan le modèle DCC-GARCH. LA MÉTHODOLOGIE DU MODÈLE DCC-GARCH Le modèle de la DCC a un principal avanage sur les aures modèles de corrélaion, puisque le nombre de paramères à esimer es indépendan du nombre de séries. Ainsi, on peu esimer de grandes marices de corrélaion. (Engel, 00) Plus, le modèle es décri comme parcimonieux car c'es un modèle en deux éapes où la première éape consise à esimer Les modèles GARCH univariés de chaque acif, e ensuie, à uiliser les résidus ransformé de la première éape pour esimer un esimaeur de corrélaion condiionnelle dans un second emps []. Enfin, selon Engel (000), son modèle possède les caracérisiques d êre aussi flexible qu un modèle GARCH univarié mais pas aussi complexes que le modèle GARCH mulivarié [3]. Rendemens l'écar condiionnelle fois la perurbaion normalisée : H = E ( r ), r, = h, ε,, i = 1, i, 1 i, i i i L'expression ci-dessus précise la relaion enre les corrélaions condiionnelles e les variances condiionnelles. En oure, epsilon es un erme de perurbaion normalisé avec une moyenne égale à zéro e une variance égale à un. Au lieu de la formule de corrélaion normale ρ 1, = Il es donc possible d'écrire E ( r r ) 1 1,, E ( r ) E ( r ) 1 1, 1, E ( ε ε ) ρ = = E ( ε, ε ) 1 1,, 1, 1 1,, E 1( ε 1, ) E 1( ε, ) Par conséquen, la formule ci-dessus affirme que la corrélaion condiionnelle es égale à la covariance condiionnelle des perurbaions normalisées. En oure, le modèle supposen que les rendemens son condiionnellemen mulivariés normale avec une espérance de rendemen égale à zéro e une marice de covariance Η. E Où D = diag { i, } univariés avec i r Ω 1~ N (0, Η ) Η = D R D h es une marice diagonale des écars ypes emporellemen variables issues des modèles GARCH h sur la i ème diagonale, e R ={ ij, } ρ représene la marice des coefficiens de corrélaion condiionnelle. ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

3 Moulay El Mehdi FALLOUL and Ahmed HEFNAOUI h1, 0 ρ1 0 h1, 0 D R D = 0 h 0 ρ 0 h, 1, h1, 0 h1, ρ1 h, = 0 h ρ h h, 1 1,, h1, h1, ρ1 h, = h, ρ1 h1, h, σ 1, σ1, σ1, σ, σ1, σ, = σ 1, σ 1, σ, σ, σ, σ 1, σ1, σ 1, = σ 1, σ, Le modèle DCC diffère de la façon qu'il perme à R d êre emporellemen variable, c'es-à-dire condiionnelle. Ceci rend le modèle plus applicable, puisque l'hypohèse d'une corrélaion condiionnelle consane es sans doue rop resricive sur des longues périodes [4]. Dans cee éude le modèle DCC sui une spécificaion GARCH(1,1) q e la forme mulivariée = ρ + α ( ε ε ρ ) + β ( q ρ ) ij, ij i, 1 j, 1 ij ij, 1 ij σ = σ + α ( r σ ) + β ( σ σ ) w, 1 1 ρ ij es l espérance incondiionnelle du produi croisé andis que pour les variances condiionnel qui a la propriéé saisfaisane d'êre posiive défini : ρ ii =1 e l'esimaeur ρ = i j, q i j, q q i i, j j, L espérance incondiionnelle du numéraeur de la formule ci-dessus es ρ ij e chaque erme du dénominaeur a une valeur d espérance égale à 1. En oure, le modèle DCC spécifié aura les propriéés d un processus de reour à la moyenne an que : α + β < 1 Pour garanir que le modèle es posiif défini que les paramères son conrains à êre posiif : ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

4 Modélisaion de la conagion financière de la Grèce e d aures pays de la zone Euro α 0 ; β 0 Enfin, l'esimaeur de la Log vraisemblance peu êre exprimé comme sui e il es maximisé sur les paramères de modèles r Ω 1~ N (0, Η ) 1 L = n + H + r H r ' 1 ( log( π ) log ) 1 = π + + ' ( n log( ) log D H D r D RT D r ) 1 = ' 1 ( n lo g ( π ) lo g D lo g R ε R ε ) 1 = π + + ε ε + + ε ε ' ' ' 1 ( n log( ) log D r D R D r log R R ) Le code de programmaion uilisé dans Eviews 6 se rouve à l'annexe (Annexe I)..1 ESTIMATEUR DE LA VOLATILITÉ : LE MODÈLE GARCH Le modèle symérique de GARCH(1,1) qui a éé iniialemen inrodui par Bollerslev (1986) qui es appliqué dans la première éape dans le modèle DCC peu êre écri comme sui : σ ω α β σ = + r w, Les paramères du veceur GARCH son esimés par la maximisaion de la foncion de Log vraisemblance. T w, w,1 w, = 1 Log L( θ ; r,..., r ) α log σ ( θ ) σ ( θ ) r Tou d'abord, un processus GARCH(1,1) implique que la volailié réelle es une moyenne mobile pondérée exponenielle des rendemens passés au carré. Deuxièmemen, la covariance du processus GARCH(1,1) saionnaire a des dynamiques qui produi évenuellemen une réversion de la volailié à une valeur consane à long erme, ce qui perme des prévisions réalises e inéressanes. Après dérivaion, on peu réécrire le modèle GARCH(1,1) comme sui : σ = (1 α β ) σ + α r + β w, 1 1 σ = ω (1 σ β ) indique la variaion à long erme, ou incondiionnelle. Cee représenaion monre que les prévisions GARCH son consruies comme une moyenne de rois élémens. De manière équivalene, on peu écrire égalemen le modèle comme sui : σ = σ + α ( r σ ) + β ( σ σ ) w, 1 1 Ce qui monre expliciemen commen le modèle GARCH(1,1) prévoi, en faisan des ajusemens à la variance réelle, l'influence de du rendemen au carré de long erme, ou variance incondiionnelle, enfin, on peu aussi écrire : σ = σ + ( α + β )( σ σ ) + ασ ( z 1) ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

5 Moulay El Mehdi FALLOUL and Ahmed HEFNAOUI Où le dernier erme sur la côé droie en moyenne es égal à zéro. Par conséquen, cela monre commen le modèle GARCH(1,1) Prévoi en faisan des ajusemens auour de la variance de long erme avec la variance persisance régie par ( α + β ) e la volailié de la volailié liée au niveau de volailié ainsi que la aille d α [5].. ANALYSE ECONOMETRIQUE..1 STATIONNARITE Si une série saisfai les rois condiions ci-dessous elle die un processus saionnaire faible. Un processus saionnaire doi avoir une moyenne consane, une variance consane e une srucure d auocovariance consane. Si la variance consane e la moyenne consane es facile à inerpréer, la srucure d auocovariance consane peu êre un peu plus lourd. Elle déermine commen y correspond aux valeurs précédenes, e pour un processus saionnaire la covariance enre y e y 1 devrai êre le même comme pour y 10 e y 11 (Brooks, 008). E( y ) = m E( y m)( y m) = σ < E( y m)( y m) = y, 1 1 Il es imporan de eser la saionnarié des séries de données. Dans le cas conraire, des séries non saionnaires peuven rouver des résulas fallacieux enre les différenes variables, ce qui signifie que les relaions rouvées son sans valeur. En oure, une analyse asympoique sera effecuée dans le présene éude e les hypohèses de normalié ne son pas valides lorsque les séries employée son non saionnaires. Enfin, les chocs dans les séries non saionnaires ne s aénuen pas de suie [6]... TEST DE DICKEY-FULLER AUGMENTÉ (ADF) Les ess de Dikey-Fuller Augmenés (ADF, 1981) consise à comparer la valeur esimé de de Suden associé au paramère φ aux valeurs abulés de cee saisique. Les valeurs abulées pour ces ess diffèren cependan des valeurs abulées du es de Suden. Les valeurs criiques de cee saisique, noée ADF dans ce qui sui, son données par MacKinnon (1996). L hypohèse nulle de non saionnarié de la série emporelle es rejeée au seuil de 5% lorsque la valeur observée du es de Suden es inférieur à la valeur criique abulée par Mackinnon (1996) ou ols < ADF.05. Les Modèles de es ADF, ne prends pour hypohèse les processus ε pour brui blanc ( au conraire pour les Tess Dikey fuller simple), auremen di dans ces ess, il n y a aucune raison que pour que, à priori l erreur soi non corrélée. Les ess ADF son fondés, sous l hypohèse alernaive φ < 1, ses rois ur l esimaion par les MCO des rois modèles : [ 4 ] : M odèle y = ρ y φ y + ε p j j = [ 5 ] : M o d è le y = ρ y φ y + c + ε p j j = [ 6 ] : M o d è le y = ρ y φ y + c + b + ε p j j = 1 Le es se déroule de manière similaire aux ess ADF simples, seules les ables saiqiques diffèren. La valeur de ρ peu-êre déerminée selon les crières d Akaike e de Swarz, ou encore en paran d une valeur suffisammen imporane iè m e de ρ, on esime un modèle ρ 1, puis ρ reards, jusqu à ce que le coefficien du ρ reard soi significaif [5]. ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

6 Modélisaion de la conagion financière de la Grèce e d aures pays de la zone Euro H 0 = Non saionnaire Ce qui es esé, si la série conien une racine uniaire, elle es rejeée. Par conséquen, H 0es rejeée, si la saisique du es es plus négaive que la valeur criique. Dans le cas de nore éude, les séries des spreads de CDS on une racine uniaire, nous les avons saionarisé en uilisan le logarihme des différences premières : Avec rw, = lo g ( y ) lo g ( y 1 ) y es le spread des CDS du pays i, i = 1,...9 à la période E r w, représene Les logarihmes des rendemens...3 LA MÉTHODE MAXIMUM DE VRAISEMBLANCE La méhode de maximum de vraisemblance choisi les valeurs des paramères qui son plus suscepibles d'avoir produi les données observées. Une foncion de vraisemblance (FV) es une foncion muliplicaive des données réelles, cependan, en raison de sa complexié afin de maximiser la foncion avec le respec des paramères, le logarihme es pris en considéraion. Ainsi, il va se ransformer la foncion de vraisemblance (LF) en une foncion addiive de l échanillon des données, qui es connu sous le nom de la foncion de Log-vraisemblance (FLF). Maximiser la foncion de Log-vraisemblance (FLF) es fai de chercher l'espace de paramère jusqu'à ce que les «bonnes» valeurs son rouvées, ce qui es équivalene à minimiser conjoinemen : E T = 1 T = 1 logσ ( y m φ y 1) σ Où σ es la variance condiionnelle emporellemen variable insaionnaire des erreurs normalisées. Dans cee éude la echnique iéraive es appliquée afin de maximiser la foncion de Log-vraisemblance (FLF). Cela implique que les valeurs des paramères iniiaux son choisies, e que à parir de ces paramères les valeurs son mises à jour après chaque iéraion jusqu'à ce que l opimum soi aein. L'inconvénien de cee méhode es que plusieurs des maximums locaux peuven exiser, dans lequel des valeurs iniiales différenes peuven ainsi conduire à des résulas différens. 3 DONNEES ET RESULTATS DES ESTIMATIONS 3.1 LES DONNÉES DU MODÈLE Les données uilisées son les CDS souverains journaliers de 9 pays : le Porugal, l Irlande, l Ialie, l allemand, la Grèce, l Espagne, l Auriche, la France e la Belgique. Elles son exraies de la base de données de REUTERS. La période d observaion s éale du 8 janvier 008 jusqu à 1 Aou 010 (un échanillon en coninu c es-à-dire sans comper les weekends). Les choix de la période e du nombre de branches son dicés par la disponibilié des données. ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

7 Moulay El Mehdi FALLOUL and Ahmed HEFNAOUI 3. LES STATISTIQUES DESCRIPTIVES Table 1. Exemple d un ableau Les saisiques descripives monre des dispariés au niveaux des comporemen des spreads des CDS souverains, les hausses les plus imporanes des spreads son accusées par les pays connus duran la crise de la zone euro sous le nom de PIIGS, la Grèce avec , le Porugal avec 116.8, l Irlande avec e l Espagne avec Donc deux pays du cœur de la zone on vu leur dee publique surévalué qui son l Ialie e l Espagne e 3 pays de la périphérie de la zone euro son égalemen ouchés qui son la Grèce, l Irlande e le Porugal. En erme de volailié, Les écar ypes (sandard deviaions) monren que les valeurs les plus volailes sur les marchés financiers des CDS souverains son : la Grèce avec un écar ype de suivi du Porugal avec un écar ype de 6.99, suivi de l Irlande avec un écar ype de e puis de l Espagne avec un écar ype de 103. Les valeurs les moins volailes son l Allemagne avec 18.6 e la France avec Ces variables son caracérisées par des coefficiens d aplaissemen (kurosis) différens selon les pays. En effe Le Porugal, l Ialie, la Grèce, l Allemagne, l Irlande, la France e l Auriche on une disribuion lepokurique (coefficien d aplaissemen > 3), plus ranchane qu'une disribuion normale, avec des valeurs concenrées auour de la moyenne e les queues épaisses. Cela signifie une fore probabilié pour les valeurs exrêmes. Alors que pour l Espagne e la Belgique on une disribuion plaicurique (coefficien d aplaissemen > 3), plus plae que d'une disribuion normale avec un pic plus large. La probabilié pour que les valeurs exrêmes es inférieure à une disribuion normale, e les valeurs représenen la plus large diffusion auour de la moyenne. Les variables on ous des coefficiens d asymérie>0, c es-à-dire une répariion asymérique à droie, la plupar des valeurs son concenrées gauche de la moyenne, avec des valeurs exrêmes à droie. 4 LES RÉSULTATS DES ESTIMATIONS Éan donné que les esimaions des deux paramères DCC son significaives au niveau de 5%, ous les supporen le modèle de corrélaion condiionnelle dynamique. En d'aures ermes, l hypohèse à propos de la présence des srucures de corrélaion sable enre les séries es rejeée. Le ableau suivan monre les valeurs des paramères esimé les α e β respecivemen, générées par le modèle DCC. ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

8 Modélisaion de la conagion financière de la Grèce e d aures pays de la zone Euro Table. Résulas des esimaions DCC-GARCH La persisance des chocs à cour erme sur les corrélaions dynamiques es plus grande enre Grèce /Espagne, suivi par Grèce /Belgique, suivi par Grèce/, en raison de leur valeurs des α élevés. L'effe à cour erme dans le pair de corrélaion enre Grèce /Espagne e le pair de corrélaion Grèce/Belgique es augmené puisque les deux pairs de corrélaion on vu égalemen la valeur de leur paramère β le plus bas, par conséquen l esimaion de la corrélaion emporellemen variane esimée devien donc encore plus sensible aux chocs à cour erme. Ainsi, cela indique qu'il n'exise pas une srucure de corrélaion sable enre les couple Grèce /Espagne e aussi enre les couple Grèce/Belgique, ils son donc relaivemen pays moins éroiemen liés. Toues les aures paires de corrélaion on des valeurs relaivemen élevées de β, ce qui indique que le modèle me plus de poids aux informaions de long erme. Par conséquen, il y a une relaion de corrélaion de long erme enre les aures différens pays. Enfin, oues les spécificaions du modèle on la propriéé des processus de reour à la moyenne puisque les valeurs de paramères son conjoinemen inférieures à l'unié. Pour s'assurer que les résulas de l'éude son fiables, la propriéé saisique de saionnariés des résidus sandardisés issus des esimaions du modèle GARCH(1,1), son une condiion nécessaire pour le modèle DCC (Engle, 00). Ainsi, un es de saionnaire des résidus sandardisés GARCH a éé fai. Le es ADF monre que ous les résidus sandardisés de chaque ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

9 Moulay El Mehdi FALLOUL and Ahmed HEFNAOUI série GARCH saionnaire. Les résulas des esimaions des valeurs des paramères du modèle GARCH(1,1) son menionnés dans le ableau 3. Nous présenons ci-après les résulas des esimaions graphiques des Corrélaions condiionnelle dynamiques enre la Grèce e les aures souverains (figure 1). Table 3. Résulas des esimaions GARCH(1,1) Pays ω α β Grèce 6.99E-05*** *** 90707*** ( ) ( ) (6.9436) Espagne 00140*** ( ) *** ( ) *** ( ) Porugal 8.31E (1.3967) ( ) (1615) Ialie 00104*** (.4598) Irlande 07450*** ( ) Allemagne 17450*** ( ) France 0134*** ( ) Belgique 00831*** ( ) Auriche 5.30E-06*** ( ) 0690*** ( ) *** ( ) 1790*** ( ) *** ( ) *** ( ) 35557*** ( ) *** ( ) *** ( ) 97148*** ( ) 778*** ( ) 66181*** ( ) *** ( ) *** Sinificaion au seuil de 5% ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

10 Modélisaion de la conagion financière de la Grèce e d aures pays de la zone Euro Grèce/Auriche Gréce/Bélgique M07 009M01 009M07 010M01 010M07 008M07 009M01 009M07 010M01 010M07 Greece/france Gréce/Allemagne M07 009M01 009M07 010M01 010M M07 009M01 009M07 010M01 010M07 Gréce/Irlande Gréce/Ialie M07 009M01 009M07 010M01 010M07-008M07 009M01 009M07 010M01 010M07 Gréce/Porugal Gréce/Espagne M07 009M01 009M07 010M01 010M07 008M07 009M01 009M07 010M01 010M07 Fig. 1. Corrélaions enre la Grèce e les aures pays de la zone Euro DCC-GARCH Les graphes nous monren que la corrélaion varien selon les pays de la zone euro, c es pourquoi nous calculons des moyens des coefficiens de corrélaion pour nous une informaion sur le niveau de corrélaion enre ces pays. ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

11 Moulay El Mehdi FALLOUL and Ahmed HEFNAOUI Table 4. coefficien de corrélaion moyenne enre Grèce e les aures pays de la zone Euro 5 CONCLUSION D après les résulas nous consaons que la conagion financière es assez évidene pour le Porugal, l Ialie e l Espagne e moyenne pour la Belgique e l Auriche e moins évidene pour l Allemagne, la France es l Irlande, nous concluons que les CDS rese un bon insrumen pour la mesure du risque de crédi cependan la zone euro n es pas bien inégrée financièremen, c es éviden d après la héorie de Rober Mendel que la zone euro ne consiue pas une zone monéaire opimale e par conséquen n es pas aussi bien économiquemen inégré comme c es le cas pour des pays comme les Eas Unis ou la Suisse. REFERENCES [1] V. Consâncio, Conagion e crise de la dee européenne Banque de France Financial Sabiliy Review, no.16, pp , Avril 01. [] R. Engle and K. Sheppard, Theoreical and Empirical Properies of Dynamic Condiional Correlaion Mulivariae GARCH, NBER working paper no. 8554, Ocober 001. [3] R. Engle, Dynamic Condiional Correlaion A simple Class of Mulivariae GARCH Models, Journal of business and economic sudies, Vol. 0, no 3, pp , 00. [4] T. Bollerslev, Modeling he Coherence in Shor-Run Nominal Exchange Raes: A Mulivariae Generalized ARCH Approach, Review of Economics and Saisics, Vol.7, no.3, pp , [5] T. Bollerslev, R. Engle, and J. Wooldridge, A capial asse pricing model wih ime-varying covariances, The Journal of Poliical Economy, Vol. 96, no.1, pp [6] C. Brooks: Inroducory Economerics for Finance, nd ediion. Cambridge Universiy Press, 008. [7] R. Bourbonnais : Économérie, Manuel e exercices corrigés, 7 e édiion. DUNOD, 009. ANNEXE I: CODE EVIEWES DU PROGRAMME DCC-GARCH ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

12 Modélisaion de la conagion financière de la Grèce e d aures pays de la zone Euro 'se sample range sample S1 //008 8//010 scalar pi= 'defining he reurn series in erms of y1 and y series y1=greece series y=porugal 'fiing univariae GARCH(1,1) models o each of he wo reurns series equaion eq_y1.arch(1,1,m=1000,h) y1 c equaion eq_y.arch(1,1,m=1000,h) y c 'exrac he sandardized residual series from he GARCH fi eq_y1.makeresids(s) z1 eq_y.makeresids(s) z 'exrac garch series from univariae fi eq_y1.makegarch() garch1 eq_y.makegarch() garch 'Caculae sample variance of series z1, z and covariance of z1and z and correlaion beween z1 and z scalar var_z1=@var(z1) scalar var_z=@var(z) scalar cov_z1z=@cov(z1,z) scalar corr1=@cor(z1,z) 'defining he saring values for he var(z1) var(z) and covariance (z1,z) series var_z1=var_z1 series var_z=var_z series cov_z1z=cov_z1z 'declare he coefficien saring values coef() T T(1)=0. T()=0.7 '... ' LOG LIKELIHOOD for correlaion par ' se up he likelihood ' 1) open a new blank likelihood objec and name i 'dcc' ' ) specify he log likelihood model by append '... logl dcc logl 'specify var_z1, var_z, cov_z1z dcc.append var_z1=@nan(1-t(1)-t()+t(1)*(z1(-1)^)+t()*var_z1(-1),1) dcc.append var_z=@nan(1-t(1)-t()+t(1)*(z(-1)^)+t()*var_z(-1),1) dcc.append cov_z1z=@nan((1-t(1)-t())*corr1+t(1)*z1(-1)*z(-1)+t()*cov_z1z(-1),1) dcc.append pen=(var_z1<0)+(var_z<0) 'specify rho1 dcc.append rho1=cov_z1z/@sqr(@abs(var_z1*var_z)) 'defining he deerminan of correlaion marix and deerminan of D dcc.append derr=(1-(rho1^)) dcc.append derd=@sqr(garch1*garch) dcc.append pen=pen+(derr<0) dcc.append derr=@abs(derr) ISSN : Vol. 8 No. 1, Sep

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

Séminaire d Économie Publique

Séminaire d Économie Publique Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement

Les deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain Global Journal of Managemen and Business Research : c Finance Volume 14 Issue 1 Version 1.0 Year 2014 Type: Double Blind Peer Reviewed Inernaional Research Journal Publisher: Global Journals Inc. (USA)

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

Estimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats

Estimation d une fonction de demande de monnaie pour la zone euro : une synthèse des résultats Esimaion d une foncion de demande de monnaie pour la zone euro : une synhèse des résulas Ce aricle propose une synhèse des résulas des esimaions d une foncion de demande de monnaie de la zone euro dans

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES

NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES BRUSSELS EONOMI REVIEW - AHIERS EONOMIQUES DE BRUXELLES VOL 5 N 3 AUTUMN 7 NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES D EXTRATION DU YLE EONOMIQUE ANNA SESS ET MIHEL GRUN-REHOMME (UNIVERSITE PARIS, ERMES- NRS- UMR78)

Plus en détail

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July

Plus en détail

Calcul Stochastique 2 Annie Millet

Calcul Stochastique 2 Annie Millet M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3

Plus en détail

S euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement.

S euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement. Choix d ives i s s eme e cer iude 1 Chapire 1 Choix d ivesissemes e ceriude. Défiiio L es décisios d ivesissemes fo parie des décisios sraégiques de l erepris e. Le choix ere différes projes d ivesisseme

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

Une analyse historique du comportement d épargne des ménages américains

Une analyse historique du comportement d épargne des ménages américains 1 ocobre 1 N. 51 Une analyse hisorique du comporemen d épargne des ménages américains Le aux d épargne des ménages américains a riplé depuis le déclenchemen de la crise, inerrompan un mouvemen de baisse

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié

Plus en détail

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

Une assurance chômage pour la zone euro

Une assurance chômage pour la zone euro n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

Investment Flows and Capital Stocks

Investment Flows and Capital Stocks Saisics Canada Invesmen and Capial Sock Division Naional Wealh and Capial Sock Secion Invesmen Flows and Capial Socks Saisique Canada Division de l invesissemen e du sock de capial Secion de la richesse

Plus en détail

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un Bu Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Documen d Eude N 08 ENJEUX ECONOMIQUES ET COMMERCIAUX DE L ACCORD DE PARTENARIAT ECONOMIQUE

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION , Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité

PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n

Plus en détail

n 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois)

n 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois) LES GRANDS THÈMES DE L ITB Les iérês simples e les iérês composés RAPPELS THÉORIQUES Les iérês simples : l'iérê «I» es focio de la durée «D» (jour, quizaie, mois, rimesre, semesre, aée) de l'opéraio (placeme

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

B34 - Modulation & Modems

B34 - Modulation & Modems G. Pinson - Physique Appliquée Modulaion - B34 / Caracérisiques d'un canal de communicaion B34 - Modulaion & Modems - Définiions * Half Duplex ou simplex : ransmission un sens à la fois ; exemple : alky-walky

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux

Plus en détail

PARTIAL DIFFERENTIAL EQUATIONS. On global discontinuous solutions of Hamilton-Jacobi equations.

PARTIAL DIFFERENTIAL EQUATIONS. On global discontinuous solutions of Hamilton-Jacobi equations. EQUATIONS AUX DERIVEES PARTIELLES. Sur des soluions globales disconinues des équaions d Hamilon-Jacobi, par Gui-Qiang Chen e Bo Su Résumé. On éabli l unicié des soluions de viscosié semiconinues classiques

Plus en détail

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit Modèles de Taux, Surface de Volailié e Inroducion au Risque de Crédi Alexis Fauh Universié Lille I Maser 2 Mahémaiques e Finance Spécialiés Mahémaiques du Risque & Finance Compuaionelle 214/215 spread

Plus en détail