TRAITEMENT DU SIGNAL

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "TRAITEMENT DU SIGNAL"

Transcription

1 J AUVRAY raiemen du Signal RAIEMEN DU SIGNAL Cours de M Jean AUVRAY

2 J AUVRAY raiemen du Signal BIBLIOGRAPHIE [] raié d élecricié Ecole polyechnique de Lausanne ome VI Ediions DUNOD Frédéric de Coulomb héorie e raiemen des signaux [] Inroducion à la héorie de la communicaion E Roubine éd : MASSON 3 omes Signaux cerains Signaux aléaoires héorie de l informaion [3] Inroducion à la héorie du signal PICINBONO ed :DUNOD [4] Méhodes e echniques du raiemen de signal J MAX ed :MASSON omes [5 Disribuions Signal E ROUBINE ed : EYROLLES [6] Méhodes rapides de ransformaion du signal LIFERMAN Ed : MASSON [7 Elémens de héorie du signal Signaux cerains J P DELMAS Signaux aléaoires M CHARBI Communicaions analogiques D VENRE Collecion Ellipse [8] héorie de la ransmission de l informaion SPAARU Ed : MASSON 973 [9] Voir aussi ouvrages de la collecion du CNE, en pariculier les livres de BELLANGER

3 J AUVRAY raiemen du Signal INRODUCION Le raiemen du signal es une discipline indispensable que ou ingénieur doi connaîre au moins dans ses grandes lignes. L amélioraion des performances des sysèmes au cours des dernières années es due pour la plus grande parie à l applicaion des echniques de raiemen de signal pluô qu au perfecionnemen du maériel. Un RADAR acuel a des performances sans communes mesure avec celle d un RADAR de 96 e cependan sa srucure maérielle es sensiblemen la même, mais les echniques de raiemen de signal faisan appel à des raiemens numériques sophisiqués permeen d exraire de l écho reçu une quanié beaucoup plus grande d informaion. Le bu du raiemen du signal es en effe d exraire le maximum d informaion uile sur un signal perurbé par le brui. Cee phrase compore 4 mos imporans : Signal e brui, raiemen, informaion. qui von êre expliciés dans les chapires successifs de ce cours. On pense le plus souven que le brui es un signal aléaoire qui se superpose au signal uile, en réalié les noions de signal e brui son rès relaives. Pour un echnicien des élécommunicaions qui écoue un émeeur loinain relayé par un saellie, le signal provenan d une source asrophysique (soleil, quasar placée malenconreusemen dans la même direcion es un brui. Mais pour l asronome qui s inéresse à la source asrophysique, c es le signal du saellie qui es gênane, ainsi le brui c es ce qui se superpose au signal que vous voulez éudier. La grandeur essenielle es le rappor signal sur brui, quoien des puissances du signal e du brui, c es ce quoien qu il fau augmener au maximum. L amplificaion n es pas un procédé de raiemen du signal car elle ne conribue en aucune manière à la séparaion du signal e du brui, ces deux élémens son amplifiés de la même façon e le rappor S/B es inchangé, il es même un peu dégradé par suie du brui propre de l amplificaeur. Bien sûr une amplificaion du signal reçu es souven nécessaire pour aeindre un niveau pour lequel il es possible d appliquer des méhodes de raiemen, mais nous n aborderons pas ce sue ici. Un sysème de mesure a de façon générale la srucure ci dessous, le phénomène physique que l on veu éudier es présené à un capeur qui le ransforme en un signal élecrique ension ou couran ( plus raremen un signal opique A ce niveau un brui es aoué.l ensemble chemine sur un canal de ransmission lui même bruyan. Il aein enfin le récepeur derrière lequel es effecué le raiemen. Signal élecrique + brui Brui Sysème physique Capeur raiemen Informaion uile e brui résiduel Brui Pour améliorer le rappor signal sur brui il fau connaîre les caracérisiques respecives de ces deux consiuans, puis de quelle façon elles son modifiées à la raversée d un sysème, linéaire ou non. Ce cours sera donc organisé de la façon suivane : Dans une première parie nous verrons commen es décri un signal e quelles son les paramères qui le définissen. Nous éudierons ensuie le comporemen d un signal appliqué à un sysème linéaire puis non linéaire. La roisième parie sera alors consacrée aux méhodes radiionnelles de raiemen de signal Il fau remarquer que nous parlerons de raiemen aussi bien analogique que numérique, ceraines méhodes fon appel à des opéraions mahémaiques si complexes qu il difficile de les effecuer de façon analogique, les echniques numériques son alors mises en œuvre, mais il ne s agi que d un problème echnique. Par exemple la ransformée de Fourier d un signal bidimenionnel (une image es le plus souven effecué à l ordinaeur mais il es possible de l obenir par voie puremen opique bien plus rapidemen. 3

4 J AUVRAY raiemen du Signal I. LES SIGNAUX DESCRIPION E CARACERISIQUES Nous supposerons dans ou ce qui sui que les signaux son mis sous forme de ensions élecriques. On disingue habiuellemen : cerains ou déerminises. Ils peuven êre représenés par une foncion v( qui perme de calculer leur valeur pour ou passé ou fuur. Ces signaux peuven êre : - Périodiques x(x(+k éan la période F/ la fréquence de récurrence. Ils possèden alors une puissance moyenne + oale W x ( d es infinie + / P x ( d mais leur énergie / - Non périodiques ou impulsionnels On disingue alors les signaux absolumen inégrables : + + x ( d < ( Ils consiuen l espace L, ou de carré sommable x( d < ( ils consiuen l espace L - Ces signaux n on pas de puissance moyenne - aléaoires.ils obéissen aux lois du hasard e leur fuur es inconnu. Ils possèden en général une puissance moyenne Lim x d P ( La plupar des signaux naurels son aléaoires, considérons par exemple le signal recueilli derrière un microphone devan lequel parle un conférencier. A un insan o il es possible à parir de l enregisremen du signal effecué depuis le débu de la conférence de calculer une foncion mahémaique v(qui représene exacemen ce signal,v( es alors l ampliude de la ension fournie par le micro à l insan si <<o, par conre v( pour >o n a rien à voir avec la vraie valeur à l insan.il n exise pas de foncion v( représenan le signal pour ou.nous verrons plus loin la conséquence qui en découle pour la ransformaion de Fourier. naurels aléaoires ou non ( le signal périodique d un généraeur son forcémen coninus e indéfinimen dérivables. Il n en es pas ouours de même des modèles mahémaiques que l on uilise pour les représener. Ainsi un signal carré idéal n exise pas. REPRESENAION DES SIGNAUX PAR PROJECION SUR DES BASES DE FONCIONS ORHOGONALES Nous nous inéresserons ici à des signaux déerminises qui son décris par une foncion v(. Cee foncion éan connue il devrai êre possible de calculer la ransformaion subie par ces signaux à la raversée d un sysème de caracérisiques connues, en fai sauf dans des cas rès simples, le calcul es rès difficile,sinon impossible. On uilise courammen la ransformaion de 4

5 J AUVRAY raiemen du Signal Fourier e la foncion de ransfer des sysèmes ( du moins s ils son linéaires.mais cee ransformaion n es qu un exemple de proecion sur une base de foncions. Définiions Considérons l espace E des foncions possédan une propriéé P (par exemple elles son périodiques de période, ou de carré sommable ec.elles consiuen un espace vecoriel si : La combinaison linéaire de deux foncions de E apparien aussi à E : Si f E e f E a.f +a.f E Il exise un produi scalaire noé : <f f > qui à deux foncions f e f, prises dans leur ensemble fai correspondre un nombre. Aenion f (.f ( produi de deux valeurs à deux insans ne saisfai pas à la condiion. La définiion du produi scalaire es le plus souven : f f f ( u f ( u D du les foncions pouvan êre complexes. D es le domaine dans lequel son définies ces foncions. D ou la propriéé a. f f a. f f ( Deux foncions son orhogonales si f f Base de foncions Des foncions φ apparenan à l espace E e dépendan d un paramère enier consiuen une base si : Elles son orhogonales à φ φ δ ( si si L une d enre elle ne peu pas êre fabriquée par une combinaison linéaire des aures, c es à dire qu il n exise pas de coefficiens a els que a φ C es par exemple le cas des rois veceurs direceurs héorème fondamenal i, Soi φ une foncion de la base e f une foncion quelconque de E f φ es un nombre e f donc φ. φ une foncion f φ. φ es une foncion, dans un espace à 3 dimensions. f φ φ φ. es un nombre qui peu s écrire aussi en veru de la propriéé ( f φ φ φ f φ car φ φ δ soi f φ. φ φ f φ en comparan les deux ermes de gauche des produis scalaires : f f φ. φ c es à dire f a. φ avec a f φ La foncion f es une somme pondérée de ermes de la base 5

6 J AUVRAY raiemen du Signal LA RANSFORMAION DE FOURIER Soi E l ensemble des foncions périodiques de période, la somme de deux foncions de période es bien une foncion de même période. Les foncions de la base son : scalaire : e π, elles son bien de période,leur produi φ φ + / / d exp( ( exp( π.exp( π π / / d es bien nul si car la foncion sous le signe somme es de période, e si Ces foncions complexes consiuen donc une base, alors en veru du résula précéden ; si f es une foncion de période : f c.exp( π avec c f (.exp( d π / résula classique, on usifie la présence du signe - dans l exponenielle sous le signe somme, c es à cause du produi scalaire. Nous uiliserons beaucoup la forme précédene, le coefficien enier varie de -à + ce qui inrodui des fréquences négaives qui roublen parfois cerains uilisaeurs mal informés.on écri souven : f ( + a cos(π + b sin(π il es facile de vérifier en expriman les sinus e cosinus en somme ou différence d exponenielles complexes que : c ( a. sign(. b soi Parie réelle de c parie réelle de c - Parie Img de c - Parie img de c - Les coefficiens c possèden une symérie hermiienne Base coninue :inégrale de Fourier Dans ce qui précède es un nombre enier, mais il es possible d imaginer des bases coninues pour lesquelles ce paramère serai un nombre réel, la sommaion discrèe Σ es alors remplacée par une inégrale.par exemple pour des signaux non périodiques on peu êre ené de définir un produi scalaire : + f ( u g ( u du cee inégrale peu êre finie si les foncions son absolumen inégrables car l une des formes de l inégalié de Schwarz es fg f. g or dans ce cas les deux ermes de droie son finis. Malheureusemen la définiion direce des foncions de base renconre quelques difficulés de convergence, il fau faire appel à des inégrales plus complexes, cependan le résula subsise, ce son les formules essenielles de la ransformaion de Fourier que nous renconrerons ou au long de ce cours : x( + X ( πf. e πf df avec + / X ( πf + x(. e πf Nous renconrerons plus loin un aure exemple de base coninue, mais la base de Fourier es de loin la plus imporane. d 6

7 J AUVRAY raiemen du Signal Inérê de la ransformaion de Fourier Parmi oues les bases possibles la base de Fourier oue un rôle esseniel car ses foncions de base son des foncions propres de l opéraeur linéaire. Soi s i le signal de sorie d un sysème recevan à son enrée un signal e i, ce sysème es linéaire si recevan e λ e + λe il fourni en sorie un signal s λ s + λs. On di qu il obéi au principe de superposiion. Si les propriéés son les mêmes à ou insan, on di que le sysème es saionnaire les signaux d enrée e de sorie son alors reliés par une équaion différenielle à coefficiens consans : m m d d d am s( + a s(... as( b e(... be( m m + + m + + d d d Le sup de m e es le degré du sysème. Remarquez qu il n y à pas de ermes consans. m d s m s Il es facile alors de vérifier que exp(s es une foncion propre, en effe e s e m d L équaion devien alors : m H. a s e( Hae( b s e( +... be( m + D ou la valeur propre : b s b H ( s m ams a résula classique, H es la foncion de ransfer en s du sysème linéaire. La base de Fourier consiue un cas pariculier avec sπf Les foncions de base de Fourier ne son pas réelles, il es impossible de réaliser un généraeur fournissan de elles foncions, exp( π f es ce que l on appelle un signal analyique, nous y consacrerons plus loin un chapire. Par conre l associaion de deux foncions de la base peu êre réel. En effe : exp( πf + exp( πf cos πf Les ermes de fréquences f e f son indissociables Une sinusoïde n es pas une foncion propre de l opéraeur linéaire, c es le signal analyique qui lui es associée qui l es. A la raversée du sysème chaque foncion propre es mulipliée par la valeur propre correspondane : Exp(πf devien H(f Exp(πf Exp(-πf devien H(-f Exp(-πf Le erme réel en cosinus devien donc : πf πf [ H ( πf. e + H ( πf. e ] Mais ce signal réel es forcémen une sinusoïde de fréquence f A. cos(π f + ϕ A πf ϕ πf ϕ qui s écri aussi [ e e + e e ] Par idenificaion : A ϕ A ϕ H ( πf. e H ( πf. e la foncion de ransfer possède une symérie hermiienne. Dans ou ce qui sui nous représenerons les foncions de ransfer, e les ransformées de Fourier sur un axe de - à + en n oublian pas que les paries pour f> e f< son indissociables Formule fondamenale des sysèmes linéaires C es une conséquence de ce qui précède. 7

8 J AUVRAY raiemen du Signal ou signal peu êre développé en inégrale de Fourier c es à dire êre considéré comme la somme d un nombre infini de composanes exponenielles complexes. + πf x( X ( πf. e df πf mais chacune de ces composanes X ( πf. e df es une foncion propre de l opéraeur linéaire, e se rouve donc mulipliée par la valeur propre associée, donc devien : πf H ( πf. X ( πf. e df Le sysème obéi au principe de superposiion, le signal de sorie es donc une combinaison linéaire des valeurs précédenes, soi : + πf y( H ( π f. X ( πf. e df. expression monran que la ransformée de Fourier du signal de sorie es : Y ( π f H ( πf. X ( πf C es la formule fondamenale bien connue des sysèmes linéaires. Remarque : Exp(p es une foncion propre de l opéraeur linéaire, or une foncion peu égalemen êre représenée en uilisan une ransformée de Laplace : x( a+ a X ( p. e p dp avec X ( p x(. e par un raisonnemen sricemen idenique au précéden on obien la relaion enre les ransformées de Laplace : Y(p X(p.H(p qui es employée en héorie des filres. - Les 4 héorèmes Nous cierons ici 4 résulas que l on uilise rès souven : p d W héorème de Parceval a Considérons un signal d énergie finie ( impulsionnel Cee énergie es + W x ( d qui peu aussi s écrire en développan l un des ermes sur une base de foncions ( base discrèe, es un enier + W x(. a φ d a x(. φ ( d + mais l inégrale es à une conugaison près un produi scalaire soi W a + x (. φ ( d a L énergie oale es la somme des carrés des ermes du développemen Cee suie de nombres consiue le specre d énergie du signal sur la base ϕ, il s agi d un specre de raies. Pour un signal apparenan à L e possédan donc une ransformée de Fourier x ( d x( X ( πf.exp( πf df. d X ( πf x(.exp( πf d. df X ( πf. df Un inervalle de fréquence df ranspore une énergie X(πf ²df ;le erme S x (f X(πf, es la densié specrale d énergie du signal ou DSE.( unié Joules par herz 8

9 J AUVRAY raiemen du Signal Cee relaion x d ( X ( π f df consiue le héorème de Parceval Compe enu de la formule fondamenale des sysèmes linéaires, la relaion enre la DSE des signaux d enrée e de sorie d un filre linéaire es donc : S Y ( f H ( πf. S x ( f b signaux périodiques Ces signaux n appariennen pas à L, ils on une énergie oale infinie, ils n on pas de ransformée de Fourier mais seulemen une décomposiion en série de Fourier.C es la héorie des disribuions qui a permis d unifier ces deux noions. Il fau dans ce cas ravailler en erme de puissance moyenne. Cee puissance moyenne vau : + / + / / P x ( d x(. cn exp( π n cn x( exp( πn d cn n n / / / n La puissance moyenne es la somme des carrés des modules coefficiens.ce résula rese bien sûr valable pour oue aure base de foncions orhogonales. c Signaux d énergie oale infinie n ayan pas de ransformée de Fourier Il n exise pas de signaux physiques déerminises de ce ype ; ce serai par exemple le cas de x/ non réalisable car infini pour, mais les bruis aléaoires enren dans cee caégorie Limions le signal à une durée (de / à +/, nous obenons un signal x ( de durée finie donc d énergie finie, Sa ransformée de Fourier X (πf exise.il possède une puissance moyenne : P / x / ( d Un calcul analogue au précéden condui à : + P X f df ( π Il suffi de faire endre vers l infini pour définir la puissance moyenne du signal iniial : P Lim X ( π f df + Cee puissance es comme plus hau réparie le long de l axe des fréquences, on défini une densié specrale de puissance ( DSP ou specre de puissance S( f Lim X ( πf qui à la raversée d un filre linéaire subi la même ransformaion que la DES du cas précéden. héorème du reard. C es une simple propriéé due esseniellemen à la forme pariculière des foncions propres d une base de Fourier.. x( à pour ransformée x ( πf e d x( '. e en posan - il vien : πf. e d X ( πf. e πf πf Le reard se radui par un déphasage de la ransformée. Ce héorème n exise pas bien sûr pour une base différene. 9

10 J AUVRAY raiemen du Signal 3 héorème du produi de convoluion Lui aussi n exise que pour Fourier. Soien deux foncions x e y de ransformées de Fourier X e Y.On peu écrire : πfθ πfu X ( f. Y ( f x( θ. e dθ. y( u. e du en posan u-θ dud ( car θ es une consane pour la seconde inégrale X ( f. Y ( f x( θ. y( θ dθ. e πf Il es d usage de définir le produi de convoluion : + [ y] ( x x( u. y( u du d L équaion ci dessus devien : πf X ( f. Y ( f ( x y. e d Ce qui monre que la ransformée de Fourier du produi de deux foncions es le produi de convoluion de leurs ransformées. C es un résula esseniel. On noera x. y X. Y ou x I I 4 héorème de Wiener Kinchine C es de rès loin le plus imporan des 4 La foncion d auocorrélaion d un signal déerminise x( d énergie finie es définie par + R X ( τ x(. x( τ d On peu l écrire aussi : πf ( τ RX ( τ x(. X ( πf. e dfd on en inerverissan les ermes sous le signe somme : πf πfτ πfτ RX ( τ X ( πf. x(. e d. e df X ( πf e df Ce qui monre que la ransformée de Fourier de Rx es le specre d énergie Specre d énergie e foncion d auocorrélaion son ransformées de Fourier l une de l aure. C es le héorème annoncé. Pour un signal à énergie infinie nous verrons que ce héorème subsise. - ransformée de Fourier e signaux es es son des signaux physique ou non de caracérisiques bien connues desinés à eser le comporemen des sysèmes. Le signal pore Signal pore. π a( -A/ +A/ /A Signal idéal don l inérê es surou héorique, il es non causal puisque cenré sur l insan C es un signal absolumen inégrable de ransformée de Fourier : sin( πfa Π A ( πf π A (.exp( πf d πfa +

11 J AUVRAY raiemen du Signal Sinc(x sin( πx πx la foncion sin c( x es appelée sinus cardinal, elle oue un rôle imporan en raiemen de signal, sa forme es représenée ci conre. On noera : - Le signal pore à une surface oale égale à - Sa ransformée de Fourier es réelle. A ce propos il es facile de monrer que la ransformée de Fourier d un signal es réelle d il es cenré sur l insan, c es à dire x(x(- - 9% de l énergie du signal es conenue dans le lobe cenral de largeur A, ainsi le produi : durée du signal.largeur du specre es de l ordre de l unié Ce résula es général e bien connu des élecroniciens ; pour passer des impulsions de durée τ il fau un amplificaeur de fréquence de coupure de l ordre de /τ. Passage à la limie foncion de Dirac des physiciens. Le produi d une foncion de par le signal pore de largeur A, limie le signal à une fenêre de largeur A cenrée sur l origine. L inégrale suivane es l énergie de ce signal ronqué. W π (. f ( d A A Noons que nous avons repoussé à l infini les bornes d inégraion ce qui ne change en rien le résula puisque le erme à inégrer es nul en dehors de ±A. Que devien dee inégrale si la largeur A end vers zéro? Lim + A π A (. f ( d Avan l inroducion des disribuions les physiciens faisaien le raisonnemen suivan : Si A end vers zéro la seule valeur de f( qui inervien es f(, valeur consane que l on + peu sorir du signe somme : Lim A π A (. f ( d f (. Lim A π A (. d Mais pour oue valeur de A non nulle la somme de π A ( vau, il doi en êre de même à la limie e + + l on écri alors : Lim A π A (. f ( d f (. Lim A π A (. d f ( On inrodui alors la foncion de Dirac δ( δ ( Lim A π A ( e f (. δ ( d f ( En réalié ce passage à la limie inuiif n es pas valable la foncion δ nulle parou sauf à l origine e de surface ne peu pas exiser.l inégrale précédene n a pas mahémaiquemen de sens, nous l uiliserons malgré ou mais avec précauions. C es Lauren Schwarz qui en inroduisan la héorie des disribuions à résolu le problème. héorie des Disribuions ( rappels rapides. Lauren Schwarz inrodui des foncions de base ϕ( définies dans un inervalle D, indéfinimen dérivables e nulles aux bornes de D. Une disribuion es alors un opéraeur (foncionnelle linéaire qui à oue foncion ϕ fai correspondre un nombre. On noera (D,ϕnombre Par exemple f ( u. ϕ ( u. du nombre soi : Sinc( πa -/a /a D La foncion f es uilisée pour définir la disribuion, elle s idenifie avec cee dernière. Ainsi il es naurel de définir la dérivée d une disribuion à parir de la dérivée de la foncion + +

12 J AUVRAY raiemen du Signal ( f ', ϕ f '( θ ϕ( θ dθ D ϕ ( θ u Mais une inégraion par parie avec df donne dθ v dθ ( f ', ϕ [ f. ϕ] D f. ϕ' ( f, ϕ' D En effe le premier erme es nul car ϕ es nulle aux bornes Soi la relaion essenielle ( f ' ϕ ( f, ϕ' qui es généralisable à oue foncion même non dérivable puisque la foncion de base ϕ es ouours dérivable par définiion. Une disribuion définie ainsi à parir d une foncion es die régulière. Mais oue opéraion qui à oue foncion de base fai correspondre un nombre peu définir une disribuion, ainsi la disribuion de Dirac qui fai correspondre à une foncion sa valeur à l origine.soi (δ,ϕ ϕ( Si la foncion δ exisai on aurai l inégrale : δ (. ϕ( d ϕ(, c es l inégrale des physiciens. Ainsi la héorie des disribuions donne un sens à une noaion qui n es pas mahémaiquemen valable. En praique on renconrera souven cee formule, il fau reenir que le signe δ ne peu êre uilisé que s il rese sous le signe somme. Une disribuion qui n es ainsi reliée à aucune foncion es non régulière, mais nous admerons que la formule de dérivaion écrie plus hau rese valable, ainsi il es possible de définir la dérivée d un Dirac qui physiquemen n a aucun sens. En effe : ( δ ', ϕ ( δ, ϕ' ϕ '( La disribuion qui es la dérivée de δ fai correspondre à une foncion la valeur à l origine de sa dérivée (au signe près. Un résula égalemen classique es la dérivée de l échelon E (E pour < e E pour > dϕ ( E ', ϕ ( E, ϕ'. du [ ϕ( ϕ( ] ϕ( du car la foncion ϕ es nulle aux bornes, ϕ(. La disribuion E fai correspondre à une foncion sa valeur à l origine, c es une disribuion δ. Ce résula considéré comme inuiif, ( la dérivée de E es nulle parou e infinie à l origine,es ainsi usifié. On peu définir de même, bien que cela soi mahémaiquemen plus délica, la ransformée de Fourier d une disribuion : ( If, ϕ ( f, Iϕ Un élecronicien adme assez facilemen que la ransformée de Fourier d un op de Dirac soi égale à l unié (specre infini l expression précédene perme de le monrer, en effe : ( Iδ, ϕ ( δ, Iϕ Φ( ϕ( uexp( πfu du. ϕ( u du f ℵ La comparaison des deux expressions exrêmes monre que Iδ Inversemen on serai ené d écrire la ransformée inverse :.exp( π f df δ ( qu il es facile de usifier physiquemen. ( La somme d une infinié de cosinusoïdes de oues fréquences es nul pour ou sauf à car alors ous les cosinus valen e leur somme es infinie.

13 J AUVRAY raiemen du Signal Applicaions des foncions δ Specre d un signal sinusoïdal Une foncion cos(πf es la somme de deux foncions de base de l opéraeur de Fourier,sa ransformée de Fourier compore donc deux ermes seulemen d ampliude ½ pour les fréquences ±f. En ermes de disribuions on écrira : I cos f ( f δ ( f f + δ ( f + π ; Foncion δ e produi de convoluion ; La foncion δ es la foncion unié de l opéraeur de convoluion. δ ( f ( δ ( u. f ( u du f ( ( Remarque : le produi de convoluion peu êre défini par f ( u. g( u du ou f ( u. g( u du, on peu passer de l une à l aure par changemen de variable De même : δ ( τ f ( f ( τ Dans l opéraion de convoluion la foncion δ décalée provoque un décalage de la foncion.ce résula sera uilisé rès fréquemmen par la suie. Peigne de Dirac C es la périodisaion d un op de Dirac avec la période. Nous noerons : pgn ( δ ( La ransformée de Fourier d un δ éan égal à, la ransformée du peigne précéden es, en veru du héorème du reard : Pgn ( π f.exp( πf Mais le peigne de Dirac es une foncion périodique de période, il es donc possible de la décomposer en série de Fourier : pgn ( c exp( π avec + / c pgn (.exp( π d / Mais dans l inervalle ±/ il n y a qu une seule den du peigne,c es un δ, soi : + c (.exp( f d exp( f δ π π oues les raies du specre on la même ampliude /.On noera donc symboliquemen la Peignes de Dirac pgn ( F Pgn (f / Specre d un cosinus ½ -Fo F +Fo / 3

14 J AUVRAY raiemen du Signal ransformée de Fourier du peigne de Dirac : I ( pgn ( pgnf / ( f δ ( f La ransformée de Fourier d un peigne de Dirac dans le domaine emps es un peigne de Dirac dans le domaine fréquence Périodisaion d un moif Un signal x( de durée finie de ransformée de Fourier X(πf es reprodui périodiquemen le long de l axe des emps,le signal ainsi consrui es la sommaion de ces moifs décalés. Soi : x ( Peu s écrire en veru du résula précéden : δ x x ( ( ( δ ( La ransformée du produi de convoluion es un produi normal, il vien donc : I x ( X ( π. δ ( f Ce résula es illusré sur la figure suivane.on di que la périodisaion du moif provoque un échanillonnage de son specre, nous rerouverons ce résula plus loin. τ x( F X(f f Périodisaion F f / Exemple : Specre d un signal RADAR. Signal RADAR E moif répéé avec la période es une salve de sinusoïdes de fréquence fo e de durée τ ( figure ci conre. Ce moif a pour expression : τ cos( π f O. π ( τ Sa ransformée de Fourier es donc : [ δ ( f f + δ ( f + f ] ( πfτ sin πfτ sinπ ( π ( f f f τ sinπ ( f + + f τ π ( f + f SIGNAUX ANALYIQUES E RANSFORMAION DE HILBER Définiions f τ τ Au signal physique cos(πf on a fai correspondre le signal analyique exp(πf don le signal physique es la parie réelle.c es ce que l on fai lorsque l on uilise la noaion complexe pour éudier les réseaux. Or on peu remarquer que le specre (dans ce qui sui nous uiliserons souven le 4

15 J AUVRAY raiemen du Signal erme de specre au lieu de ransformée de Fourier du signal analyique es obenue en replian sur la parie droie de l axe des fréquence la parie négaive du specre du signal physique. Cee même opéraion peu êre Specres du cosinus e du signal analyique associé : appliquée à un signal quelconque e perme de définir son signal analyique associé. ½ Nous désignerons par a x ( le signal analyique associé à x( ( de -Fo +Fo -Fo +Fo ransformée X(πf e A x (πf son Specre du cosinus Specre de exp(π fo specre. Alors ce specre es défini par Ax ( πf pour f < Ax ( πf. X ( πf pour f C es à dire : A x ( π f X ( πf + Sign( f. X ( πf ( Le signal analyique lui même es obenu en effecuan la ransformée de Fourier inverse de cee expression. Mais il fau connaîre la ransformée de la foncion sign(x qui vau pour x< e + pour x>. Remarquons pour cela que : X ( π f x(.exp( πf d dx a pour dérivée : π. x(.exp( πf d df expression qui monre que -π.x( es la ransformée de dx/d Prenons alors Xsign(f. d( sign( f I π. I( sign( df mais comme il a éé vu plus hau : d( sign( f d( sign δ ( donc I df df compe enu de la ligne précédene : I( sign( f π π La ransformée de l expression ( condui à : ( x( + x( a x f ( f π Le calcul du produi de convoluion, pose un problème de convergence, il fau prendre pour l inégrale la valeur principale de Cauchy Pour une foncion f( non définie pour a a e f ( u du Lim + e f ( u du f ( u du a+ e VP Dans le cas présen x( VP x( u. du π π u Cee expression es par définiion la ransformée de Hilber de x( H ( x( x( π 5

16 J AUVRAY raiemen du Signal Le signal analyique es donc : a x ( x( + H ( x( le signal physique en es bien sa parie réelle. Propriéés de la ransformée de Hilber C es une ransformaion qui se limie au domaine emps conrairemen à la ransformée de Fourier. Le filre de Hilber es un filre linéaire don la réponse impulsionnelle es /π, il n es donc pas causal.la foncion de ransfer de ce filre es : H H ( π f I. sign( f π Filre de Hilber Il possède bien une symérie hermiienne. Appliquons cee ransformaion à une sinusoïde : [ exp( πf + exp( πf ] devien [ H ( f >.exp( πf + H ( f < exp( πf ] soi H [.exp( πf +..exp( πf ] [ exp( πf exp( πf ] sin(πf Le filre de Hilber ransforme un cosinus en sinus, c es un quadraeur parfai. Il n es malheureusemen pas physiquemen réalisable car non causal, on peu seulemen réaliser des quadraeurs foncionnan dans une bande limiée de fréquence. Propriéé d un filre causal Pour un filre causal on peu écrire h(h(.sign( en effe pour f< h(-h( ne peu êre saisfaie que si h(. La ransformée de Fourier de cee relaion donne H ( πf H ( πf πf Posons H(πfHR+HI Paries réelle e imaginaire de H HR( f + HI( f. HR( f + HI( f πf πf πf πf HR( f H[ HI( f ] On voi que HI( f H[ HR( f ] Au signe près paries réelle e imaginaires son ransformées de Hilber l une de l aure. Propriéés des signaux analyiques ( signal analyique e sysème linéaire Pour un filre linéaire les specres d enrée e de sorie son reliés par : Y(πfH(πf.X(πf En inroduisan la foncion U( pour < e pour > le specre du signal analyique correspondan es : AY ( f. U ( f. Y ( f. U ( f H ( f X ( f H ( f AX ( f analyiques se ransformen à ravers un sysème linéaire comme les signaux réels qui leurs son associés. Cas pariculier des signaux à bande éroie :enveloppe complexe. Considérons d abord un signal modulé en ampliude. Son specre es obenu en décalan de par e d aure de la poreuse le specre du signal BF modulan, résula classique. X( H H H(x( 6

17 J AUVRAY raiemen du Signal Modulaion d ampliude Poreuse Specre du signal analyique décalé de -fo Specre du signal analyique -Fo +Fo Specre d une modulaion d ampliude -Fo +Fo La figure ci dessus représene le specre du signal analyique A x (f ainsi que ce qu il devien si on le décale de fo.a x (f+fo es cenré sur l origine, c es au faceur près exacemen le specre du signal BF modulan, qui apparaî à l oscilloscope comme l enveloppe du signal HF. Dans le cas ou le specre de Ax n es pas symérique par rappor à une poreuse, sa ranslaion auour de l origine ne possède pas la symérie hermiienne, Le signal BF correspondan n es plus réel, on l appelle enveloppe complexe, nous la noerons α x ( Enveloppe complexe non réelle : modulaion BLU Poreuse supprimée Specre du signal analyique décalé cenré sur f Specre du signal analyique -Fo +Fo -Fo +Fo Specre d une modulaion BLU Dans le cas général : α x ( I[ Ax ( π ( f + f ] ax (.exp( πf en veru du héorème du reard Soi finalemen : x( Re a ( Re α (.exp( πf [ ] [ ] x x Cee enveloppe complexe n a d inérê que si le signal x es à bande éroie, c es alors un signal BF le plus souven complexe. Représenaion de l enveloppe complexe. Ces représenaions n on d inérê que si le signal es à bande éroie. Représenaion en phase e quadraure On pose α x ( p( + q( Le signal analyique s écri alors ax ( α x (.exp( πf [ p( + q( ][. cos πf + sin πf ] don la parie réelle es : x( Re[ ax ( ] p(.cos πf q( sin πf p( e q( son des signaux BF qui modulen en ampliude deux poreuses en quadraure. On renconre souven cee décomposiion en élécommunicaions (V PAL ou NSC, modulaions numériques à plusieurs éas de phase 7

18 J AUVRAY raiemen du Signal Représenaion en module e phase φ ( On pose cee fois α x ( a( ; e Soi ax ( α x (.exp( πf a(.exp( πf + φ( Don la parie réelle es : x( a(.cos(π f + φ( a( es l ampliude insananée, φ( la phase insananée. Pour un signal à bande éroie le signal x( apparaî à l oscilloscope comme une poreuse de fréquence voisine de fo, don l ampliude varie lenemen [a(] e don la phase flucue [φ(]. 8

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

B34 - Modulation & Modems

B34 - Modulation & Modems G. Pinson - Physique Appliquée Modulaion - B34 / Caracérisiques d'un canal de communicaion B34 - Modulaion & Modems - Définiions * Half Duplex ou simplex : ransmission un sens à la fois ; exemple : alky-walky

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

Fonction dont la variable est borne d intégration

Fonction dont la variable est borne d intégration [hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION , Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

Calcul Stochastique 2 Annie Millet

Calcul Stochastique 2 Annie Millet M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

Cahier technique n 141

Cahier technique n 141 Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE

3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

S euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement.

S euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement. Choix d ives i s s eme e cer iude 1 Chapire 1 Choix d ivesissemes e ceriude. Défiiio L es décisios d ivesissemes fo parie des décisios sraégiques de l erepris e. Le choix ere différes projes d ivesisseme

Plus en détail

NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES

NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES BRUSSELS EONOMI REVIEW - AHIERS EONOMIQUES DE BRUXELLES VOL 5 N 3 AUTUMN 7 NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES D EXTRATION DU YLE EONOMIQUE ANNA SESS ET MIHEL GRUN-REHOMME (UNIVERSITE PARIS, ERMES- NRS- UMR78)

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.

L impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels. L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,

Plus en détail

TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires

TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver

Plus en détail

n 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois)

n 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois) LES GRANDS THÈMES DE L ITB Les iérês simples e les iérês composés RAPPELS THÉORIQUES Les iérês simples : l'iérê «I» es focio de la durée «D» (jour, quizaie, mois, rimesre, semesre, aée) de l'opéraio (placeme

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM

Plus en détail

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE

CAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS

Plus en détail

Non-résonance entre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire

Non-résonance entre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire Non-résonance enre les deux premières valeurs propres d un problème quasi-linéaire AREl Amrouss MMoussaoui Absrac We consider he quasilinear Dirichle boundary value problem (φ p (u )) = f(u)+h(x),u(a)=u(b)=0,

Plus en détail

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA

Thème : Essai de Modélisation du comportement du taux de change du dinar algérien 1999-2007 par la méthode ARFIMA République Algérienne Démocraique e Populaire Minisère de l enseignemen Supérieur e de la Recherche Scienifique Universié Abou-Bakr BELKAID Tlemcen- Faculé des Sciences Economique, de Gesion e des Sciences

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation

Impact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.

Plus en détail

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique

Le développement de l assurance des catastrophes naturelles: facteur de développement économique ARTICLES ARTICLES PROFESSIONNELS ACADÉMIQUES PROFESSIONAL ACADEMIC ARTICLES ARTICLES Assurances e gesion des risques, vol. 79(1-2), avril-juille 2011, 1-30 Insurance and Risk Managemen, vol. 79(1-2), April-July

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit

Surface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit Modèles de Taux, Surface de Volailié e Inroducion au Risque de Crédi Alexis Fauh Universié Lille I Maser 2 Mahémaiques e Finance Spécialiés Mahémaiques du Risque & Finance Compuaionelle 214/215 spread

Plus en détail

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain

Essai surlefficience informationnelle du march boursier marocain Global Journal of Managemen and Business Research : c Finance Volume 14 Issue 1 Version 1.0 Year 2014 Type: Double Blind Peer Reviewed Inernaional Research Journal Publisher: Global Journals Inc. (USA)

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig 1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum

Plus en détail

Une assurance chômage pour la zone euro

Une assurance chômage pour la zone euro n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

DESSd ingéniérie mathématique Université d Evry Val d Essone Evaluations des produits nanciers

DESSd ingéniérie mathématique Université d Evry Val d Essone Evaluations des produits nanciers DESSd ingéniérie mahémaique Universié d Evry Val d Essone Evaluaions des produis nanciers Véronique Berger Cours Janvier-Mars 2003 version du 27 mars 2003 Conens I Présenaion du plan de cours 3 II Insrumens

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

La fonction de production dans l analyse néo-classique

La fonction de production dans l analyse néo-classique La oncion de producion dans l analyse néo-classique Jean-Marie Harribey La oncion de producion es une relaion mahémaique éablie enre la quanié produie e le ou les aceurs de producion uilisés, ou encore

Plus en détail

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *

EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone

Plus en détail