Application Note. Calcul de valeurs globales dans ArtemiS. Bouton Valeurs db. HEAD Application Note
|
|
- Dominique Angèline Briand
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Calcul de valeurs globales dans AremiS Le fai de déerminer des valeurs globales eu êre judicieux dans différens cas d alicaion. Elles ermeen ar exemle d éablir un classemen des signaux sonores analysés. AremiS roose deux ossibiliés de calculer des valeurs globales: le bouon s db siué dans la barre d ouils «Conrol» e la foncion globale siuée dans la légende du diagramme. Ces deux ossibiliés son en arie basées sur des règles de calculs différenes, ce qui eu enraîner des résulas différens. Les secions suivanes exliquen dans quels cas e our quelles raisons ces différences euven survenir. Bouon s db Le bouon s db siué dans la barre d ouils d AremiS erme d afficher les analyses suivanes comme valeurs globales : niveau, niveau ondéré A, niveau ondéré B, niveau ondéré C, niveau ondéré D, sonie e acuié. Dès que vous avez sélecionné un fichier de brui dans la zone des données d AremiS, vous ouvez cliquer sur le bouon our obenir le résula dans la fenêre de sorie en bas de l écran. Vous ouvez sélecionner dans «Oions -> Paramères -> Monrer niveaux db» quelles analyses doiven êre calculées e avec quels aramères elles doiven êre réalisées (voir figure 1). Figure 1 : Page de roriéés du bouon s db 1
2 Vous ouvez sélecionner les analyses ossibles dans Paramères. En ce qui concerne les valeurs globales du niveau (L), du niveau ondéré A (L(A)), du niveau ondéré B (L(B)), du niveau ondéré C (L(C)) e du niveau ondéré D (L(D)), vous ouvez déerminer si l offse doi êre ris en come dans le calcul («Calcul niveau avec DC») e si la sorie de la valeur globale doi avoir lieu en db («Calcul du niveau en db»). En ce qui concerne les analyses Sonie (N) e Acuié (S), vous ouvez sélecionner our le calcul des aramères els que «Méhode de calcul», «Fenêrage», ec. Ces aramères e leurs effes sur le calcul son décris lus en déail dans l iniulée «Analyses sychoacousiques 1». Pour le calcul des valeurs globales L, L(A), L(B), L(C) e L(D), les différens échanillons du signal emorel (filré) son élevés au carré, addiionnés e divisés ar le nombre d échanillons. Du momen que le aramère «Calcul du niveau en db» es acivé, cee valeur es converie en un niveau ayan our unié db e affichée dans la fenêre de sorie. Si ce n es as le cas, c es la valeur effecive qui es affichée. Pour le calcul de la sonie (N), un secre de niveau de iers d ocave moyen sur oue la longueur du signal emorel es d abord calculé. Si «FFT / ISO 532» ou «Filer / ISO 532» a éé sélecionné dans la boîe de sélecion Méhode de calcul, les sonies arielles son calculées e, à arir de cellesci, la sonie oale ar inégraion, déerminées à arir de ce secre d arès la norme ISO 532 B. La valeur de la sonie oale es alors affichée dans la fenêre de sorie. Dans l oion «FFT / ISO 532 B», le calcul du secre de iers d ocave moyen se base sur les secres de FFT avec le fenêrage enré dans Taille de la fenêre d analyse, alors que les niveaux de l oion «Filer / ISO 532 B» son déerminés ar filrage. Ces deux méhodes réonden aux exigences de la norme ISO. Lorsque le aramère «Algorihme HEAD» es sélecionné dans la boîe de sélecion Méhode de calcul, les sonies arielles ne son as calculées d arès la norme ISO, mais d arès un algorihme de sonie conçu ar HEAD acousics. Les différences exisan enre les deux méhodes de calcul son exliquées dans l iniulée «Analyses sychoacousiques I». Le calcul de l acuié (S) es basé sur les sonies arielles qui, comme nous l avons déjà exliqué, on éé déerminées à arir d un secre moyen. Les aramérages ossibles our l analyse de l acuié son, eux aussi, décris dans l iniulée «Analyses sychoacousiques I». La figure 2 monre les valeurs globales du niveau, du niveau ondéré A, de la sonie e de l acuié d un exemle de signal. Figure 2 : s globales d un exemle de signal calculées en cliquan sur le bouon s db Foncion globale Cee foncion es disonible lorsqu une analyse a éé réalisée dans AremiS e que le résula es rerésené dans un visualiseur ou un analyseur ineracif. L affichage es réalisé dans la légende du diagramme. Vous ouvez aciver la foncion «globale» en cliquan à droie sur la légende du diagramme: une valeur globale de l analyse rerésenée aaraî alors. L algorihme de calcul uilisé 2
3 our la valeur globale n es as le même our oues les analyses. Les exemles suivans monren les différenes aroches. Pour l analyse Niveau vs. ems rerésenan le niveau d un signal sonore en foncion du ems, la valeur globale affichée dans la légende indique le niveau moyen. La figure 3 rerésene une elle analyse. Le vel vs. Time (Fas) L/dB[SPL] CH1 : 77.7 db[spl] CH2 : 76.3 db[spl] /s Figure 3 : globale du niveau d une analyse Niveau vs. ems (ondéraion emorelle «raide») Le calcul de la valeur globale affichée dans le diagramme es réalisé comme celui effecué avec le bouon db en calculan la moyenne des ressions sonores élevées au carré. Le signal emorel asse ceendan d abord ar un filre d inégraion. Le aramère «raide» a éé sélecionné comme ondéraion emorelle our l analyse de niveau rerésenée sur la figure 3. La figure 4 rerésene une analyse de niveau du même signal sonore, mais avec une ondéraion emorelle aramérée sur «len». La valeur globale affichée diffère légèremen de celle de la figure 3. Pour l analyse de niveau Niveau vs. ems, la moyenne es calculée de manière exonenielle avec une consane emorelle déendan du aramère de la ondéraion emorelle. La longueur de cee consane emorelle es égale à 125 ms avec le aramère «raide» e à 1 seconde avec le aramère «len». La moyenne des valeurs résulan de l analyse es alors calculée our déerminer la valeur globale. Cee différence eu enraîner des divergences lors du calcul de la valeur globale, lus ariculièremen lorsque la consane emorelle es grande ar raor à la longueur du signal. 3
4 Le vel vs. Time (Slow ) L/dB[SPL] CH1 : 78.6 db[spl] CH2 : 78.4 db[spl] /s Figure 4 : globale du niveau d une analyse Niveau vs. ems (ondéraion emorelle «len») La foncion globale calcule égalemen une valeur globale du niveau dans l analyse FFT (moyenne). Dans cee analyse, le niveau es rerésené dans le diagramme en foncion de la fréquence. La moyenne des données de l analyse a our cela déjà éé calculée en foncion du ems, ce qui signifie que la moyenne ne doi lus êre calculée en foncion du ems our déerminer la valeur globale. Les ressions sonores son élevées au carré e inégrées en foncion de la fréquence. La valeur globale calculée déend des aramères d analyse configurés sur la age de roriéés, ar ex. la aille de la fenêre e le fenêrage. La figure 5 rerésene un exemle d une elle analyse avec la valeur globale corresondane. FFT (Ave rage) L/dB[SPL] CH1 : 77.8 db[spl] CH2 : 75.5 db[spl] f/hz k Figure 5 : globale du niveau d une analyse ar FFT (moyenne) La valeur globale affichée es déerminée à arir des données de l analyse, c.-à-d. que si ar ex. une analyse de sonie es réalisée au lieu d une analyse de niveau, la foncion globale déerminera alors une valeur globale de la sonie. La figure 6 rerésene un diagramme avec la valeur globale d une analyse Sonie vs. ems. Plusieurs analyses de sonie son réalisées les unes arès les aures our cee analyse e son alors reorées dans le diagramme comme sonie vs. ems. La valeur 4
5 globale es alors déerminée en calculan la moyenne arihméique des valeurs de sonie affichées dans le diagramme. Le nombre de oins es déerminé ar le aramère configuré sur la age de roriéés de l analyse our les boies de sélecion Taille de la fenêre d analyse e Recouvremen. Cela signifie que la valeur globale eu êre ici aussi influencée ar les aramères de la age de roriéés. Loudne ss vs. Time N/son egf CH1 : 31.3 sonegf CH2 : 26.8 sonegf /s Figure 6 : globale de la sonie d une analyse Sonie vs. ems Dans l analyse Sonie sécifique, la foncion globale affiche égalemen la valeur globale de la sonie dans le diagramme. Cee analyse a déjà calculé la moyenne en foncion du ems e les sonies arielles sécifiques exisen déjà sous forme de foncion de la fréquence. La valeur globale es déerminée ar inégraion en foncion de la fréquence. La figure 7 en rerésene un exemle. La rocédure uilisée our calculer la valeur globale corresond à celle uilisée ar le bouon s db. C es ourquoi les valeurs globales coïnciden. Sec. Loudne ss N'/s onegf/bark CH1 : 35.1 sonegf CH2 : 30.6 sonegf f/bark Figure 7 : globale de la sonie d une analyse Sonie sécifique Lorsque l on n analyse as en foncion du ems, mais en foncion d une aure référence elle que la viesse de roaion, la moyenne des résulas n es as calculée en foncion du ems, mais de cee 5
6 référence, ce qui eu égalemen enraîner des divergences lors de l affichage des différenes valeurs globales. Conclusion La figure 8 monre la différence de calcul de la valeur globale our une analyse de niveau avec le bouon s db e la foncion globale. La déerminaion de la valeur globale à l aide du bouon s db calcule d abord la moyenne au carré de ous les échanillons du signal emorel e ensuie le niveau ermean d obenir la valeur globale. Cee valeur es égalemen aelée «niveau sonore équivalen». On accède à la foncion globale à arir du diagramme. Pour obenir une valeur globale du niveau, une analyse elle que Niveau vs. ems ou FFT (moyenne) doi êre rerésenée dans le diagramme. Si vous uilisez l analyse Niveau vs. ems, la moyenne du signal es d abord calculée exoneniellemen (inégraion) à l aide de la consane emorelle sélecionnée sur la age de roriéés. La moyenne des valeurs ainsi filrées es ensuie calculée au carré our obenir une valeur globale e ces valeurs euven alors êre converies en une valeur globale du niveau. La différence exisane ar raor au bouon s db réside donc dans l inégraion récédene. La différence de calcul es donc d auan lus imorane que le signal devan êre analysé es cour ar raor à la consane de la ondéraion emorelle lors du calcul du niveau. Pour l analyse FFT (moyenne), lusieurs secres de FFT son déerminés e leur moyenne es calculée selon les aramères sélecionnés sur la age de roriéés. Les valeurs de ression sonore de ce secre moyen son élevées au carré our calculer la valeur globale du niveau, inégrées sur ou le domaine fréqueniel e converies en une valeur db. Le choix du fenêrage e le recouvremen araméré euven enraîner des divergences avec ce ye de calcul. 6
7 Bouon s db Foncion s Global Niveau vs. Tems Foncion s Global FFT (Moyenne) Moyennage Calcul de Niveau Moy. Exonenielle Moy. Exonenielle Moy. Exonenielle Moy. Exonenielle Moy. Exonenielle Secre FFT Secre FFT Secre FFT Secre FFT Secre FFT Secre moyenné Moyennage Inegraion Calcul de Niveau Calcul de Niveau Figure 8 : Rerésenaion schémaique du calcul d une valeur globale de niveau La figure 9 rerésene la rocédure ermean de déerminer une valeur globale de sonie en uilisan la méhode de calcul «FFT / ISO 532 B». Les méhodes uilisées ar le bouon s db e la foncion globale diffèren égalemen dans ce cas. Pour le calcul d une valeur globale à l aide du bouon s db, un secre de niveau de iers d ocave moyen es d abord déerminé, il ermera ensuie de déerminer la sonie oale conformémen à la norme ISO 532 B. Par conre, l analyse Sonie vs. ems déermine la sonie our chaque secre de niveau de iers d ocave calculé e ne calcule la moyenne qu arès. L analyse Sonie sécifique es, elle, basée sur un secre de niveau de iers d ocave moyen à arir duquel la sonie es calculée. C es ourquoi les valeurs globales déerminées avec cee analyse coïnciden arfaiemen avec celles obenues avec le bouon s db. La méhode uilisée ar le bouon s db corresond au calcul d une valeur globale de la sonie de signaux saionnaires indiquées dans la norme ISO 532 B. Le calcul de la sonie our des signaux non-saionnaires n a as encore éé normalisé. En ce qui concerne les bruis se modifian dans le ems, une valeur globale ne ouvan as exrimer ces modificaions eu quelquefois enraîner des erreurs d inerréaion. Pour les signaux non-saionnaires, il es en général recommandé de calculer une valeur globale de sonie avec la foncion globale dans un diagramme Sonie vs. ems. 7
8 Bouon s db Foncion s Global Sonie vs. Tems Foncion s Global Sonie Sécifique Secre moyenné Moyennage Calcul des sonies sécifiques Moyennage Inegraion Figure 9 : Rerésenaion schémaique du calcul d une valeur globale de la sonie Remarque Pour la mise en œuvre de ce qui es résené dans cee noe alicaive, vous devez disoser de la version de base d AremiS (code 4600). Pour le calcul des valeurs globales de la sonie dans un diagramme vous devez en lus disoser du module AremiS de sychoacousique de base «ATP02» (code 4602). Les diagrammes décris dans cee rerésenen des analyses du fichier «Binaural.da». Vous rouverez ce fichier sur nore CD conenan le guide d inroducion d AremiS. Des quesions ou commenaires à l aueur? Ecrivez nous un courriel (si ossible en Anglais) à l adresse suivane: Alicaion-Noes@HEAD-acousics.de. 8
Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion
Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera
Plus en détailTB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2
enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur
Plus en détailDocumentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1
Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre
Plus en détailMATHEMATIQUES FINANCIERES
MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial
Plus en détailSommaire de la séquence 12
Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................
Plus en détailF 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0
Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance
Plus en détailLe mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»
Plus en détail2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.
1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%
Plus en détailMIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.
/ VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre
Plus en détailLa rentabilité des investissements
La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles
Plus en détailExemples de résolutions d équations différentielles
Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................
Plus en détailNed s Expat L assurance des Néerlandais en France
[ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous
Plus en détailRelation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.
Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron
Plus en détailEstimation des matrices de trafics
Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex
Plus en détailTexte Ruine d une compagnie d assurance
Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose
Plus en détailFinance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET
Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple
Plus en détailRecueil d'exercices de logique séquentielle
Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d
Plus en détailFiltrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)
Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un
Plus en détailGUIDE DES INDICES BOURSIERS
GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION
Plus en détailCaractéristiques des signaux électriques
Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme
Plus en détailSciences Industrielles pour l Ingénieur
Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage
Plus en détailTHÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques
Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris
Plus en détailCHAPITRE I : Cinématique du point matériel
I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons
Plus en détailLes circuits électriques en régime transitoire
Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc
Plus en détailRappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION
2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le
Plus en détailMathématiques financières. Peter Tankov
Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de
Plus en détailAMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE
AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V
Plus en détail2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE
009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or
Plus en détailChapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement
Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée
Plus en détailCHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3
Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)
Plus en détailLASTO Appuis élastomère
LASTO Appuis élsomère LASTO BLOCK F Appuis de déformion non-rmés Swizerlnd www.mgeb.ch Chmps d pplicion e specs imporns Chmps d pplicion LASTO BLOCK F es un ppui de déformion non-rmé en élsomère qui es
Plus en détailCOURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr
COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des
Plus en détailTD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)
TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel
Plus en détailVA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1
Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A
UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX
Plus en détailCANAUX DE TRANSMISSION BRUITES
Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une
Plus en détailEPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION *
EPARGNE RETRAITE ET REDISTRIBUTION * Alexis Direr (1) Version février 2008 Docweb no 0804 Alexis Direr (1) : Universié de Grenoble e LEA (INRA, PSE). Adresse : LEA, 48 bd Jourdan 75014 Paris. Téléphone
Plus en détailChapitre IV Les oscillations couplées «Les oscillations libres d un système à plusieurs degrés de liberté»
Chre IV, cours de vbrons, ondes _Phs, Pr. Bds Bennecer MD 8-9 Chre IV es oscllons coulées «es oscllons lbres d un ssèe à luseurs degrés de lberé» Dns ce chre, nous llons coencer r éuder les oscllons lbres
Plus en détailCAHIER 13-2000 ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE
CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS LA ZONE CFA : UNE MÉTHODE STRUCTURELLE D'AUTORÉGRESSION VECTORIELLE Jean-Michel BOSCO N'GOMA CAHIER 13- ANALYSE DES CHOCS D'OFFRE ET DE DEMANDE DANS
Plus en détailCARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME
CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure
Plus en détail3 POLITIQUE D'ÉPARGNE
3 POLITIQUE D'ÉPARGNE 3. L épargne exogène e l'inefficience dynamique 3. Le modèle de Ramsey 3.3 L épargne opimale dans le modèle AK L'épargne des sociéés dépend largemen des goûs des agens, de faceurs
Plus en détailTESTS DE RACINES UNITAIRES ET PERFORMANCE PREVISIONNELLE DES MODELES AR: APPLICATION SUR LES VARIABLES DU TRANSPORT EN FRANCE
Lebanee Science Journal, Vol. 7, No., 2006 3 TESTS DE RACINES UNITAIRES ET PERFORMANCE PREVISIONNELLE DES MODELES AR: APPLICATION SUR LES VARIABLES DU TRANSPORT EN FRANCE Mahmoud Mourad Faculé de Science
Plus en détailThème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL
Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l
Plus en détailEvaluation des Options avec Prime de Risque Variable
Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.
Plus en détailRisque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE
Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance
Plus en détailImpact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite
DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce
Plus en détailSéquence 2. Pourcentages. Sommaire
Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis
Plus en détailPouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin
C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir
Plus en détailLe mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité
Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par
Plus en détailLes deux déficits, budgétaire et du compte courant, sont-ils jumeaux? Une étude empirique dans le cas d une petite économie en développement
Les deux déficis, budgéaire e du compe couran, sonils jumeaux? Une éude empirique dans le cas d une peie économie en développemen (Version préliminaire) Aueur: Wissem AJILI Docorane CREFED Universié Paris
Plus en détailDécouvrez les bâtiments* modulaires démontables
Découvrez les bâtiments* modulaires démontables w Industrie w Distribution * le terme «bâtiment» est utilisé our la bonne comréhension de l activité de Locabri. Il s agit de structures modulaires démontables
Plus en détailMTH 2301 Méthodes statistiques en ingénierie. MTH 2301 Méthodes statistiques en ingénierie
VARIABLES ALÉATOIRES déo oco de réro vrble léore dscrèe moyee - vrce - écr ye esérce mhémque vrble léore coue oco d ue vrble léore : rsormo combso lére de vrbles léores Déo E : eérece léore S : esce échllol
Plus en détailProgrammation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme
Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha
Plus en détailCahier technique n 141
Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens
Plus en détailBILAN EN ELECTRICITE : RC, RL ET RLC
IN N TIIT :, T I. INTNSIT : = dq d en couran varable I = Q en couran connu Méhode générale d éablssemen des équaons dfférenelles : lo d addvé des ensons pus relaons dq caracérsques :, lo d Ohm u = aux
Plus en détailCalcul Stochastique 2 Annie Millet
M - Mahémaiques Appliquées à l Économie e à la Finance Universié Paris 1 Spécialié : Modélisaion e Méhodes Mahémaiques en Économie e Finance Calcul Sochasique Annie Mille 15 14 13 1 11 1 9 8 7 6 5 4 3
Plus en détailArticle. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle
Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane
Plus en détailCahier technique n 114
Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés
Plus en détailModule : réponse d un système linéaire
BSEL - Physique aliquée Module : réonse d un système linéaire Diaoramas () : diagrammes de Bode, réonse Résumé de cours - Caractérisation d un système hysique - Calcul de la réonse our une entrée donnée
Plus en détailPREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE. La Liquidité - De la Microstructure à la Gestion du Risque de Liquidité
PREMIÈRE PARTIE LIQUIDITÉ ET MICROSTRUCTURE Erwan Le Saou - Novembre 2000. 13 La microsrucure des marchés financiers ne serai cerainemen pas au cenre d une liéraure abondane si le concep de liquidié n
Plus en détailFroid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION
Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion
Plus en détailn 1 LES GRANDS THÈMES DE L ITB > 2009 Les intérêts simples et les intérêts composés ( ) C T D ( en mois)
LES GRANDS THÈMES DE L ITB Les iérês simples e les iérês composés RAPPELS THÉORIQUES Les iérês simples : l'iérê «I» es focio de la durée «D» (jour, quizaie, mois, rimesre, semesre, aée) de l'opéraio (placeme
Plus en détailInvestment Flows and Capital Stocks
Saisics Canada Invesmen and Capial Sock Division Naional Wealh and Capial Sock Secion Invesmen Flows and Capial Socks Saisique Canada Division de l invesissemen e du sock de capial Secion de la richesse
Plus en détailS euls les flux de fonds (dépenses et recettes) définis s ent l investissement.
Choix d ives i s s eme e cer iude 1 Chapire 1 Choix d ivesissemes e ceriude. Défiiio L es décisios d ivesissemes fo parie des décisios sraégiques de l erepris e. Le choix ere différes projes d ivesisseme
Plus en détailL information sera transmise selon des signaux de nature et de fréquences différentes (sons, ultrasons, électromagnétiques, électriques).
CHAINE DE TRANSMISSION Nous avons une information que nous voulons transmettre (signal, images, sons ). Nous avons besoin d une chaîne de transmission comosée de trois éléments rinciaux : 1. L émetteur
Plus en détailSélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1
ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié
Plus en détailUNIVERSITE JOSEPH FOURIER GRENOBLE I THESE. présentée par. Ioana - Cristina MOLDOVAN. pour obtenir le grade de DOCTEUR. Spécialité : Physique
UIVERSITE JOSEPH FOURIER GREOBLE I THESE pésenée pa Ioana - Cisina MOLDOVA pou obeni le gade de DOCTEUR Spécialié : Physique Eude phooméique de l aome de sodium applicaion aux éoiles lases LGS e PLGS Souenance
Plus en détailFormation Administrateur Server 2008 (Ref : IN4) Tout ce qu'il faut savoir sur Server 2008 OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION
COMUNDICOMPETENCES-TECHNIQUESDEL INGÉNIEUR Formaion Adminisraeur Server 2008 (Ref : IN4) SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Gérer des ressources e des compes avec Acive Direcory e Windows Server 2008
Plus en détailUn modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA
Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim
Plus en détailLe «Scoring» LOGISTIQUE
Le «Scorng» LOGISTIQUE Clre eler Acure ISFA 996 Le 7//009 _clre@yhoo.fr Dns leur qus olé, les nques e orgnsmes fnncers ulsen l nlyse our rédre s un emruneur fer défu ou non e rendre ensue l décson rorée
Plus en détailOscillations forcées en régime sinusoïdal.
Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -
Plus en détailEVALUATION DES OPTIONS NEGOCIABLES PAR L'INTERPOLATION DES ARBRES DE PRIX
EVALUATION DE OPTION NEGOIABLE PAR L'INTERPOLATION DE ARBRE DE PRIX Jan-lau AUGRO, Profssur Michaël MORENO, Allocaair-Moniur Insiu cinc Financièr Assurancs Univrsié lau Brnar Lyon REUME La valur 'un oion
Plus en détailFonction dont la variable est borne d intégration
[hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes
Plus en détailNo 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa
No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9
Plus en détailCONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES
CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME
Plus en détailCours d électrocinétique :
Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS
Plus en détailDocument de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM
Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire
Plus en détailNOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES
BRUSSELS EONOMI REVIEW - AHIERS EONOMIQUES DE BRUXELLES VOL 5 N 3 AUTUMN 7 NOTE SUR LES METHODES UNIVARIEES D EXTRATION DU YLE EONOMIQUE ANNA SESS ET MIHEL GRUN-REHOMME (UNIVERSITE PARIS, ERMES- NRS- UMR78)
Plus en détailAnnuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t
Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l Enseignement supérieur et de La Recherche Scientifique. Polycopie:
Réublque Algérenne Déocraque e Poulare Mnsère de l Ensegneen suéreur e de a Recherche Scenfque Unversé : Hassba BENBOUAI de CHEF Faculé : Scences Déareen : Physque Doane : ST-SM Polycoe: Vbraons e Ondes
Plus en détailUne assurance chômage pour la zone euro
n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,
Plus en détailSurface de Volatilité et Introduction au Risque de Crédit
Modèles de Taux, Surface de Volailié e Inroducion au Risque de Crédi Alexis Fauh Universié Lille I Maser 2 Mahémaiques e Finance Spécialiés Mahémaiques du Risque & Finance Compuaionelle 214/215 spread
Plus en détailDESSd ingéniérie mathématique Université d Evry Val d Essone Evaluations des produits nanciers
DESSd ingéniérie mahémaique Universié d Evry Val d Essone Evaluaions des produis nanciers Véronique Berger Cours Janvier-Mars 2003 version du 27 mars 2003 Conens I Présenaion du plan de cours 3 II Insrumens
Plus en détailCHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?
CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion
Plus en détailBois. P.21 Bois-béton à Paris. Carrefour du Bois. Saturateurs. Usinage fenêtres. Bardages P.25 P.34 P.31 P.37. La revue de l activité Bois en France
CMP Bois n 19-12 avril - mai 2010 P.25 Carrefour du Bois P.34 cm La revue de l activité Bois en France Bois Saturateurs P.31 Usinage fenêtres P.37 Bardages Tout our l usinage du bois massif. Tout d un
Plus en détailVous vous installez en france? Société Générale vous accompagne (1)
Parenaria Sociéé Générale Execuive relocaions Vous vous insallez en france? Sociéé Générale vous accompagne (1) offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au 29/02/2012 offre valable jusqu au
Plus en détailGESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003
GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires
Plus en détailGroupe International Fiduciaire. pour l Expertise comptable et le Commissariat aux comptes
Groupe Inernaional Fiduciaire pour l Experise compable e le Commissaria aux compes L imporan es de ne jamais arrêer de se poser des quesions Alber EINSTEIN QUI SOMMES-NOUS? DES HOMMES > Une ÉQUIPE solidaire
Plus en détailCopules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie
Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE
Plus en détailL impact de l activisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Investisseurs Institutionnels.
L impac de l acivisme des fonds de pension américains : l exemple du Conseil des Invesisseurs Insiuionnels. Fabrice HERVE * Docoran * Je iens à remercier ou pariculièremen Anne Lavigne e Consanin Mellios
Plus en détailImpact des futures normes IFRS sur la tarification et le provisionnement des contrats d assurance vie : mise en oeuvre de méthodes par simulation
Impac des fuures normes IFRS sur la arificaion e le provisionnemen des conras d assurance vie : mise en oeuvre de méhodes par simulaion Pierre-Emmanuel Thérond To cie his version: Pierre-Emmanuel Thérond.
Plus en détailLE PARADOXE DES DEUX TRAINS
LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux
Plus en détaildénombrement, loi binomiale
dénombrement, loi binomiale Table des matières I) Introduction au dénombrement 1 1. Problème ouvert....................................... 2 2. Jeux et dénombrements...................................
Plus en détailSéminaire d Économie Publique
Séminaire d Économie Publique Les niveaux de dépenses d'infrasrucure son-ils opimaux dans les pays en développemen? Sonia Bassi, LAEP Discuan : Evans Salies, MATISSE & ADIS, U. Paris 11 Mardi 8 février
Plus en détailEcole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau
Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse
Plus en détailSOMMAIRE MONTAGE DU COMPTEUR ET CAPTEURS...3 LE MOT DU CHEF DE PRODUIT...5 L ORGANISATION DE L ECRAN...5 LES PICTOGRAMMES UTILISES...5 LES BOUTONS...
OMMAIRE MONTAGE DU COMPTEUR ET CAPTEUR...3 LE MOT DU CHEF DE PRODUIT...5 L ORGANIATION DE L ECRAN...5 LE PICTOGRAMME UTILIE...5 LE BOUTON...5 LE MENU...5 AVANT LA PREMIERE ORTIE (ou après changement de
Plus en détailCoaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS
Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans
Plus en détailMémoire présenté et soutenu en vue de l obtention
République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé
Plus en détailMODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES
Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,
Plus en détailLes Comptes Nationaux Trimestriels
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------
Plus en détail